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Votre avis sur S.O.S. Fantômes : L'Héritage ?
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J'en attendais beaucoup plus. Les personnages sont pas intéressants, l'histoire est basique au possible et ils se sont pas foulés pour la fin. Le retour des nouveaux persos est pas vraiment nécessaire. J'ai trouver l'acting de la petite insupportable. C'est le moins bon de la saga car il y avait un grand potentiel mais il a été ruiné bêtement.
Une tentative assez paresseuse de relancer la franchise,
Certes émouvante, avec l’hommage à Harold Ramis et la friandise du retour de la 1ere génération chérie pour le dernier acte.
Mais ce dernier acte, le seul à respecter un peu l’esprit Ghostbuster, ne suffit pas.
Le film s’enferme dans une nostalgie sans saveur ni idée nouvelle, et la tentative d’y raccorder une jeune génération finit par tomber dans les mêmes travers de ce qui ne marche pas dans « Stranger Things » (série prometteuse, mais qui déçoit par sa narration de chaque deuxième partie de saison).
L’intrigue est littéralement copiée du premier film. Beaucoup de personnages sont inintéressants oú stéréotypés, et surtout sans la fantaisie ou l’humour cabotin de l’original. (Ghostbusters 1984 est l’un des rares films où le cabotinage apporte un réel plus, et une saveur décontractée).
Au moins, le remake imparfait d’il y a 8 ans était un peu marrant.
Bref, encore un film, dans la mouvance de ce Hollywood blockbuster du 21e s, qui coche les cases avec beaucoup de sérieux en fait, sans créativité…et qui démontre au final que le film original n’avait pas besoin d’une franchise.
Certes émouvante, avec l’hommage à Harold Ramis et la friandise du retour de la 1ere génération chérie pour le dernier acte.
Mais ce dernier acte, le seul à respecter un peu l’esprit Ghostbuster, ne suffit pas.
Le film s’enferme dans une nostalgie sans saveur ni idée nouvelle, et la tentative d’y raccorder une jeune génération finit par tomber dans les mêmes travers de ce qui ne marche pas dans « Stranger Things » (série prometteuse, mais qui déçoit par sa narration de chaque deuxième partie de saison).
L’intrigue est littéralement copiée du premier film. Beaucoup de personnages sont inintéressants oú stéréotypés, et surtout sans la fantaisie ou l’humour cabotin de l’original. (Ghostbusters 1984 est l’un des rares films où le cabotinage apporte un réel plus, et une saveur décontractée).
Au moins, le remake imparfait d’il y a 8 ans était un peu marrant.
Bref, encore un film, dans la mouvance de ce Hollywood blockbuster du 21e s, qui coche les cases avec beaucoup de sérieux en fait, sans créativité…et qui démontre au final que le film original n’avait pas besoin d’une franchise.
Une réussite aussi inattendue que réjouissante, portée par le savoir-faire de Jason Reitman (qui rend à la fois hommage au travail de son père et redonne vie à la saga avec maestria) et le talent XXL de ses comédiens, Mckenna Grace, Carrie Coon et Paul Rudd en tête.
« SOS Fantômes : L'Héritage » mélange habilement l'ancien et le nouveau, regorgeant de références à la saga originale. Toutefois, malgré son foisonnement de scènes d'action et sa tentative de séduire un public intergénérationnel, le film ne parvient pas à me convaincre pleinement. Il tente intelligemment d'étendre l'univers de SOS Fantômes, mettant en lumière des aspects mythologiques jusque-là effleurés. Cependant, son principal défaut réside dans sa tendance au recyclage paresseux, un piège courant pour des franchises ressuscitées telles que « Star Wars » et « Terminator ». Le film semble trop s'appuyer sur la nostalgie, se contentant de réchauffer des souvenirs plutôt que d'apporter de réelles nouveautés. Il ressuscite certes des éléments familiers, mais manque cruellement de créativité et d'originalité. « SOS Fantômes : L'Héritage » captive par instants grâce à sa charge émotionnelle, mais reste prisonnier d'un format trop conventionnel, dénué de l'audace nécessaire pour se distinguer véritablement.
Retrouvez mon amour du Far West dans les romans WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
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un bon moment de divertissement
"SOS Fantômes : L'Héritage" offre un bon moment de divertissement en réussissant à tisser habilement des liens avec les acteurs emblématiques de la franchise. Porté par une nouvelle génération de jeunes comédiens exceptionnels, le film réussit à insuffler une énergie fraîche à cet univers culte.
Les jeunes comédiens apportent une dynamique nouvelle, tout en conservant l'esprit humoristique qui a fait le succès des films précédents.
L'intrigue bien construite et les clins d'œil nostalgiques satisferont les fans de longue date (comme ceux qui découvrent l'univers des Ghostbusters). Le film réussit ainsi à captiver le public avec un mélange parfait de nostalgie et d'innovation.
"SOS Fantômes : L'Héritage" offre un bon moment de divertissement en réussissant à tisser habilement des liens avec les acteurs emblématiques de la franchise. Porté par une nouvelle génération de jeunes comédiens exceptionnels, le film réussit à insuffler une énergie fraîche à cet univers culte.
Les jeunes comédiens apportent une dynamique nouvelle, tout en conservant l'esprit humoristique qui a fait le succès des films précédents.
L'intrigue bien construite et les clins d'œil nostalgiques satisferont les fans de longue date (comme ceux qui découvrent l'univers des Ghostbusters). Le film réussit ainsi à captiver le public avec un mélange parfait de nostalgie et d'innovation.
Un grand bravo à « SOS Fantômes, l’Héritage » qui réussit l’exploit d’être enfin un film digne de succéder et de relancer une franchise culte, archivée dans les mémoires cinématographiques depuis 1989. En effet, ces nouvelles aventures, à la différence notoire de la version sans intérêt de 2016, s’inscrivent dans la lignée des deux premiers opus signés Ivan Reitman. Certes, l’entreprise n’est pas parfaite car la première heure est longue à se mettre en place, les fantômes se font attendre et tellement d’emprunts sont faits à la version de 1984 que l’on pourrait crier au plagiat, mais… mais… mais ça marche et c’est rudement malin ! Car « l’héritage » porte bien son nom et à bien des égards. Lesdits emprunts sont en réalité des clins d’œil réjouissants ainsi qu’un vibrant hommage aux deux premiers films et ressemblent à des offrandes qui expliquent le projet et facilitent au passage l’adhésion du spectateur à cette nouvelle génération de chasseurs de fantômes. A ce titre, il faut préciser que les jeunes héros sont particulièrement sympathiques (Trevor, Lucky et surtout Phoebe et Podcast) et la participation fugace des acteurs historiques (dont un magnifique et émouvant hommage au regretté Harold Ramis) ajoute par ailleurs pas mal de la légitimité à l’ensemble, sans oublier la musique de Rob Simonsen qui dépoussière le thème original. Tout cela fut certainement possible en raison du fait qu’Ivan Reitman a laissé la mise en scène à son fils Jason, forcément imbibé de nostalgie et prompt à respecter l’œuvre originale. Un joli pari qui, à l’avenir, doit prendre de l’ampleur et du nerf à travers, espérons-le, de futurs scénarios soignés et originaux. Malgré ces fragilités de départ, le film s’avère cohérent, divertissant et donne envie de retrouver les casseurs de fantômes, qu’ils soient jeunes ou aguerris.
Un scénario tout ce qu'il y a de plus creux, des dialogues soporifiques, du fan service à gogo et de la nostalgie par grands sceaux ne permettent clairement pas à ce film de tirer son épingle du jeu. C'est un film pour pré-ados mais pas pour des adultes fans de la franchise et qui ont un minimum d'exigences. Ce navet vous fait revoir vos attentes à la baisse ou alors il faut débrancher son cerveau avant de lancer la projection car il n'y a aucune cohérence. Ce film se base juste sur notre mélancholie et sur une narration abracadabrantesque...
Ce reboot de SOS Fantômes ne renouvelle pas les deux films originaux des années 1980 puisqu'il va jusqu'à reprendre d'anciens personnages et le même antagoniste.
La seule différence ici, et écart bienvenu, est la présence d'enfants/ ados pour prendre la relève. Forcément de nouvelles dynamiques prennent place et les personnages sont plutôt attachants. On pense évidemment à Spielberg ou plus récemment à Stranger Things en regardant SOS Fantômes : L'Héritage et son paysage campagnard des États-Unis, tandis que la bande d'enfants a troqué son vélo pour la Cadillac Ecto-1.
Le film prend le temps (et le soin) de présenter le cadre et les personnages dans une première heure plutôt sympathique avant de précipiter sa fin dans une dernière séquence qui n'a aucun autre intérêt que de caresser le spectateur dans le sens du poil et faire du fan-service. Malgré tout, SOS Fantômes : L'Héritage reste plaisant et divertissant bien que l'on reste sur sa faim.
La seule différence ici, et écart bienvenu, est la présence d'enfants/ ados pour prendre la relève. Forcément de nouvelles dynamiques prennent place et les personnages sont plutôt attachants. On pense évidemment à Spielberg ou plus récemment à Stranger Things en regardant SOS Fantômes : L'Héritage et son paysage campagnard des États-Unis, tandis que la bande d'enfants a troqué son vélo pour la Cadillac Ecto-1.
Le film prend le temps (et le soin) de présenter le cadre et les personnages dans une première heure plutôt sympathique avant de précipiter sa fin dans une dernière séquence qui n'a aucun autre intérêt que de caresser le spectateur dans le sens du poil et faire du fan-service. Malgré tout, SOS Fantômes : L'Héritage reste plaisant et divertissant bien que l'on reste sur sa faim.
Redzing
Plus personne n’espérait ni n’attendait un nouveau Ghostbusters. A de nombreuses reprises, le projet avait été évoqué, mais retoqué (notamment par Bill Murray, grand déçu de « Ghostbusters II »). Puis Harold Ramis est décédé en 2014. Et un reboot féminin de piètre qualité est sorti en 2016. Bref, la franchise semblait au fond du trou.
Surprise, en 2019 est annoncé ce « Ghostbusters: Afterlife », suite directe des deux premiers volets. Et réalisé par Jason Reitman, habitué aux films indépendants qui grattent, mais surtout fiston d’Ivan Reitman, réalisateur des deux films originaux ! Alors, qu’est-ce que ça vaut ?
Je dois dire que j’ai plutôt apprécié la première partie. Déjà parce qu’elle prend son temps pour poser son cadre et ses (nouveaux) personnages. Les décors changent agréablement, on quitte New York pour une bourgade paumé de l’Oklahoma. Lieu propice pour servir les intentions du film : un récit initiatique adolescent, typique des années 80.
On retrouve vraiment l’ambiance des productions Amblin & cie, type « E.T. », « the Goonies », Stand by me »… Avec ados espiègles et attachants, dont en tête la jeune Mckenna Grace, charismatique en jeune prodige aventureuse qui devient vite le cerveau de la bande.
Une atmosphère qui permet de traiter la thématique du film : celle de la paternité, et de l’héritage en général (d’où le titre VF du film, pour une fois relativement inspiré). Autant à travers les personnages, que derrière la caméra, tant on imagine la pression qu’a du subir Jason Reitman de ne pas saccager le patrimoine cinégénique mis en forme par son père.
Et puis arrive la deuxième partie et la fête aux fantômes… C’est certes proprement réalisé, les effets spéciaux sont plutôt bons malgré un « petit » budget de 75 millions (on est loin de la bouillie numérique de la version 2016). L’humour fonctionne assez bien… dont une blague sur le wokisme alors que l’équipe est elle-même composée de deux femmes, un asiatique, et une noire ! Et il y a même un touchant hommage à Harold Ramis, bien intégré au récit.
Mais j’ai été moins convaincu. La faute à de trop nombreux clins d‘oeil au premier film (musique, références visuelles, répliques, situations, caméos…). On quitte souvent le fan service pour aller vers le copié-collé. Et peu d’originalité, le méchant étant simplement le même que dans le premier film ! Sans compter une résolution trop expédiée, et des invraisemblances dans l’intrigue (personne n’a vu nos héros poursuivre un fantôme en plein centre-ville ???).
A l’arrivée, ce n’est ni déshonorant ni follement emballant, mais dans tous les cas c’est meilleur que ce que l’on pouvait craindre.
Surprise, en 2019 est annoncé ce « Ghostbusters: Afterlife », suite directe des deux premiers volets. Et réalisé par Jason Reitman, habitué aux films indépendants qui grattent, mais surtout fiston d’Ivan Reitman, réalisateur des deux films originaux ! Alors, qu’est-ce que ça vaut ?
Je dois dire que j’ai plutôt apprécié la première partie. Déjà parce qu’elle prend son temps pour poser son cadre et ses (nouveaux) personnages. Les décors changent agréablement, on quitte New York pour une bourgade paumé de l’Oklahoma. Lieu propice pour servir les intentions du film : un récit initiatique adolescent, typique des années 80.
On retrouve vraiment l’ambiance des productions Amblin & cie, type « E.T. », « the Goonies », Stand by me »… Avec ados espiègles et attachants, dont en tête la jeune Mckenna Grace, charismatique en jeune prodige aventureuse qui devient vite le cerveau de la bande.
Une atmosphère qui permet de traiter la thématique du film : celle de la paternité, et de l’héritage en général (d’où le titre VF du film, pour une fois relativement inspiré). Autant à travers les personnages, que derrière la caméra, tant on imagine la pression qu’a du subir Jason Reitman de ne pas saccager le patrimoine cinégénique mis en forme par son père.
Et puis arrive la deuxième partie et la fête aux fantômes… C’est certes proprement réalisé, les effets spéciaux sont plutôt bons malgré un « petit » budget de 75 millions (on est loin de la bouillie numérique de la version 2016). L’humour fonctionne assez bien… dont une blague sur le wokisme alors que l’équipe est elle-même composée de deux femmes, un asiatique, et une noire ! Et il y a même un touchant hommage à Harold Ramis, bien intégré au récit.
Mais j’ai été moins convaincu. La faute à de trop nombreux clins d‘oeil au premier film (musique, références visuelles, répliques, situations, caméos…). On quitte souvent le fan service pour aller vers le copié-collé. Et peu d’originalité, le méchant étant simplement le même que dans le premier film ! Sans compter une résolution trop expédiée, et des invraisemblances dans l’intrigue (personne n’a vu nos héros poursuivre un fantôme en plein centre-ville ???).
A l’arrivée, ce n’est ni déshonorant ni follement emballant, mais dans tous les cas c’est meilleur que ce que l’on pouvait craindre.
ManoCornuta
Nous restons de grands enfants: c'est un résumé très rapide des sentiments qui se bousculent à la sortie du visionnage. Tout est fait pour nourrir la nostalgie dans le plus grand respect, à un tel degré qu'on a l'impression de voir des fans qui ont traversé l'écran pour rentrer dans l'univers de leurs héros, juste pour faire un peu plus grand avec un peu plus de moyens. L'ensemble manque quand même de l'humour jubilatoire des premiers films, bien qu'il faille lui reconnaître en parallèle une maîtrise technique évidente. Nouvel exemple de la politique hollywoodienne consistant à faire du neuf avec du vieux pour garantir le succès.
Très sympa, j'ai retrouvé l'ambiance des films de ma jeunesse. Tous les acteurs jouent très bien et ce film est un superbe hommage à Harold Ramis.
C'est un excellent film, les montage vidéo sont vraiment excellents, je recommande vivement ce film
Est-ce au nom de la nostalgie que la note est si correcte ? Je n'ai pas du tout accroché à ces enfants chasseurs de fantômes ! Ça n'apporte pas grand chose par rapport à la version originale. J'ai seulement apprécié les 10 premières minutes, la suite étant un film pour enfants...
2,5/5
2,5/5
J'ai trouvé ce film génial un très belle hommage et je ne comprends vraiment pas pourquoi certains l'ont critiqué quand on voit le remake il n'y a pas photo il est vraiment super surtout pour une fan des 2 premiers comme moi.
Très déçu par rapport à la bande annonce, j'vais bien aimé le 1 moins bien le 2, mais celui c'est pour les enfants !
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