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Portrait loufoque d'une artiste et mère de famille en plein burn-out, Notre dame ordonne un ballet drôle et déconcertant avec une bande d'acteurs formidables, sans jamais tomber dans la vignette ou les gags faciles, convoquant dans un même tourbillon les codes de la comédie romantique et les références au cinéma de Jacques Demy.
Valérie Donzelli apporte son grain de folie et de fantaisie, et rend hommage à sa ville de cœur ainsi qu’à ses réalisateurs fétiches comme Jacques Demy.
Non cette comédie n'a rien à voir avec l'incendie de la cathédrale, mais tout avec la fantaisie drolatique de sa réalisatrice et interprète, qu'elle mêle à un romantisme rafraîchissant.
Les allergiques au cinéma de la réalisatrice rejetteront certainement ce film qui est une sorte de condensé de ses précédents longs-métrages. Les adeptes, en revanche, ne manqueront pas de savourer cette oeuvre singulière, véritable déclaration d'amour à Paris.
Semée d'imprévus et de gags plus ou moins loufoques, cette savoureuse comédie de reconstruction sentimentale dresse le portrait amusant du quotidien d'une parisienne sous pression.
Chronique burlesque enthousiasmante des vicissitudes de la vie parisienne moderne, le film de Valérie Donzelli cumule les scènes bourrées de gags aux dialogues hilarants, sans faire l'impasse sur aucun des travers de cette capitale qui peut rendre fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Il y a ceux qui transforment ce qu’ils touchent en or. Valerie Donzelli, elle, métamorphose tout ce qu’elle filme en comédie. (...) Notre dame est certes un conte plein de fantaisie, une bouffée d’air frais, mais il ne faut pas s’y tromper : le film a aussi les atouts d’une farce mordante sur la place inconfortable des créateurs dans la société et le procès parfois absurde fait à leurs œuvres.
Le cinquième long-métrage signé Valérie Donzelli confirme son regard bohème, tendre, singulier et sans fard sur le monde. Une croyance profonde et sincère dans le cinéma.
[...] une oeuvre parfaitement rythmée, empruntant aussi bien à la bande dessinée, qu'à la Nouvelle Vague ou au film muet, tout en dégageant une véritable personnalité.
Après le très empesé « Marguerite et Julien », Valérie Donzelli retrouve sa merveilleuse légèreté, avec une fable fantaisiste sur un Paris rêvé, poétisé, où la météo s’affole, les adultes ont des gestes enfantins (les paires de claques y sont monnaie courante), et les femmes sont les dernières grandes romantiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un univers poétique et inspiré, peuplé de personnages attachants (...). Cette séduisante machinerie ne tient malheureusement pas ses promesses jusqu’au bout et finit par tourner en rond avant de se perdre dans un final un peu décevant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
C’est assez drôle, plein de jolies idées de cinéma (une séquence façon Histoires sans paroles par-ci, une chanson mélancolique par-là), et peuplé de seconds rôles absolument succulents.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Valérie Donzelli renoue avec la fantaisie de ses débuts sans toutefois être touchée par la grâce. Les amateurs d’humour potache y trouveront leur bonheur.
Chez Donzelli, anxiogène et hilarant sont tout sauf antinomiques. Son inventivité semble sans borne. Et si, dans ce tourbillon, des scènes tombent à plat, qu’importe ! Cette maladresse nourrit son petit monde de fantaisie reine, débordant d’amour fou pour un cinéma qui enveloppe autant qu’il réveille.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'actrice et réalisatrice Valérie Donzelli clame son amour pour Demy et Truffaut, et compense un scénario un rien fouilli par sa joyeuse liberté de ton.
Marie Claire
Portrait loufoque d'une artiste et mère de famille en plein burn-out, Notre dame ordonne un ballet drôle et déconcertant avec une bande d'acteurs formidables, sans jamais tomber dans la vignette ou les gags faciles, convoquant dans un même tourbillon les codes de la comédie romantique et les références au cinéma de Jacques Demy.
20 Minutes
Un joyeux conte moderne.
BIBA
Une comédie burlesque pleine de folie douce sur l'émancipation d'une femme qui décide de devenir aussi l'architecte de sa propre vie.
CNews
Valérie Donzelli apporte son grain de folie et de fantaisie, et rend hommage à sa ville de cœur ainsi qu’à ses réalisateurs fétiches comme Jacques Demy.
Cahiers du Cinéma
L’état des lieux anxiogène fournit le carburant d’une comédie crépitante, transformant le stress en allégresse et l’instabilité en équilibrisme.
Closer
Non cette comédie n'a rien à voir avec l'incendie de la cathédrale, mais tout avec la fantaisie drolatique de sa réalisatrice et interprète, qu'elle mêle à un romantisme rafraîchissant.
Elle
La jolie surprise de cette fin d'année.
Femme Actuelle
On est dans un monde rêvé, joliment décalé, où l'actualité n'a pas de prise. Et ça fait du bien !
L'Express
Les allergiques au cinéma de la réalisatrice rejetteront certainement ce film qui est une sorte de condensé de ses précédents longs-métrages. Les adeptes, en revanche, ne manqueront pas de savourer cette oeuvre singulière, véritable déclaration d'amour à Paris.
Le Figaro
L’œil est vif, le cœur sensible, et le divertissement délicieux.
Le Journal du Dimanche
Semée d'imprévus et de gags plus ou moins loufoques, cette savoureuse comédie de reconstruction sentimentale dresse le portrait amusant du quotidien d'une parisienne sous pression.
Le Parisien
Chronique burlesque enthousiasmante des vicissitudes de la vie parisienne moderne, le film de Valérie Donzelli cumule les scènes bourrées de gags aux dialogues hilarants, sans faire l'impasse sur aucun des travers de cette capitale qui peut rendre fou.
Les Inrockuptibles
Il y a ceux qui transforment ce qu’ils touchent en or. Valerie Donzelli, elle, métamorphose tout ce qu’elle filme en comédie. (...) Notre dame est certes un conte plein de fantaisie, une bouffée d’air frais, mais il ne faut pas s’y tromper : le film a aussi les atouts d’une farce mordante sur la place inconfortable des créateurs dans la société et le procès parfois absurde fait à leurs œuvres.
Marianne
Une belle déclaration à la Ville lumière.
Positif
D’une indéniable légèreté, habitée d’une grâce colorée, cette jolie saga aligne des gags inoffensifs mais plaisants.
Transfuge
Une fois de plus, la réalisatrice nous prouve que la fantaisie peut toujours réinventer le monde.
Télérama
Retour en forme d’une réalisatrice habile, qui sait capter l’air du temps dans son style bricolo-poétique.
Voici
Une jolie déclaration à Paris, entre angoisses et folie douce.
Bande à part
Le cinquième long-métrage signé Valérie Donzelli confirme son regard bohème, tendre, singulier et sans fard sur le monde. Une croyance profonde et sincère dans le cinéma.
L'Ecran Fantastique
[...] une oeuvre parfaitement rythmée, empruntant aussi bien à la bande dessinée, qu'à la Nouvelle Vague ou au film muet, tout en dégageant une véritable personnalité.
L'Obs
Après le très empesé « Marguerite et Julien », Valérie Donzelli retrouve sa merveilleuse légèreté, avec une fable fantaisiste sur un Paris rêvé, poétisé, où la météo s’affole, les adultes ont des gestes enfantins (les paires de claques y sont monnaie courante), et les femmes sont les dernières grandes romantiques.
La Croix
Un univers poétique et inspiré, peuplé de personnages attachants (...). Cette séduisante machinerie ne tient malheureusement pas ses promesses jusqu’au bout et finit par tourner en rond avant de se perdre dans un final un peu décevant.
La Septième Obsession
Rythme effréné et farandole de comédiens amusants et amusés composent un film-ballet au charme fou.
La Voix du Nord
C’est assez drôle, plein de jolies idées de cinéma (une séquence façon Histoires sans paroles par-ci, une chanson mélancolique par-là), et peuplé de seconds rôles absolument succulents.
Le Monde
La réalisatrice signe une comédie loufoque et combative, doublée d’une satire des politiques d’aménagement urbain.
Les Fiches du Cinéma
Valérie Donzelli renoue avec la fantaisie de ses débuts sans toutefois être touchée par la grâce. Les amateurs d’humour potache y trouveront leur bonheur.
Première
Chez Donzelli, anxiogène et hilarant sont tout sauf antinomiques. Son inventivité semble sans borne. Et si, dans ce tourbillon, des scènes tombent à plat, qu’importe ! Cette maladresse nourrit son petit monde de fantaisie reine, débordant d’amour fou pour un cinéma qui enveloppe autant qu’il réveille.
Télé 7 Jours
L'actrice et réalisatrice Valérie Donzelli clame son amour pour Demy et Truffaut, et compense un scénario un rien fouilli par sa joyeuse liberté de ton.
Libération
Le film tente lui-même de se tenir en équilibre entre spontanéité et sophistication, mais échoue à force de volontarisme et de maladresses.