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Lionel Mesnier
3 critiques
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1,0
Publiée le 24 octobre 2022
Mais c'est lent, mais c'est mou. Je suis devant Walter et je m'ennuie tellement que c'est le bon moment pour rédiger cette critique. Ok les acteurs sont sympas, mais ils sont sûrement en impro. Personne n'a pensé à faire un scénario ou des dialogues.
un film qui m'a agréablement surpris. petit budget mais il n'y en avait pas besoin un casse à 4 dans la réserve d'un hypermarché une nuit magasin vide. le décor n'a pas couté cher. tout s'appuie sur : le scénario et les dialogues une jolie mise en situation d'une équipe de bras cassés aussi idiots qu'ils en on l'air sans avoir à forcer le trait des caractères précis ciselés et des acteurs qui endossent leurs rôles comme des gants. - le jeu des acteurs fait alors tout! et là !!! bravo ! je prends de plus en plus de plaisir au fur et à mesure que le film avance. bien sûr la fin est téléphonée, et les ressorts comiques sont cousus de fils blancs, mais on s'en fout, c'est drôle et attendrissant un bon moment devant une toile pour une soirée cool en mangeant une pizza.
Film très mal joué, des stéréotypes sur les jeunes de banlieue. même Alban Ivanov ne s'en sort pas. Les acteurs n'articulent pas. Ce n'est pas parce qu'on est comique qu'on est acteur.
Les dialogues sont juxtaposés les uns aux autres sans finalité;
Ça ne s'embarrasse pas de vraisemblances... Il faut suspendre très haut son incrédulité pour marcher dans cette comédie sympathique mais un peu poussive et au dénouement franchement pas crédible, et pour tout dire, raté. N'est pas Francis Veber qui veut! C'est gentiment foutraque et les acteurs s'en tirent pas mal, et quelques répliques font mouche. c'est déjà un bon bilan si l'on compare à la portion congrue servie aux cinéphiles ces derniers temps, en France, et si l'on regarde bien, un peu partout dans le monde. Les franchises ont la vie dure, et on prend soin du bouffeur de pop corn moyen, sans risquer d'éveiller son sens critique. Nous sommes ce spectateur Lambda dont la jugeotte se retrouve anesthésié par les nouveaux codes sociologiques qui imprègnent les efforts des nouveaux maîtres du septième art. Placement produit et wokisme servent d'épine dorsale à un cinéma qui peine à se renouveler et à trouver ses marques dans notre ère post moderne et pré apocalyptique. On sait avec Luc Besson qu'on peut faire des films sans scénar, pourvu que le montage soit cut, les filles jolies et les décors pimpants, mais çe cinéma laisse dans le fond des yeux comme une trace de pneu qui souille le regard. À la longue 'Industrie instaure un contrat de dupe avec un spectateur blasé qui révise à la baisse ses exigences et se trouve distrait à peu de frais du moment qu'on flatte l'esthétique de l'époque, caressant au passage la veulerie consumériste des masses dans le sens du poil.
Nul nul nul, sérieux c’est quoi ces dialogues ? Ep!l tOa l4 ch4…vraiment c’est pas drôle, c’est long, et irréaliste. En soit c’est bien français comme film.
En mode "Patron, j'ai raté l'avion", une comédie flemmarde et poussive, mais non dénuée d'intérêt. À commencer par le héros atypique, le massif et impassible acteur norvégien (et bukinabé) Issaka Sawadogo, proche d'un John McLane taiseux. Il écrase un peu la distribution, malgré la présence d'Alban Ivanov et de David Salles, dans leurs registres habituels, et de quelques jeunes faux voyous presque crédibles, mais plutôt drôles. Ça ne vole pas très haut mais c'est finalement une surprise agréable.
il y a des jours où on se laisse tenter par un film dont le synopsis suffit à nous alerter sur la médiocrité annoncé des deux prochaines heures.
Parfois, c'est une bonne surprise, souvent on se sent divinement omniscient. Une fois de plus, mon sixième sens de cinéphile aguerri (ou pas) ne m'a pas fait défaut et je l'en remercie.
Walter est mauvais. Pas catastrophique mais tout de même suffisamment ridicule pour être qualifié de navet mais pas assez pour faire parti de la sante grall catégorie des nanars. Pas de chance.
L'histoire est en soit assez banale, attaque d'un magasin par une bande de bras cassés. L'humour de situation est donc classique. sauf que walter en fait trop, surjoué, attendu et terriblement ennuyeux.
La fin en happy end est tout bonnement ridicule et plus que téléphone. soit.
C'est une formule gagnante, meme quand on s'y attend, quand on s'attache aux personnages.
Le problème c'est pour s'attacher au personnages, il faut qu'ils soient travaillés et bien interprétés. et globalement ça ne va pas.
Je pourrai tout de même relever quelques acteurs qui sortent du lot : Alban ivanonv ou david salles.
Pour le reste, sélectionnés pour leurs popularité sur les réseaux, cela ne colle pas. du coup, on mise tout sur l'humour que je qualifié de nivellement pas le bas, c'est à dire accentuer le cliché du gentil con de cité. et c'est moche, déjà pour l'image que cela renvoi, puis pour la facilitée des gags qui en découlent.
certaines acteurs sont moyens sans être bons, car bloqués dans leur personnage et je pense en réalité à un seul acteur : tonio life.
Mention spéciale à walter, interpeté sans profondeur par un acteur que je ne connais pas, et qui tourne peut être à merveille en temps normal mais qui semble ici, habité par l'esprit d'un mérou neurastenique.
bref le film n'a que peu d'intérêt, est prévisible et je n'ai pas passé une bonne soirée.
Lamentable. Pour des humoristes, pas une once d'humour pendant l'intégralité du film. A croire que en dehors des planches ces humoristes perdent tous leurs talents.
L idée de départ est franchement pas si mal mais ...dès les premières scènes on se rend vite compte que tout va être noyé dans la vulgarité un peu gratuite . On peut faire une comédie sans pour autant en abuser.
Film certes bourré de clichés mais bien joué par les acteurs. Un petit comique sympa du dimanche après midi, ça se regarde dans ce contexte : avec légèreté. Perso g bien ri ^^
Excellente comédie française. Une belle petite composition de jeunes acteurs français mêlé au grand Alban Ivanov qui nous livre l'une de ses meilleurs prestations. J'ai passé un très bon moment. A revoir.