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    L'Enfant rêvé
    Note moyenne
    2,6
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    90 critiques spectateurs

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    Paul B
    Paul B

    72 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Un beau décor, de bons acteurs ( performance remarquable de Mélanie Doutey) et un choix d'environnement de tournage original ( scierie, environnement forestier, milieu montagneux).

    Mais un scénario et des dialogues tellement prévisibles que l'on sort avec l'impression d'avoir une centième fois le même film avec une couverture différente et des acteurs différents : triangle amoureux, lâcheté de l'amant n'assumant pas la relation mais s'accrochant jusqu'au bout tout de même jusqu'à la limite du possible et de ses conséquences.

    Aucune surprise à la fin, tout est véritablement annoncé dès le départ et c'est très frustrant quand le générique arrive. Une pâle copie d'une autre copie d'une autre copie...Dommage, ce film a un potentiel de départ intéressant.
    lionelb30
    lionelb30

    439 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Le lieu géographique et le métier propre a cette histoire ne sont pas courant et c'est un bon point.
    Le gros problème est que cette histoire d'amour et tout le déroulement au fil de l'histoire n'est pas crédible , ce qui fait que l'on décroche vite et que l’on ne s'attache pas a cette histoire.
    Julie
    Julie

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Agréable moment passé devant ce film. Les images sont magnifiques, les rôles touchants. Je recommande vivement ce film.
    Frédéric L
    Frédéric L

    13 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 octobre 2020
    Un très beau film, très touchant , sur un désir de paternité dans un couple naturel infertile. La vie fera que l'homme vivra un nouvel amour pour une femme, mariée et déjà maman, dont l'union donnera naissance à un bébé. Les combats que les d'eux mènent, sans y arriver, pour se séparer dignement de leurs conjoints mutuels, sont racontés avec délicatesse et réalisme. Une belle histoire d'un couple courageux, dans le décor d'une entreprise familiale de coupe de bois, le tout au milieu des arbres du somptueux massif des Vosges. Très belle musique aussi pour accompagner ce film bouleversant sur ce sujet si douloureux du désir d'enfant dans cette époque où la loi envisage l'allongement des délais d'IVG jusqu'à neuf mois...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 octobre 2020
    NUL. N'allez surtout pas voir ce film, les acteurs y jouent mal, les dialogues sont pitoyables et la musique on n'en parle pas.
    petitbandit
    petitbandit

    90 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2020
    Un bon film français porté par des acteurs convaincants, un scénario intéressant et une mise en scène solide. Jalil Lespert porte le film dans son rôle de mari infidèle désireux d'être père, Louise Bourgoin et Melanie Doutey font également une bonne prestation. Le tout se déroulant dans un cadre verdoyant et enchanteur, un drame qui se fond en thriller pour une fin bien emmenée. La copie est bonne...
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    L'excellent bon point, est que François n'est seul au centre du récit, il est aussi important de voir évoluer les deux femmes qui gravitent autour, qui ont aussi leurs fêlures et leurs détresses de mère. Il ne faut pas oublier le quatrième protagoniste principal, la forêt, à la fois un des paramètres de la tragédie, témoin des événements et symbole de vie. Le récit est également plus complexe que le simple désir d'enfant. Le scénario est en cela superbement écrit, cohérent et intelligent malgré une densité des sujets et des thématiques. En prime un trio d'acteurs formidables, au ton juste jusque dans les scènes les plus déchirantes même si il manque l'étincelle passion entre Louise Bourgoin et Jalil Lespert pour nous emporter. Un film dur, tragique mais terriblement humain et touchant.
    Site : Selenie
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2020
    François (Jalil lespert) rêve d’avoir un enfant, un fils de préférence, pour lui transmettre la scierie familiale qu’il a héritée de son père (Jean-Marie Winling). Mais les PMA que Noémie (Mélanie Doutey), son épouse, et lui ont tentées échouent et la procédure d’adoption qu’ils débutent s’annonce longue et semée d’obstacles.
    Le rêve de François semble se concrétiser quand Patricia (Louise Bourgoin) déboule dans sa vie. Il noue avec cette femme mariée, mère de deux enfants, une relation adultère passionnée. Louise tombe enceinte. François ira-t-il au bout de son désir de paternité au risque de détruire la vie qu’il a construite avec Noémie ?

    Raphaël Jacoulot n’est pas un réalisateur très connu. Avec "L’Enfant rêvé", ce réalisateur formé à la Fémis sort pourtant son quatrième long. J’avais eu un coup de cœur pour son précédent film, "Coup de chaud", sorti au milieu de l’été 2015. Je lui avais même décerné cinq étoiles, un Graal que je ne distribue qu’avec parcimonie.

    On retrouve dans "L’Enfant rêvé" les recettes de ces précédents films, qui m’avaient touché. Raphaël Jacoulot est un cinéaste de la province. Ses films sont solidement ancrés dans un territoire, dans un biotope, qui en détermine le cours et en influence les personnages. Dans "Coup de chaud", l’action se déroulait dans un petit village du Lot-et-Garonne, chauffé à blanc par la canicule. Dans "Avant l’aube", nous allions nous perdre dans un grand hôtel des Hautes-Pyrénées en plein hiver. Dans "L’Enfant rêvé", nous sommes dans les forêts de conifères du Doubs, à la frontière suisse, dans une région connue pour enregistrer les températures les plus froides de France.

    Raphaël Janicot filme un terroir. Il y filme aussi des hommes et des femmes qui travaillent. Dans "Avant l’aube", il s’agissait d’un grand hôtel perdu dans la montagne. Dans "L’Enfant rêvé", nous entrons dans une scierie dont nous regardons les énormes machines usiner des troncs d’arbres. François est né ici. Il a repris l’entreprise familiale que son père lui a léguée. On retrouve le même duo père-fils que dans l’excellent Au nom de la terre avec Guillaume Canet et Rufus : un père vieillissant, fier du fils auquel il a transmis la passion de son métier, un fils dans la force de l’âge qui , rompant avec la tradition, a massivement investi pour sauver son entreprise au risque de la surendetter.

    C’est dans cet environnement très typé, digne des grands films classiques français des années soixante (on pense évidemment aux "Grandes Gueules" de Robert Enrico avec un Bourvil à contre-emploi dans le rôle dramatique d’un patron de scierie), que se noue un drame de l’adultère.

    Dans le triangle amoureux qu’il forme avec sa femme et sa maîtresse, c’est Jalil Lespert qui a le rôle le plus important. C’est autour de lui que s’organise le film, mettant en scène son obsession de paternité. L’acteur est impressionnant. On sent bouillir en lui une rage rentrée, une accumulation de frustrations prêtes à exploser. Mélanie Doutey et Louise Bourgoin ont deux rôles difficiles. La première interprète une épouse sacrifiée, infertile et trompée. Le rôle de la seconde est plus ambiguë : elle est à la fois le fruit défendu de la passion adultère et une femme qui a la tête sur les épaules, rappelant son amant à la réalité quand il se perd dans ses délires.

    "L’Enfant rêvé" est un film à la facture très classique, sans flashback ni flash-forward, qui raconte sans se presser un drame familial. On sent confusément que son issue sera dramatique. On ignore qui de François, de Noémie ou de Patricia en sera la victime en redoutant qu’ils n’en soient les victimes tous les trois.
    thierrylz ..
    thierrylz ..

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2020
    Très beau film au sujet si original servi par un trio d'acteurs superbes. J. Lespert porte de film de bout en bout dans une interprétation habitée ! Mention spéciale à une surprenante M. Doutey . Un quatrième personnage bucolique au début puis de plus en plus oppressant : la forêt . Sans oublier la musique de Dziezuk qui accompagne si bien le film .
    Zabou
    Zabou

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Film très esthétique, une musique puissante accompagne le spectateur et renforce le malaise ressenti face au personnage de François.
    Merci pour cette séance a lyon
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Excellent film ! Une belle histoire d’amour avec des complications ... dans un cadre rustique et époustouflant !
    Abdallah Ayari
    Abdallah Ayari

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Poètique et poignant, un chef-d'œuvre de melancolie et d'intrigue dans un décors de nature resplendissant
    Bravo ! 👏
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Que d’émotions durant la projection ! Au-delà du policier à la Chabrol, j’ai été touché par la sincérité des personnages, la beauté des paysages et la mise en musique. Bravo.
    Co Lal
    Co Lal

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    La forêt, le suspens, un beau trio d’acteurs, la famille et les chemins que l’on s’oblige à suivre... ou pas. J’ai beaucoup aimé ce film de Raphaël Jacoulot !
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Depuis 2005, un long métrage tous les 5 ans : Raphaël Jacoulot est un réalisateur qui tourne peu. Pour son 4ème film, il a posé sa caméra dans sa région d’origine, la Franche-Comté, dans une nature magnifique qu’il connait bien, celle du Jura français. En partant de la description du désir de paternité, il a étendu son propos au comportement déboussolé d’un homme qui n’en peut plus de voir ses choix de vie constamment dictés par d’autres.
    « L’enfant dont vous rêvez n’existe pas ». C’est ce que s’entendent dire François et Noémie Receveur lors d’un entretien avec une assistante sociale venue visiter leur lieu d’habitation dans le cadre d’une procédure d’adoption. Depuis qu’ils ont fait connaissance, très jeunes, François et Noémie Receveur ont toujours voulu avoir un enfant. Malheureusement pour eux, toutes les tentatives ont été vaines malgré le passage par la PMA. Noémie ne supportant plus les piqures de la stimulation ovarienne, elle a décidé de mettre tout le monde devant le fait accompli en parlant d’adoption au cours d’une réunion familiale, sans même en avoir parlé auparavant avec son mari. Comme, en plus, les conditions économiques difficiles de la filière bois ont fait que Noémie a dû injecter de l’argent personnel dans la scierie qu’ils exploitent tous les deux, devenant de ce fait majoritaire dans une entreprise dont les origines se trouvent dans la famille de François, ce dernier prend conscience une fois de plus qu’il n’a pas de prise sur ses choix de vie, que d’autres décident pour lui : par exemple, cette scierie dont son père lui a donné les clés, avait-il rêvé d’en reprendre l’exploitation, lui qui, certes, aime la forêt et les arbres, mais n’a pas du tout l’étoffe d’un entrepreneur ?

    Cet enfant dont il rêve, ou, plus exactement, ce fils dont il rêve, peut-il le trouver par l’adoption ? Son véritable désir n’est-il pas celui d’un enfant dont il serait le père biologique, un fils à qui il transmettrait son amour de la forêt, un fils qu’il appellerait Lucien, en souvenir de son grand-père. Et voilà que, dans le cadre de l’adoption, on lui pose plein de questions sur les raisons de ce désir d’enfant, qu’on lui demande « quand vous vous imaginez avec votre enfant, vous voyez quoi ? ». Des questions qui l’amènent à s’interroger sur lui-même, sur son propre parcours. Et voilà que, dans cette période de doute et d’interrogations, arrive dans sa vie Patricia, une femme venant de la ville, mariée, mère de deux enfants, avec qui l’attirance mutuelle est quasiment instantanée et qui, en plus, se retrouve très vite enceinte.
    Par sa façon de nous introduire dans les ressentiments au sein d’une famille, par sa façon de générer une tension chez le spectateur à l’aide d’un certain nombre de détails, il n’est pas interdit de trouver à L’enfant rêvé un certain côté « chabrolien ». Grâce à d’excellents comédiens venant s’ajouter au thème de la paternité, grâce, également, à l’excellence de la photographie, et malgré quelques invraisemblances, "L’enfant rêvé" vient ajouter un maillon marquant à la filmographie de Raphaël Jacoulot.
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