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Votre avis sur S.O.S. Fantômes : L'Héritage ?
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Suite des deux premiers films cultes des années 80 et réalisé par Jason REITMAN (le fils d'Ivan REITMAN, le réalisateur des deux premiers opus), S.O.S Fantômes L'Héritage porte bien son nom à plus d'un titre.
Déjà l'héritage d'un père vers son fils, avec l'univers qu'il a créé. En cela, on retrouve avec plaisir de multiples références au premier Ghostbusters (le scénario se rapprochant du premier Ghostbuster, cf. la réplique à la question "Es-tu un Dieu ?" XD) : ça peut déranger certains mais pour ma part, je n'ai pas boudé mon plaisir.
Le second point concerne l'Héritage de la famille Spengler, avec McKenna GRACE qui porte le film sur ses épaules comme digne héritière d'Egon SPENGLER.
Le film lorgne ouvertement vers les années 80 (une image à la Strangers Things, un univers proche des films d'Amblin Entertainment et notamment des Goonies) jouant sur la nostalgie de cette époque pour capitaliser sur la sympathie évoquée par cette période.
Le rythme est bien soutenu, sans susciter d'ennui, pour se terminer par un hommage émouvant à l'un des protagonistes de la franchise.
Ne manquez pas les deux scènes bonus !
Déjà l'héritage d'un père vers son fils, avec l'univers qu'il a créé. En cela, on retrouve avec plaisir de multiples références au premier Ghostbusters (le scénario se rapprochant du premier Ghostbuster, cf. la réplique à la question "Es-tu un Dieu ?" XD) : ça peut déranger certains mais pour ma part, je n'ai pas boudé mon plaisir.
Le second point concerne l'Héritage de la famille Spengler, avec McKenna GRACE qui porte le film sur ses épaules comme digne héritière d'Egon SPENGLER.
Le film lorgne ouvertement vers les années 80 (une image à la Strangers Things, un univers proche des films d'Amblin Entertainment et notamment des Goonies) jouant sur la nostalgie de cette époque pour capitaliser sur la sympathie évoquée par cette période.
Le rythme est bien soutenu, sans susciter d'ennui, pour se terminer par un hommage émouvant à l'un des protagonistes de la franchise.
Ne manquez pas les deux scènes bonus !
Je ne connaissais que de nom les anciens SOS Fantôme, je suis allé voir aucun de ces films, donc je n'avais pas spécialement de moyen de comparaison. J'y suis donc allé de façon totalement neutre et je n'ai pas été dessus par ce film. Il y a de l'ambiance, on ne s'ennuie pas et l'humour est bien dosé. Les personnages sont attachants et l'histoire attrayante. La fin est au top. A voir sans hésiter.
Très bon film , j'adore !
Je recommande a tous les fans de ghostbusters !
Le fan service est incroyable.
Le retour des anciens est fou !!!
Je recommande a tous les fans de ghostbusters !
Le fan service est incroyable.
Le retour des anciens est fou !!!
selenie
Le film reprend un canevas qui a fait ses preuves avec notamment les "Jumanji" où un objet symbolique permet un lien avec le passé et permet surtout un lien intergénérationnel. On ne sera pas surpris par les paramètres intra-familiaux aussi clichés qu'éculés mais la sauce prend doucement. Evidemment, l'arrivée "surprise oh ! surprise" des S.O.S. Fantômes fait son effet avec surtout un revenant qui fait un plaisir fou façon réunion des "Spider-Man" tout récemment. Le retour de quelques "monstres" emblématiques sont d'autant d'effet cool et fun, quelques passages sont vraiment réussis comme les ados en course-poursuite dans la cadillac Ecto-1 originale, le combat façon crash-test contre le mange-tout, et forcément l'instant émotion de la fin, si attendu et en même temps un passage si obligatoire. Jason Reitman réussi un joli pari même si le film n'est pas dénué des facilités inhérentes aux productions hollywoodiennes du genre la tambouille reste un vrai plaisir coupable à voir en famille.
Site : Selenie
Site : Selenie
Ti Nou
Dans la longue liste des suites opportunistes des sagas cultes des années 80, "S.O.S. fantômes – L’héritage" ne s’en sort pas trop mal. Il s’en sort en tout cas bien mieux que la version horripilante de Paul Feig, notamment car c’est Jason Reitman qui se saisit de l’héritage de son père.
Objectivons
Une suite sortie plus de 30 ans après le 2 qui se sert à la fois de la nostalgie de ceux qui ont vu les deux films de 1984 et 1989 comme du rajeunissement extrême des personnages principaux (qui ont entre 10-12 ans à 15-16 ans) pour attirer les enfants et un nouveau public. Ce qui conduit le scénario - pas très original et pas mal calqué sur celui de 1984 à l'approche de la fin - à jongler pour satisfaire tout le monde. On passe tout de même un assez bon moment.
Jason Reitman propose un film-hommage à celui de son père, Ivan Reitman. A part quelques éléments modernes, dans le casting essentiellement, il reprend les codes . A part avoir délocalisé l’action dans le Middle West et avoir rajeuni son casting, on est clairement dans une sorte de révérence. Si on voit le verre à moitié vide, on considère que c’est un sérieux manque d’imagination, si on le voit à moitié plein, c’est une sorte de madeleine pour quadragénaires ! Dans la forme, Jason Reitman coche les cases du blockbuster grand public (qui peut quand même faire un peu peur au très jeune public, je pense) : scènes d’actions qui durent (un peu trop) longtemps, musique omniprésente , effets spéciaux, pyrotechnie, petite histoire d’amour qui va bien
spoiler:
(entre Callie et le professeur de Phoebe, je ne spoile rien, on la voit venir au bout de 10 minutes !)
, seconds rôles essentiellement là pour faire rire et faire les bon mots (Podcast), il ne manque rien. C’est très maitrisé, hyper produit, hyper calibré, efficace. Il a un peu de poésie aussi, avec la scène finale . Niveau casting, il y a quelques (très bonnes) surprises, dont je ne dirais évidemment rien, et même une scène post générique charmante. On est en 2021, le casting est bien entendu plus jeune (Finn Wolfhard, McKenna Grace, Logan Kim, Celeste O’Connor), plus féminin, plus multiethnique, il fallait s’y attendre. Ils font de leur mieux même s’ils trouvent vite leurs limites! Connie Coon et Paul Rudd sont charmants mais là aussi, faute de rôle très écrits, ils sont au service minimum. Paul Rudd en profite pour cabotiner un peu, c’est de bonne guerre et comme il est craquant, on lui pardonne. Le scénario tourne en permanence autour du thème de la paternité. En faisant la suite d’un film de son père, Jason Reitman ne s’est pas contenté de rendre hommage à une histoire de chasseurs de fantôme qui a fait le tour de la terre et a surement bercé son enfance, il creuse le sillon. Il dépeint dans son scénario des pères absents, des pères démissionnaires, des pères qui font le sacrifice de leur paternité au nom d’un intérêt supérieur. Et puis, ce père qui tient la main quand on en a le plus besoin, avec qui on se réconcilie finalement sur le tard, peut-être Jason Reitman parle-t-il de son père (ou à son père) à travers ce film. Ce n’est pas pour rien que le film est appelé « L’Héritage », tout ici est question de filiation. La petite fille de Spendler, surdouée et très attirée par la science, est l’incarnation de cette filiation ratée avec Callie mais réussie avec Phoebe. Si on regarde ce blockbuster aussi par ce prisme là, c’est un blockbuster qui ne parle pas que de chasse au fantôme . « SOS Fantômes : l’Héritage » est un film familial qui plaira surement aux enfants de 2021 et fera office de friandise nostalgique à leur parents.
, seconds rôles essentiellement là pour faire rire et faire les bon mots (Podcast), il ne manque rien. C’est très maitrisé, hyper produit, hyper calibré, efficace. Il a un peu de poésie aussi, avec la scène finale . Niveau casting, il y a quelques (très bonnes) surprises, dont je ne dirais évidemment rien, et même une scène post générique charmante. On est en 2021, le casting est bien entendu plus jeune (Finn Wolfhard, McKenna Grace, Logan Kim, Celeste O’Connor), plus féminin, plus multiethnique, il fallait s’y attendre. Ils font de leur mieux même s’ils trouvent vite leurs limites! Connie Coon et Paul Rudd sont charmants mais là aussi, faute de rôle très écrits, ils sont au service minimum. Paul Rudd en profite pour cabotiner un peu, c’est de bonne guerre et comme il est craquant, on lui pardonne. Le scénario tourne en permanence autour du thème de la paternité. En faisant la suite d’un film de son père, Jason Reitman ne s’est pas contenté de rendre hommage à une histoire de chasseurs de fantôme qui a fait le tour de la terre et a surement bercé son enfance, il creuse le sillon. Il dépeint dans son scénario des pères absents, des pères démissionnaires, des pères qui font le sacrifice de leur paternité au nom d’un intérêt supérieur. Et puis, ce père qui tient la main quand on en a le plus besoin, avec qui on se réconcilie finalement sur le tard, peut-être Jason Reitman parle-t-il de son père (ou à son père) à travers ce film. Ce n’est pas pour rien que le film est appelé « L’Héritage », tout ici est question de filiation. La petite fille de Spendler, surdouée et très attirée par la science, est l’incarnation de cette filiation ratée avec Callie mais réussie avec Phoebe. Si on regarde ce blockbuster aussi par ce prisme là, c’est un blockbuster qui ne parle pas que de chasse au fantôme . « SOS Fantômes : l’Héritage » est un film familial qui plaira surement aux enfants de 2021 et fera office de friandise nostalgique à leur parents.
gabdias
Retour de la franchise après le navet de la version féminine en 2016, ici entre action pure, fantastique, comédie et surtout un côté nostalgique notamment dans la dernière partie, le résultat est plutôt intéressant et meilleur qu’escompté. Plein de bonnes intentions et de belles réussites, ça reste du recyclage et avec un défaut d’originalité mais au final c’est bien foutu.
Avis mitigé sur cette suite qui est finalement un reboot avec les mêmes recettes que la trilogie précédente. Un peu déçu car aucune prise de risque dans ce quatrième opus. La suite est très prévisible et l'histoire est linéaire sans réels rebondissements. Les jeunes surdoués font l'histoire avec les mêmes ingrédients que par le passé et j'ai souvent la sensation de déjà vu. C'est minimaliste, pas d'effets grandioses comme on a pu voir à NY dans les films des années 80. Des acteurs pas très inspirés et pas très inspirants vu leur jeune âge. Au final, une petite histoire de famille qui manque d'audace. On est pas trop dans l'esprit déjanté des films précédents. Juste le final pour nous mettre une agréable petite couche nostalgique. C'était bien mais rien d'exceptionnel.
Agréablement surpris après la bouse de 2016. L'histoire est courante et intéressante. Il faut une bonne heure pour mettre en place L'histoire mais après c'est que du kiff. Un plaisir de voir des effluves se recroiser ! La réalisation est impeccable et même si il ne se passe pas grand chose au début, on ne s'ennuie pas. Un bon film divertissant.
Un fan service assez sympathique à la manière Stranger things. Mais ça reste assez faible côté scénario à cause de ses trop nombreux clins d'œil et de son manque d'innovation malgré quelques bonnes idées.
Pour citer une grande phrase :"la pomme est tombée très loin de l'arbre".
Rien n'est a sauver dans ce film. D'après les critiques, je m'attendais à quelque chose de bien mais apparemment le monde a bien évolué depuis les années 80. Rien n'est crédible. Une bande d'ado que rien ne choque, ils savent tout : la mécanique, la science, l'histoire, franchement à 15 ans, chapeau ! Il aurait dû tourner un film historique ! Bref je pourrait mattarder sur chaque scène mais j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps à écrire cela donc passez votre chemin sur ce film et limitez vous au bon vieux chef d'œuvre des années 80.
Rien n'est a sauver dans ce film. D'après les critiques, je m'attendais à quelque chose de bien mais apparemment le monde a bien évolué depuis les années 80. Rien n'est crédible. Une bande d'ado que rien ne choque, ils savent tout : la mécanique, la science, l'histoire, franchement à 15 ans, chapeau ! Il aurait dû tourner un film historique ! Bref je pourrait mattarder sur chaque scène mais j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps à écrire cela donc passez votre chemin sur ce film et limitez vous au bon vieux chef d'œuvre des années 80.
ConFucAmuS
Comment aborder ce troisième volet certifié ? Un mot d'excuse pour le reboot 2016, qu'il efface purement et simplement ? Un "Greatest Hits" à l'attention des fans ? Ou y a-t-il une troisième option, plus profonde ? Deux informations pourraient orienter vers ce choix subsidiaire, et elles font écho avec le sous-titre français, L'Héritage. Il est bien question de ça, au sens propre comme au figuré. Comment les personnages se positionnent par rapport à un legs qui ne leur renvoient pas que de bons souvenirs ? D'un autre côté, quelle est la marge que s'accorde le réalisateur Jason Reitman en chaussant les souliers de son défunt père Ivan Reitman, qui signa les deux premiers SOS Fantômes ? Pour le meilleur et pour le pire, le passé est encore une fois le cœur de cette exhumation.
Le meilleur, vous l'aurez pendant la première heure. Reitman brosse le portrait d'une famille sur le carreau avec tendresse. Même si tout cela n'a rien de passionnant, le script s'amuse déjà avec le concept d'un temps éprouvant. La maman en a gros sur la patate, le grand-frère est en pleine adolescence et la petite dernière est une tête d'ampoule à la marge. Plier bagage, quitter la grosse pomme pour une petite bourgade recentre les enjeux sur l'humain. Avouez, pour quiconque à grandi en regardant les productions Amblin, c'est donné. Si en plus vous avez le casting idéal. À ce niveau, L'Héritage a mis les petits plats dans les grands. Une Carrie Coon encore une fois superbe, un Paul Rudd d'une coolitude hors-norme. Pourtant, le vrai coup de génie on le trouve en la personne de McKenna Grace, qui revitalise la figure de l'héroïne solitaire et courageuse. Son duo avec le délicieux Logan Kim justifie à lui-seul la légitimité de ce troisième volet. À leurs côtés, c'est comme si on retrouvait le goût de ces aventures innocentes, rigolotes et avisées qui (re)donnent du baume au cœur...pendant un moment.
Dès que le film ouvre les sarcophages et libère le bestiaire fantomatique, ce n'est plus que pour jouer la partition connue. Logique puisqu'on attendait que ça ? Pas vraiment, L'Héritage ouvrait certaines perspectives plus intéressantes qui pavaient la route pour une résolution potentiellement plus satisfaisante. De surcroit, Jason Reitman est plus un cinéaste poil-à-gratter qu'un faiseur docile, comme l'ont démontré Juno, Thank you for Smoking ou In the air. On le voyait mieux aux commandes d'une célébration plus malicieuse. Tant pis, de cela on ne verra que des bouts. Le gros de cette deuxième partie ectoplasmique se compose d'une énorme louche de nostalgie et de rebondissements téléphonés, dont le duel final représente le paroxysme. Pilotage automatique, sauf que la direction n'a franchement aucun intérêt. Pas désagréable, c'est même globalement bien tenu sur l'aspect visuel. N'empêche que l'enthousiasme retombe quelque peu, en rendant certaines ficelles encore plus évidentes. Comme si Reitman avait changé d'avis pour livrer quelque chose de consensuel, histoire de ne pas être accusé d'avoir profané l'héritage familial. Il eut été préférable de continuer à jouer avec le passé plutôt que de vouloir le rejouer.
Le meilleur, vous l'aurez pendant la première heure. Reitman brosse le portrait d'une famille sur le carreau avec tendresse. Même si tout cela n'a rien de passionnant, le script s'amuse déjà avec le concept d'un temps éprouvant. La maman en a gros sur la patate, le grand-frère est en pleine adolescence et la petite dernière est une tête d'ampoule à la marge. Plier bagage, quitter la grosse pomme pour une petite bourgade recentre les enjeux sur l'humain. Avouez, pour quiconque à grandi en regardant les productions Amblin, c'est donné. Si en plus vous avez le casting idéal. À ce niveau, L'Héritage a mis les petits plats dans les grands. Une Carrie Coon encore une fois superbe, un Paul Rudd d'une coolitude hors-norme. Pourtant, le vrai coup de génie on le trouve en la personne de McKenna Grace, qui revitalise la figure de l'héroïne solitaire et courageuse. Son duo avec le délicieux Logan Kim justifie à lui-seul la légitimité de ce troisième volet. À leurs côtés, c'est comme si on retrouvait le goût de ces aventures innocentes, rigolotes et avisées qui (re)donnent du baume au cœur...pendant un moment.
Dès que le film ouvre les sarcophages et libère le bestiaire fantomatique, ce n'est plus que pour jouer la partition connue. Logique puisqu'on attendait que ça ? Pas vraiment, L'Héritage ouvrait certaines perspectives plus intéressantes qui pavaient la route pour une résolution potentiellement plus satisfaisante. De surcroit, Jason Reitman est plus un cinéaste poil-à-gratter qu'un faiseur docile, comme l'ont démontré Juno, Thank you for Smoking ou In the air. On le voyait mieux aux commandes d'une célébration plus malicieuse. Tant pis, de cela on ne verra que des bouts. Le gros de cette deuxième partie ectoplasmique se compose d'une énorme louche de nostalgie et de rebondissements téléphonés, dont le duel final représente le paroxysme. Pilotage automatique, sauf que la direction n'a franchement aucun intérêt. Pas désagréable, c'est même globalement bien tenu sur l'aspect visuel. N'empêche que l'enthousiasme retombe quelque peu, en rendant certaines ficelles encore plus évidentes. Comme si Reitman avait changé d'avis pour livrer quelque chose de consensuel, histoire de ne pas être accusé d'avoir profané l'héritage familial. Il eut été préférable de continuer à jouer avec le passé plutôt que de vouloir le rejouer.
Les effets spéciaux sont réussis et on a très bel hommage à la saga originelle, cependant l'histoire reste classique et attendue !
À vouloir faire des films qui rentrent dans le nouveau format 2h / 2h30, on en perd le dynamisme et on ne gagne malheureusement que des longueurs...
Le début est très long, trop long. Plus de moitié du film rame à mort. Le film en général est très mal découpé, avec les séquences d'actions trop peu nombreuses et trop éparses...
Pourtant, dans l'ensemble ils ont pas trop mal réchauffé la version originale avec de nombreuses références. Mais malheureusement, sans développer...
Bien que la réalisation soit bonne, on ne voit que très peu de fantômes, dans un film qui pourtant s'appelle "les chasseurs de fantômes". Et qui dit, peu de fantômes, dit par conséquent, peu de chasse aussi...
Côté scénario, on ne peut pas dire qu'ils se soient cassés la tête : On nous sert un retour de Goser simpliste sous fond de Stranger things. Et pour les vannes, c'est une gamine de 11 ans qui te balance régulièrement sa blague papillote pour relever le niveau.
Malgré tout, on n'est pas dans le navet et le film raté à l'état brut, car au final, ça se regarde...
Néanmoins, on en attendait mieux de cette version tant attendue par les fans et on ne peut s'empêcher de lâcher un "dommage", quand enfin on quitte la salle après une scène finale aussi moyenne que l'ensemble de ce reboot.
Le début est très long, trop long. Plus de moitié du film rame à mort. Le film en général est très mal découpé, avec les séquences d'actions trop peu nombreuses et trop éparses...
Pourtant, dans l'ensemble ils ont pas trop mal réchauffé la version originale avec de nombreuses références. Mais malheureusement, sans développer...
Bien que la réalisation soit bonne, on ne voit que très peu de fantômes, dans un film qui pourtant s'appelle "les chasseurs de fantômes". Et qui dit, peu de fantômes, dit par conséquent, peu de chasse aussi...
Côté scénario, on ne peut pas dire qu'ils se soient cassés la tête : On nous sert un retour de Goser simpliste sous fond de Stranger things. Et pour les vannes, c'est une gamine de 11 ans qui te balance régulièrement sa blague papillote pour relever le niveau.
Malgré tout, on n'est pas dans le navet et le film raté à l'état brut, car au final, ça se regarde...
Néanmoins, on en attendait mieux de cette version tant attendue par les fans et on ne peut s'empêcher de lâcher un "dommage", quand enfin on quitte la salle après une scène finale aussi moyenne que l'ensemble de ce reboot.
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