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    The French Dispatch
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    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    166 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 octobre 2021
    Cet objet cinématographique, d'une beauté formelle glacée, ne m'a jamais invitée dans le délire du réalisateur. Je me suis morfondue d'ennui dès les premières minutes.
    La critique complète sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    Sylvain P
    Sylvain P

    305 abonnés 1 335 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    4 courts-métrages se passant à Ennui-sur-Blasé, ville fictive trop franchouillarde pour être vraie. Wes Anderson fait dans cet hommage à la France une kyrielles de clichés qui ravira les touristes. Si les images sont parfaites, on ne peut en dire autant d'un scénario qui n'a pas su choisir entre 4 histoires toute peu intéressantes : un artiste peintre prisonnier, les dissensions entre étudiants en mai 68, un truc qui ressemble à un polar et une visite de la ville. Bref, rien qui passionne en dehors de la photographie et des acteurs.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 190 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2021
    Labellisé par le Festival de Cannes 2020 et en compétition pour la Palme d’Or de l’édition 2021, “The French Dispatch” nous présente un journal américain basé à Ennui-sur-Blasé, une ville française fictive dans les années 50-60. La patte du réalisateur Wes Anderson est toujours présente pour son dixième long-métrage.
    La mise en scène excentrique dévoile des décors en carton, des costumes et coiffures délurés, des situations aussi cocasses que poétiques....Mais ce qui saute aux yeux, c’est la présence abondante d’un casting international même pour le plus petit rôle de figuration : Bill Murray, Owen Wilson, Benicio del Toro, Adrien Brody, Tilda Swinton, Frances McDormand, Timothée Chalamet, Elisabeth Moss, Edward Norton du côté des anglo-saxons ; Léa Seydoux, Lyna Khoudri, Mathieu Amalric, Cécile de France, Guillaume Gallienne, Pablo Pauly, Denis Ménochet, Félix Moati du côté des français ; ou encore l’allemand Christoph Waltz, l’italien Willem Dafoe et l’irlandaise Saoirse Ronan. “The French Dispatch” est presque un petit jeu à trouver où se cache tel ou tel acteur.
    Le scénario est lui aussi un jeu à tiroirs puisque l’histoire se décompose en quatre volets et un épilogue, tel un rubricage de journal. Bien entendu, chaque spectateur aura davantage son appétence pour une section portée par une partie de son casting préféré. Dans tous les cas, “The French Dispatch” est un hommage à une époque du journalisme qui n’existe plus et en fait une mosaïque singulière et attachante, même s’il peut parfois nous perdre en chemin.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    151 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 octobre 2021
    Je suis vraiment fan de Wes Anderson pour son style graphique, son sens inégalable de la composition de l'image et du cadre, chaque plan est vraiment vu comme une peinture, un tableau d'art. Mais je dois avouer que cela n'a pas suffit pour ce film-ci. J'ai vraiment pas accroché au scénario, bien que l'idée de reprendre une structure par chapitres tirés du dernier numéro d'un magazine n'est pas du tout mauvaise, mais encore faut-il que les histoires de chaque chapitre soit vraiment captivante. Et je dois dire que je n'ai pas du tout accroché avec les différentes histoires racontées. Je suis pourtant habitué au style de Wes Anderson, mais j'ai trouvé que dans The French Dispatch, tout était un peu trop à l'excès. La direction artistique, au-delà de sa patte visuelle originelle et des trouvailles visuelles toujours aussi riches, partait un peu dans tous les sens avec des scènes qui alternent couleurs et noir et blanc, dessin animée etc sans comprendre réellement pourquoi. Puis j'ai trouvé le rythme assez soutenu, avec des dialogues et la voix off utilisés beaucoup trop à l'excès. Je ne suis pas du tout rentré dedans. La ville française fictive du 20e siècle illustré durant le film s'appelle Ennui-sur-Blasé. Je ne dirai quand même pas que j'étais blasé, mais clairement j'étais dans l'ennui. Ce qui m'a franchement déçu car j'attendais beaucoup de ce film.
    Côté casting, nous avons toujours cet effet de défilement de talents, avec pour certains très peu de temps d'écran. Ils sont tous très bons dans le style, et cela faisait plaisir d'avoir quelques frenchy face à des monstres d'acting américain. Par contre j'ai été un peu déçu de la prestation de Lyna Khoudri, que je n'ai pas trouvé hyper convaincante (alors que j'adore tout ce qu'elle à fait jusque là qui pour moi est un parcours sans fautes). Là je l'ai trouvé plutôt lisse dans son jeu. Mais je me dis pour sa défense, que la direction d'acting de Wes Anderson est assez particulière, avec un phrasé bien spécifique, et pour le coup, ses scènes comportaient de long plan sans cut, avec des répliques assez longues et difficiles. C'est pourquoi j'ai eu beaucoup plus l'impression qu'elle se concentrait davantage sur son texte que sur le jeu lui-même.
    Assez déçu donc de l'ensemble du scénario, un peu brouillon et mal structuré/rythmé, bien que la mise en scène soit une nouvelle fois impressionnante de précision et visuelle. Mais cela ne fait pas tout.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2021
    Un très bon film de Wes Anderson, des histoires étonnantes, un casting 3 étoiles, une réalisation originale comme à l'habitude. Chaque plan est travaillé comme un tableau qu'on prend le temps d'admirer.
    lmc-3
    lmc-3

    235 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Poussé par une amie tandis qu’il ne m’intéressais pas dès le départ, je commencerais par trois éléments:
    - ne me spoilez pas le film, je ne l’ai vu qu’une fois
    - vous pouvez spoiler autant que vous voulez, c’était une fois de trop
    - "the french dispatch" ou la découverte d’un nouveau synonyme d’"ennui mortel"
    ….

    Une étoile et demie de soutient pour le soin accordé dans sa construction propre plaisant un public, mais pas moi, une étoile et demi pour le vocabulaire employé, rare à notre époque, une étoile et demie pour le culot général.

    Tout bonnement pas client, aucun commentaire, ni presse, ni spectateur, ne me parle, ne m’aidant pas à écrire quoi que ce soit d’objectif: un tel format ne pouvant que diviser les foules.

    Film de genre noté uniquement par les fans du réal (dont je ne connais pas le travail) avant moi.
    Je n’ai aucun référentiel de comparaison sinon le cinéma que je connais, composé de plus d’un milliers de titres dont la grande majorité bien moins singulière.

    Ça sort des clous. Pour le meilleur selon certains, pour le pire selon d’autres.
    Une expérience, plaisante ou non, dans tous les cas, ayant au moins le mérite de ne pas durer 3h (sans même ce ressenti).
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2021
    "The French Dispatch" a reçu un accueil mitigé lors de sa présentation au festival de Cannes : certains critiques ont notamment décrit un film inégal, formellement abouti mais dépourvu de fil directeur. Le film de Wes Anderson a en effet de quoi dérouter, il est certainement le moins narratif de son auteur et celui qui réfléchit le plus sur la singularité de cet art formaliste. Passé un prologue sympathique sans être emballant, le premier segment illustre le déploiement de la mise en scène d'Anderson – laquelle n'a jamais semblé aussi précise (on ne sait parfois plus quoi regarder à l'écran, tant les détails abondent) et libre – qui s'interroge sur sa condition d'artiste à travers le personnage de Moses Rosenthaler, psychopathe assumé et artiste torturé, dont la capacité de création est maintenue grâce à sa muse Simone (qui est aussi gardienne de prison). Cette dernière est à la fois contrôlante et contrôlée, sujet et objet, et c'est par ce double mouvement que Moses va pouvoir être inspiré : ce rapport dit beaucoup de l'amour que porte Anderson à ses acteurs et de la nécessité qu'il a de se projeter en eux pour se lancer dans un processus créatif. Par ailleurs, Moses finit par proposer une œuvre radicale, murale et par extension invendable, une image très solitaire et loin de toute logique marchande qui renvoie à l'idée du cinéma d'Anderson, qui se veut ici plus complexe et donc moins populaire. Si cette première partie ne donne pas une image très précise du métier de journaliste (un des principaux thèmes du film), le deuxième segment nous plonge dans une ambiance faisant écho à mai 68 où une journaliste se trouve au milieu du chaos (jusqu'à coucher avec le meneur de cette révolution, le jeune Zeffirelli). C'est dans ce mouvement central que le film saisit le mieux la solitude du métier de journaliste et la tension entre combat pour la liberté et moment où l'amour est au centre des préoccupations, le tout dans un mélange d'humour à froid très sophistiqué et lyrisme fulgurant, à l'image de ce plan éblouissant sur les deux amants qui filent dans la nuit sur une moto. Car outre les innombrables trouvailles formelles (splitscreens, ralentis, etc), c'est pour la première fois avec ce degré de puissance qu'Anderson injecte autant de romantisme, lequel culmine dans ce qui apparait peut-être comme le plus beau plan du film, soit le moment où le personnage de Saoirse Ronan s'approche d'un trou de serrure pour que l'enfant kidnappé se trouvant derrière voit son œil : l'image qui était alors en noir et blanc s'estompe provisoirement pour laisser éclater la couleur et la beauté de cet iris. Dans ce troisième segment, les liens avec la création et le journalisme sont moins évidents, l'histoire étant plus narrative et plus ludique. Reste que l'on suit avec plaisir cette opposition entre flics et malfaiteurs, dont le face-à-face s'exprime pleinement dans une course-poursuite animée totalement entrainante. Si le film met souvent en scène des personnages esseulés, il conclut avec l'idée selon laquelle le journalisme est aussi une aventure collective, un temple de solidarité où un texte ne s'écrit que grâce à une chaîne d'individus reliés entre eux. En somme, "The French Dispatch" est tout sauf un film décousu, il crée au contraire un trajet où les thématiques se tissent et se déploient, et à travers lesquelles la mise en scène s'affine et se réinvente ; et alors qu'on guettait une légère perte d'inspiration, Wes Anderson trouve ici le moyen idéal pour renouveler son cinéma en faisant respirer ses célèbres marques formelles.
    Laurent B.
    Laurent B.

    5 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    Le mot qui résume le mieux ce film est : diarrhée ! diarrhée verbale d'abord se traduisant par un flux ininterrompu de mots, de phrases sans aucun sens et donc sans aucun intérêt, si ce n'est de donner du texte à des acteurs visiblement désorientés et livrés à eux-mêmes. Diarrhée d'images ensuite totalement saturées de couleurs supposées être poétiques dont le seul effet sur le spectateur est le déclenchement d'une bonne migraine.
    Tout est très ennuyeux, dépourvu de sens. Bref, le pire film depuis des décennies. Mr le réalisateur, il ne suffit pas d'aligner une pléiade d'excellents acteurs pour faire un excellent film, il faut aussi du talent, et clairement, ce film démontre que vous en êtes totalement dépourvu.
    ChouX_D
    ChouX_D

    51 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Quelle déception, et pourtant quel grand réalisateur... On s'ennuie énormément, l'histoire n'a pas souvent de sens, on s'y perd entre les histoires et le lien entre elles. Triste de devoir écrire ces mots, mais la mayonnaise n'a pas du tout pris !
    Naughty Dog
    Naughty Dog

    815 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2021
    Après une sacrée lancée qualitative, The French Dispatch fait un peu objet de pas en arrière


    attention, on tient encore une fois un film à la fabrication méticuleuse dont seul Anderson a le secret : clairement on est face à un travail d'orfèvre dans le choix des cadrages, la direction des acteurs et surtout une direction artistique aux ptits oignons qui sent bon la baguette de pain et la bicyclette (ça sent encore l'Oscar pour Stockhausen)


    Mais le souci vient de la structure quasi anthologique du récit (calquée sur la structure d'un journal avec nécrologie, articles, etc) avec évidemment une qualité variable suivant les mini-histoires


    Toute la 1e partie est vraiment bonne, avec cette présentation du journal et d'Ennui-sur-Blasé (petite ville pittoresque de la France du XXe).

    S'ensuivent ensuite 3 gros morceaux : l'un en prison avec Benicio Del Toro, Adrien Brody et Léa Seydoux (le meilleur), un autre dans un contexte de révolte étudiante (Timothée Chalamet et Frances McDormand excellents) et le dernier auprès de la police dans une cocasse histoire d'enlèvement (Jeffrey Wright porte tout ce segment).


    Très verbeux, avec des belles idées à intervalles réguliers (dont un chouette passage animé comme dans une BD franco-belge), ce récit éclaté manque d'un soupçon de liant et de fibre émotionnelle (chose pourtant présente dans des films comme The Grand Budapest Hotel, l'Ile aux Chiens, Moonrise Kingdom...).


    Le cast est exemplaire (les centraux comme les cameos de luxe), et ça reste un chouette Wes Anderson
    Eric D.
    Eric D.

    4 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2021
    Incroyable le nombre d'acteurs qui se sont précipités pour jouer dans le dernier Wes Anderson, merci, merci, merci ! Un vrai régal avec des mélanges d'époques, des incursions de bande dessinée .etc. Mention spéciale à Léa Seydoux, Mathieu Amalric, Timothée Chalamet et surtout Frances McDormand qui est toujours aussi géniale ! On en redemande !
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 310 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2021
    À la mort de leur rédacteur en chef, Arthur Howitzer Jr. (Bill Murray), tous les journalistes de "The French Dispatch", l'antenne française d'un quotidien américain, se réunissent pour publier un ultime numéro. Il comprendra une rubrique nécrologique et trois articles écrits par les trois meilleures plumes du journal. Le premier sera centré sur un artiste peintre emprisonné dans un établissement pénitentiaire psychiatrique ; le deuxième évoquera la révolte étudiante qui a semé le chaos dans la petite ville d'Ennui-sur-Blasé ; le troisième racontera le kidnapping du fils de la police locale, libéré grâce au courage d'un grand chef.

    C'est peu dire qu'on attendait avec une folle impatience la sortie du dernier film de Wes Anderson.
    Parce qu'elle a été retardée par le Covid.
    Parce que Wes Anderson est incontestablement - même si je ne communie pas dans l'enthousiasme unanime qui entoure "The Grand Budapest Hotel" - l'un des réalisateurs contemporains les plus stimulants, au style immédiatement reconnaissable.
    Parce que son dernier film, qui se déroule dans un Paris fantasmé, est l'oeuvre d'un francophile revendiqué et flatte notre orgueil cocardier.
    Parce qu'enfin son casting est sans doute le plus dingue de l'année sinon du siècle, avec les plus grandes gloires américaines et françaises du moment : Benicio del Toro, Tilda Swinton, Frances McDormand, Timothée Chalamet, Léa Seydoux, Adrien Brody, Owen Wilson, Willem Dafoe, Saoirse Ronan, Elisabeth Moss, Edward Norton, Mathieu Amalric, Cécile de France, Guillaume Gallienne, Benjamin Lavernhe, etc.

    Face à une telle distribution, face à un tel réalisateur au sommet de son art, on ne peut être que saisi d'une admiration révérencielle. Et c'est bien là que le bât blesse.
    Je serais bien incapable de dire autre chose que ce que j'entends répéter autour de moi depuis dix jours. J'aurais bien aimé le dire plus tôt ; mais hélas, l'avant-première à laquelle j'aurais dû aller assister en galante compagnie affichait complet.

    "The French Dispatch" impressionne par sa somme de qualités, par sa parfaite maîtrise, par le sentiment qui ne nous lâche pas qu'on assiste au déploiement d'une oeuvre qui touche à la perfection. Mais "The French Dispatch" a aucun moment ne touche. Ses acteurs au jeu corseté ne suscitent aucune émotion - à la seule exception de Lyna Khoudri, la décidément surdouée interprète de "Papicha" qui tient la dragée haute à Timothée Chalamet. Les historiettes qu'ils racontent manquent d'unité pour retenir l'intérêt, aussi charmantes soient-elles prises isolément. On lit qu'il s'agirait d'un hommage à la presse écrite et tout particulièrement au New Yorker qu'a biberonné le jeune Wes Anderson durant toute sa formation intellectuelle. On veut bien le croire.... mais ces réminiscences n'éveillent aucun écho en nous.
    Christoblog
    Christoblog

    749 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2021
    A force de faire des films avec un rapporteur et un compas, Wes Anderson finit par oublier que le cinéma est avant tout histoire de sensations.

    Dans ce film manifeste qui se veut d'une certaine façon le couronnement d'une "méthode", le cinéaste américain multiplie les vignettes, d'une qualité inégale.

    La première des trois histoires est assez plaisante, grâce à Léa Seydoux, Del Toro et Brody. La seconde est faible : je n'y ai vraiment rien trouvé d'intéressant et Lyna Khoudri n'est malheureusement pas à sa place, au milieu du casting le plus prestigieux qu'on ait peut-être jamais vu. Quant au troisième récit, il concentre le pire de ce qu'on peut reprocher au film : les procédés de Wes Anderson y deviennent des recettes éculées, servies par un style compassé, qui peut encore toutefois faire mouche.

    Trop d'idées, trop de plans, trop d'infos dans chaque plan, trop de détails, trop de langues, trop d'intentions, trop de caricatures. Et pas assez d'émotions. Le contraste avec le film précédent d'Anderson, L'île aux chiens, exigeant, simple et sombre, est frappant.
    lionelb30
    lionelb30

    391 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 novembre 2021
    Conforme a sa filmographie. Très graphique , très foisonnant , trop , une france fantasmé style années30-40-50-60. Pas de grande cohérence entre les scènes donc on décroche très souvent. Original certes mais sans grand intérêt.
    Aurelie V
    Aurelie V

    29 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    J'adore Wes Anderson et son Univers. Mais là ce fut une déception ! La forme sans le fond ne suffit pas, et l'esthétique du film a beau être magnifique (quoi que trop parfois, sans répit), ça manque de fond et les nombreuses longueurs font décrocher.
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