Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un film juste, à l'interprétation parfaite.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une œuvre vibrante qui impressionne par sa maîtrise, sa puissance humaine, et par l’interprétation magnétique de Diane Rouxel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il y a du militantisme féministe dans ce film de Naël Marandin, aux contours de récit d’apprentissage, et Diane Roussel en prend sa part active, conquérante, soulevant des montagnes.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Diane Rouxel fait habilement vivre son personnage, vulnérable et déterminée, souvent au bord de la brisure.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sur un scénario original qui rapproche deux univers auxquels on ne s’attendait pas, Naël Marandin concocte un thriller sentimental qui ouvre les yeux sur les pratiques d’un milieu peu loquace : pédagogique et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Dans Au nom de la terre, Édouard Bergeon a attiré sur la thématique du suicide des agriculteurs près de 2 000 000 spectateurs. Hubert Charuel en a réuni près de 550 000 avec Petit Paysan autour de la question sanitaire. On souhaite à Terre des hommes, l’excellent second long métrage de Naël Marandin, un succès similaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Diane Rouxel, qu’on avait déjà vue en bon petit soldat, engagée dans la Marine dans Volontaire (2018) d’Hélène Fillières, se remet avec naturel dans le rôle d’une jeune femme cherchant à conquérir sa place dans un monde d’hommes.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Habillé d'une photo soignée, le film brille plutôt par ses qualités d'écriture, offrant un face‑à-face subtil qu'incarnent deux comédiens inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Diane Rouxel porte magnifiquement le film post-#MeToo de Naël Marandin qui, après La Marcheuse, montre une femme survivant dans un monde implacable. Un film subtil sur le pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film âpre et réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Si la fin pose un problème moral à l'intérieur du film, l'ensemble de cette trajectoire féminine est admirable de puissance dramatique et de précision documentaire sur l'écosystème des éleveurs de vaches.
Ouest France
par Thierry Chèze
Remarquablement incarnés par Diane Rouxel et Jalil Lespert, ces deux personnages entraînent le récit vers une réflexion brillante sur l'abus de pouvoir qui rappelle le tout aussi épatant Slalom de Charlène Favier.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Maniant brillamment l’ambiguïté et une certaine violence rentrée, Naël Marandin porte un film sans concessions mais terriblement humain. Avec une Diane Rouxel formidable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
Le consentement en matière de rapports sexuels, sujet brûlant d’actualité, est abordé ici avec discernement.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Tendu et percutant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un drame complexe sur le consentement, porté Diane Rouxel, impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Souffrance du monde agricole et cas d’emprise sexuelle à la #MeToo sont au programme du deuxième long-métrage de Naël Marandin qui traite les deux sujets, arrimant la caméra à son actrice, Diane Rouxel, remarquable de détermination et d’ambiguïté mêlées. Manque un regard fort de cinéaste qui aurait fait décoller le film et ses plans-séquences, cantonnés à leur visée naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec « La Terre des hommes », Naël Marandin signe un beau film, âpre et attachant, sur les jeux de pouvoir et de puissance dans le monde paysan, sur fond de domination masculine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Diane Rouxel, qui illuminait déjà Volontaire , d'Hélène Fillières, troque l'uniforme pour les bottes en caoutchouc. Seule contre tous, elle porte à bout de bras cette descente aux enfers dans un quotidien qui est de moins en moins rose.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Abordant un sujet difficile, et après une première partie qui traîne en longueur, ce nouveau film paysan se rattrape dans sa dernière demi-heure pour nous offrir le portrait d’une jeune femme perdue et bafouée, qui va devoir affronter un univers où des hommes tout-puissants font la loi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Il est dommage que la mise en scène, trop sage, souvent répétitive, n'ait pas eu l'audace de son héroïne. Ce projet s'inscrit pourtant dans un sillon intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Un récit bouclé tout propre dans une durée d’une heure trente-six, proportionné de telle sorte à ce que tous les corps de métier concernés et rescapés de violences similaires pourraient probablement confirmer qu’il est dans le vrai. Ce n’est pas du tout que ce programme nous laisse froid, mais il fait du spectateur son obligé, tenu en respect devant tant de juste justesse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Comme le remarquable Slalom de Charlène Favier sorti en mai dernier, La Terre des hommes parle de viol et d’emprise. Et comme Slalom, il ne s’agit pas ici d’un simple film à sujet pour feu « Les Dossiers de l’écran » mais d’un film qui transcende son sujet à travers un personnage féminin fort, non dénué d’ambiguïtés et jamais réduite à sa fonction de victime.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Diane Rouxel, pas aussi frêle que son physique pourrait le laisser penser, dans une œuvre qui lui fait la part belle, la lui rend bien en montrant une belle détermination, dans une composition difficile qu’elle a su nuancer.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Elle fait le pari de retourner la force de son agresseur à son avantage, à l'image de l'héroïne du film Comme si de rien n'était (2018), lequel cheminait toutefois plus subtilement dans la psychologie des personnages.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La Terre des hommes semble tellement chercher la reconstitution des faits, d’un milieu réduit à un décor, d’une relation amoureuse qu’il oublie d’en déchiffrer les signes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Voici
Un film juste, à l'interprétation parfaite.
Bande à part
Une œuvre vibrante qui impressionne par sa maîtrise, sa puissance humaine, et par l’interprétation magnétique de Diane Rouxel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il y a du militantisme féministe dans ce film de Naël Marandin, aux contours de récit d’apprentissage, et Diane Roussel en prend sa part active, conquérante, soulevant des montagnes.
Femme Actuelle
Diane Rouxel fait habilement vivre son personnage, vulnérable et déterminée, souvent au bord de la brisure.
Franceinfo Culture
Sur un scénario original qui rapproche deux univers auxquels on ne s’attendait pas, Naël Marandin concocte un thriller sentimental qui ouvre les yeux sur les pratiques d’un milieu peu loquace : pédagogique et prenant.
L'Humanité
Dans Au nom de la terre, Édouard Bergeon a attiré sur la thématique du suicide des agriculteurs près de 2 000 000 spectateurs. Hubert Charuel en a réuni près de 550 000 avec Petit Paysan autour de la question sanitaire. On souhaite à Terre des hommes, l’excellent second long métrage de Naël Marandin, un succès similaire.
Le Dauphiné Libéré
Diane Rouxel, qu’on avait déjà vue en bon petit soldat, engagée dans la Marine dans Volontaire (2018) d’Hélène Fillières, se remet avec naturel dans le rôle d’une jeune femme cherchant à conquérir sa place dans un monde d’hommes.
Le Journal du Dimanche
Habillé d'une photo soignée, le film brille plutôt par ses qualités d'écriture, offrant un face‑à-face subtil qu'incarnent deux comédiens inspirés.
Les Fiches du Cinéma
Diane Rouxel porte magnifiquement le film post-#MeToo de Naël Marandin qui, après La Marcheuse, montre une femme survivant dans un monde implacable. Un film subtil sur le pouvoir.
Marianne
Un film âpre et réaliste.
Marie Claire
Si la fin pose un problème moral à l'intérieur du film, l'ensemble de cette trajectoire féminine est admirable de puissance dramatique et de précision documentaire sur l'écosystème des éleveurs de vaches.
Ouest France
Remarquablement incarnés par Diane Rouxel et Jalil Lespert, ces deux personnages entraînent le récit vers une réflexion brillante sur l'abus de pouvoir qui rappelle le tout aussi épatant Slalom de Charlène Favier.
Paris Match
Maniant brillamment l’ambiguïté et une certaine violence rentrée, Naël Marandin porte un film sans concessions mais terriblement humain. Avec une Diane Rouxel formidable.
Positif
Le consentement en matière de rapports sexuels, sujet brûlant d’actualité, est abordé ici avec discernement.
Télé 7 Jours
Tendu et percutant.
Télérama
Un drame complexe sur le consentement, porté Diane Rouxel, impressionnante.
L'Obs
Souffrance du monde agricole et cas d’emprise sexuelle à la #MeToo sont au programme du deuxième long-métrage de Naël Marandin qui traite les deux sujets, arrimant la caméra à son actrice, Diane Rouxel, remarquable de détermination et d’ambiguïté mêlées. Manque un regard fort de cinéaste qui aurait fait décoller le film et ses plans-séquences, cantonnés à leur visée naturaliste.
La Croix
Avec « La Terre des hommes », Naël Marandin signe un beau film, âpre et attachant, sur les jeux de pouvoir et de puissance dans le monde paysan, sur fond de domination masculine.
Le Figaro
Diane Rouxel, qui illuminait déjà Volontaire , d'Hélène Fillières, troque l'uniforme pour les bottes en caoutchouc. Seule contre tous, elle porte à bout de bras cette descente aux enfers dans un quotidien qui est de moins en moins rose.
Le Parisien
Abordant un sujet difficile, et après une première partie qui traîne en longueur, ce nouveau film paysan se rattrape dans sa dernière demi-heure pour nous offrir le portrait d’une jeune femme perdue et bafouée, qui va devoir affronter un univers où des hommes tout-puissants font la loi.
Les Echos
Il est dommage que la mise en scène, trop sage, souvent répétitive, n'ait pas eu l'audace de son héroïne. Ce projet s'inscrit pourtant dans un sillon intéressant.
Libération
Un récit bouclé tout propre dans une durée d’une heure trente-six, proportionné de telle sorte à ce que tous les corps de métier concernés et rescapés de violences similaires pourraient probablement confirmer qu’il est dans le vrai. Ce n’est pas du tout que ce programme nous laisse froid, mais il fait du spectateur son obligé, tenu en respect devant tant de juste justesse.
Première
Comme le remarquable Slalom de Charlène Favier sorti en mai dernier, La Terre des hommes parle de viol et d’emprise. Et comme Slalom, il ne s’agit pas ici d’un simple film à sujet pour feu « Les Dossiers de l’écran » mais d’un film qui transcende son sujet à travers un personnage féminin fort, non dénué d’ambiguïtés et jamais réduite à sa fonction de victime.
aVoir-aLire.com
Diane Rouxel, pas aussi frêle que son physique pourrait le laisser penser, dans une œuvre qui lui fait la part belle, la lui rend bien en montrant une belle détermination, dans une composition difficile qu’elle a su nuancer.
Le Monde
Elle fait le pari de retourner la force de son agresseur à son avantage, à l'image de l'héroïne du film Comme si de rien n'était (2018), lequel cheminait toutefois plus subtilement dans la psychologie des personnages.
Les Inrockuptibles
La Terre des hommes semble tellement chercher la reconstitution des faits, d’un milieu réduit à un décor, d’une relation amoureuse qu’il oublie d’en déchiffrer les signes.