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Chaîne 42
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2,5
Publiée le 24 juillet 2021
Sans conteste une version Space Opera de Moby-Dick fameux roman de 1851 de Herman Melville. En deux mots un capitaine est obsédé par une grosse baleine blanche et la traque pour s'en venger au péril de ceux qui l'accompagne et de sa raison. Il y a comme une mythologie retranscrite dans cette histoire et si le scénario paraît bien mince, il ne l'est pas tant que cela. C'est purement du Space Opera pas trop horrifique et c'est pour cette raison que l'on regardera ce film car en cela il n'est pas si mal. Mais à côté, il n'a pas non plus trop d'attrait car c'est un méli mélo de caractéristiques de films futuristes qui ressemble bien au monde actuel extrapolé dans un futur relativement proche et improbable dans son extension spatiale de 2132. L'extrapolation elle même n'est pas nullissime juste dans la ligne habituelle d'un capitalisme pourri et pédant qui perdure dans une certaine diversité avec ses marginaux et tous ses vices. Et des histoires d'équipage hétéroclite, de mensonge, de méchants, d'aventures, d'infection alien et de bataille contre ledit monstre notamment. Les acteurs sont moyens mais pas pire que d'autres de même que l'ensemble du film ni plus ni moins.
Rarement téléfilm S.F aura maintenue autant l'attention. La réalisation respecte une certaine gageure et surprend son public. Beyond White Space, plus qu'une adaptation du Roman d'Herman Melville, Moby Dick, demeure parmi les réussites discrète qui doit être mise en lumière.
L'idée aurait pu être pas mal, pour cette transposition assez évidente de Moby Dick dans l'espace. Hélas, hélas, trois fois hélas... la résultat est très pauvre. Les dialogues sont d'un niveau assez bas et les il se passe davantage de scènes à l'intérieur du vaisseau que dans l'espace ! On décroche très vite.
Un film SF qui fleure le déjà vu et ressort à la pelle des clichés tels que les relations père /fils, le transfert de cette relation entre frères, etc. Un film aux allures de série B ou Z avec des faibles moyens criants et un décor qui se limite à un intérieur de vaisseau spacial huileux et cheap et des effets spéciaux minimalistes mais néanmoins corrects si on n'est pas trop exigeant. Une fin cousue de fil blanc, pas d'imagination à attendre de ce côté là. La sexy et sculpturale Zulay Henao est cantonnée à un rôle assez décoratif et encore. Un petit divertissement sans intérêt mais sans catastrophe si on tient compte des moyens et du scénario minimaliste.