Note moyenne
3,0
25 titres de presse
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BIBA
Raphaël Jacoulot signe un drame passionnel bouleversant où le désir d'enfantr est vécu du côté du père, bousculant les codes habituels.
Femme Actuelle
Il flotte un parfum de danger et de fatalité, dans ce thriller amoureux, classique mais bien construit et subtilement interprété.
Le Figaro
Jacoulot a retenu les leçons de Chabrol. Il les applique à un drame façon La Femme d’à côté, sonde les âmes avec une attention qui va jusqu’à l’entomologie.
Marianne
Raphaël Jacoulot, un cinéaste qui évolue depuis toujours aux antipodes du parisianisme si souvent prisé par le cinéma tricolore, met en scène cette sombre histoire de transmission, de succession et d’identité dans les décors inquiétants du Jura, une sorte d’écrin idéal pour ce récit âpre où la paternité est douloureusement soumise à la question.
Positif
Comme dans le pyrénéen "Avant l’aube", avec Bacri et Rottiers, Raphaël Jacoulot impose une rare justesse provinciale et sociale. Les trois comédiens principaux sont remarquables [...].
Télé Loisirs
Un film captivant sur l'impossible quête de paternité d'un homme tiraillé entre deux femmes.
CNews
[...] un drame vacillant vers le thriller policier dont l’épilogue n’est pas à la hauteur des espérances. Mais les actrices Louise Bourgoin et Mélanie Doutey forment avec Jalil Lespert un triangle amoureux plutôt convaincant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Jalil Lespert habite le film d’une folie spectrale saisissante.
Franceinfo Culture
Un acteur et deux actrices au diapason d’un drame sentimental au suspense efficace.
L'Obs
Hélas, tout s’écroule dans le dernier acte, dont la tournure tragique ne prend pas, avec des personnages féminins sous-écrits. C’est d’autant plus regrettable que Mélanie Doutey est formidable.
La Croix
Jalil Lespert donne une profondeur à ce personnage rugueux qui découvre une intensité amoureuse inédite dans les bras de Patricia.
Le Dauphiné Libéré
Jalil Lespert habite le film d’une folie spectrale saisissante.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène qui intègre habilement la forêt au propos, Raphaël Jacoulot fait monter la tension tout en développant un point de vue masculin intéressant sur le besoin d'enfant.
Les Echos
Remarquablement interprété par ses trois acteurs principaux, « L'Enfant rêvé » est une fiction âpre et envoûtante, confirmant le talent précieux de son auteur Raphaël Jacoulot.
Les Fiches du Cinéma
Révélé comme un auteur à suivre avec "Avant l’aube" et "Coup de chaud", R. Jacoulot déçoit un peu avec ce thriller psychologique dont le désir d’enfant est l’étonnant moteur, mais affirme la solide constance de son style, de son approche et de ses obsessions.
Ouest France
Raphaël Jacoulot filme très bien les arbres et le travail du bois, mais le scénario laisse peu de place au suspense (...).
Première
Alors même si la conclusion de ce récit paraît bâclée, l’essentiel est ailleurs. Dans le chemin pour y parvenir. Il vaut largement le voyage.
Télérama
En dépit de maladresses, un portrait sensible d’homme chancelant.
Voici
Malgré quelques incohérences et une fin convenue, un beau film sur le désir de paternité.
aVoir-aLire.com
Dans un cadre champêtre à la majesté oppressante, Raphaël Jacoulot entremêle les fils d’un drame familial et d’une passion amoureuse, pour tracer les contours d’une intrigue policière qui doit beaucoup à un trio de comédiens impeccables.
Le Monde
Récit d’une obsession traitée comme un mélodrame, L’Enfant rêvé s’enfonce dans le cerveau de son héros, condamnant les autres personnages à n’être que des spectres.
Le Parisien
Un drame familial sur fond d’adultère, trop banal pour être convaincant.
Sud Ouest
Sur ce fil d’une paternité viscéralement souhaitée, Raphaël Jacoulot tisse une histoire d’adultère où les paysages alentours menacent comme dans un récit mauriacien. Malheureusement, si le cinéaste filme bien la scierie familiale, il échoue à se dépatouiller de son personnage principal, réduit à son obsession d’être père.
Télé 7 Jours
Adultère, triangle amoureux, mensonge, drame à l'horizon : on connaît la chanson. Et l'interprétation, honnête, ne transcende pas l'impression de déjà-vu.
Cahiers du Cinéma
Jacoulot n’a pas la main légère, et sa volonté de faire cinéma se confond souvent avec les conventions du moment. Il dessine toutefois avec François un personnage intrigant, tout à la fois obsédé et lâche, accroché à son désir comme un naufragé, mais incapable de trancher.