Pingouin & Goéland et leurs 500 petits : Critique presse
Pingouin & Goéland et leurs 500 petits
Note moyenne
3,6
14 titres de presse
L'Humanité
L'Obs
La Croix
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
Télérama
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il n’est jamais inutile de rappeler et souligner certaines actions positives qui se sont déroulées pendant des périodes chaotiques. Même si cela doit prendre la forme d’un documentaire un peu « feel good ».
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre images d’archives, témoignages et un peu d’animation, l’auteur du « Nom des gens » relate le destin de ces justes. Galvanisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce documentaire malicieux aux inflexions très personnelles, Michel Leclerc dessine les trajectoires vibrantes d’un couple d’instituteurs et de leurs petits protégés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
On pourrait accuser Leclerc d'omettre l'essentiel pour donner à son film les apparences d'un conte féerique. C'est que son geste est motivé par une exigence qui se révèle doucement et excède la simple restitution d'une parenthèse enchantée (...).
Le Parisien
par La Rédaction
Michel Leclerc leur rend un hommage passionnant et incroyablement émouvant, rythmé par des images d’archives, des interviews et quelques séquences d’animation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
De 1941 à 1970, Yvonne & Roger Hagnauer recueillirent de nombreux enfants en difficulté et sauvèrent 35 enfants juifs. Michel Leclerc retrace avec malice leur parcours et s’interroge avec pertinence sur la place de l’identité et de la mémoire dans nos vies.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
La bonhomie guillerette de la forme, volontairement et résolument anti-tragique (toutes les ruses de l’ingénuité), permet à Leclerc de mettre les douleurs à distance pour raconter le plus de choses possibles – entre biographies et archives, entre anecdotes et histoire, souvenirs émus et perspectives politiques – et de nous donner une idée généreuse de ce lieu expérimental et égalitaire [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
C’est généreux et foutraque comme les autres films du cinéaste, avec de très beaux moments d’émotion et des scènes répétitives qui peinent à renouveler le propos.
Télérama
par Guillemette Odicino
Enquêtant sur ses propres racines, Michel Leclerc découvre l’importance d’un certain Marcel Mangel, futur mime Marceau, mais s’interroge, aussi, face caméra, sur le poids de la transmission et de l’identité. Ou comment réussir une œuvre d’une tendresse bouleversante sur la force du souvenir, et le droit à l’oubli. Au silence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
À cette diversité de causes défendues répond une hybridité formelle revendiquée. Si d’étonnantes archives, dont un docufiction sur la maison de Sèvres, constituent avec les entretiens actuels les pièces maîtresses du patchwork, le documentaire ose de beaux intermèdes animés confiés à Sébastien Laudenbach.
Critikat.com
par Bastien Gens
À l’heure où une forme de storytelling mollasson a tendance à uniformiser la création documentaire destinée au grand public, on peut reconnaître la singularité des éclats de cet atypique projet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Michel Leclerc signe un documentaire-hommage très personnel (sa mère a été sauvée par Sèvres) mêlant images d'archives historiques et familiales, ainsi que des propos touchants des derniers témoins de cette édifiante mystification.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Paul Courbin
Si le film est une façon de rétablir la vérité sur ce couple secret et longtemps diffamé, accusé de collaborationnisme dans les décennies suivantes, le propos de Leclerc se perd peu à peu dans des paradoxes qui témoignent toutefois d’un désir d’honnêteté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Benamon
En évoquant l’histoire de sa mère (une des enfants) en pointillé, Michel Leclerc pose des questions sur l’identité et la résilience avec une émotion renforcée par des séquences animées signées Sébastien Laudenbach (La Jeune fille sans main).
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Il n’est jamais inutile de rappeler et souligner certaines actions positives qui se sont déroulées pendant des périodes chaotiques. Même si cela doit prendre la forme d’un documentaire un peu « feel good ».
L'Obs
Entre images d’archives, témoignages et un peu d’animation, l’auteur du « Nom des gens » relate le destin de ces justes. Galvanisant.
La Croix
Dans ce documentaire malicieux aux inflexions très personnelles, Michel Leclerc dessine les trajectoires vibrantes d’un couple d’instituteurs et de leurs petits protégés.
Le Monde
On pourrait accuser Leclerc d'omettre l'essentiel pour donner à son film les apparences d'un conte féerique. C'est que son geste est motivé par une exigence qui se révèle doucement et excède la simple restitution d'une parenthèse enchantée (...).
Le Parisien
Michel Leclerc leur rend un hommage passionnant et incroyablement émouvant, rythmé par des images d’archives, des interviews et quelques séquences d’animation.
Les Fiches du Cinéma
De 1941 à 1970, Yvonne & Roger Hagnauer recueillirent de nombreux enfants en difficulté et sauvèrent 35 enfants juifs. Michel Leclerc retrace avec malice leur parcours et s’interroge avec pertinence sur la place de l’identité et de la mémoire dans nos vies.
Libération
La bonhomie guillerette de la forme, volontairement et résolument anti-tragique (toutes les ruses de l’ingénuité), permet à Leclerc de mettre les douleurs à distance pour raconter le plus de choses possibles – entre biographies et archives, entre anecdotes et histoire, souvenirs émus et perspectives politiques – et de nous donner une idée généreuse de ce lieu expérimental et égalitaire [...].
Positif
C’est généreux et foutraque comme les autres films du cinéaste, avec de très beaux moments d’émotion et des scènes répétitives qui peinent à renouveler le propos.
Télérama
Enquêtant sur ses propres racines, Michel Leclerc découvre l’importance d’un certain Marcel Mangel, futur mime Marceau, mais s’interroge, aussi, face caméra, sur le poids de la transmission et de l’identité. Ou comment réussir une œuvre d’une tendresse bouleversante sur la force du souvenir, et le droit à l’oubli. Au silence.
Cahiers du Cinéma
À cette diversité de causes défendues répond une hybridité formelle revendiquée. Si d’étonnantes archives, dont un docufiction sur la maison de Sèvres, constituent avec les entretiens actuels les pièces maîtresses du patchwork, le documentaire ose de beaux intermèdes animés confiés à Sébastien Laudenbach.
Critikat.com
À l’heure où une forme de storytelling mollasson a tendance à uniformiser la création documentaire destinée au grand public, on peut reconnaître la singularité des éclats de cet atypique projet.
Le Journal du Dimanche
Michel Leclerc signe un documentaire-hommage très personnel (sa mère a été sauvée par Sèvres) mêlant images d'archives historiques et familiales, ainsi que des propos touchants des derniers témoins de cette édifiante mystification.
Les Inrockuptibles
Si le film est une façon de rétablir la vérité sur ce couple secret et longtemps diffamé, accusé de collaborationnisme dans les décennies suivantes, le propos de Leclerc se perd peu à peu dans des paradoxes qui témoignent toutefois d’un désir d’honnêteté.
Première
En évoquant l’histoire de sa mère (une des enfants) en pointillé, Michel Leclerc pose des questions sur l’identité et la résilience avec une émotion renforcée par des séquences animées signées Sébastien Laudenbach (La Jeune fille sans main).