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Sobre, mais d’une réelle invention esthétique [...], "Dark Waters" achève de placer Todd Haynes parmi les grands cinéastes américains, honnêtes, généreux, attachés à leurs personnages, en parfait équilibre entre conformité et différence [...].
Tout est observé avec une extraordinaire finesse de regard. Tout est complexe, mélangé, ténu, sincère, imprévisible. En frottant son idéalisme à la réalité la plus inquiétante et la plus funeste, il n’est pas impossible que Todd Haynes ait réalisé son chef-d’œuvre.
Une dénonciation cinglante et redoutablement menée par Todd Haynes sur l’empoisonnement que la société DuPont commet depuis plus de quarante ans aux Etats-Unis … et dans le monde. Un choc cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On doit à Mark Ruffalo l'initiative de ce film-enquête rigoureux de Todd Haynes, dans une tradition américaine de cinéma de vérité. L'acteur, avec une force tranquille, incarne un idéal de justice et de probité. Un film nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Todd Haynes, dans ce thriller justicier, prend le parti des victimes. La charge contre DuPont donne à Dark Waters des allures de film environnementaliste militant ; la cause est entendue.
Ce film rend justice à son combat, à ceux menés contre le cynisme de l'argent roi. Pas de quoi sourire, certes, mais plutôt de quoi encourager la résistance.
La mise en scène énergique de ce thriller qui réussit le prodige d’être clair et pédagogique sur un sujet aussi complexe, bénéficie aussi du jeu, tout en finesse et nuances, de Mark Ruffalo (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Todd Haynes ne nous offre pas tout à fait le thriller haletant vanté par l’affiche, plutôt un film de dénonciation sérieux, complexe et soigné, qui adopte le profil tout en discrète pugnacité de son héros (Mark Ruffalo, habité par son personnage).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Todd Haynes, dans ce thriller justicier, prend le parti des victimes. La charge contre DuPont donne à Dark Waters des allures de film environnementaliste militant ; la cause est entendue.
Pas franchement habitué au registre du film de dénonciation, le réalisateur réussit à faire surgir l’humain des manœuvres judiciaires le temps d’une mise en scène tendue et quasi documentaire.
Servi par un interprète admirable d’abnégation, Mark Ruffalo, et par les compositions crépusculaires du chef opérateur Ed Lachman, Haynes travaille à la manière de certains peintres de l’âge classique : le sujet de son tableau se fond dans un paysage apocalyptique, dont il finit par n’être plus qu’un détail.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Carré, sobre, parfois terrifiant mais toujours palpitant grâce à un Mark Ruffalo totalement habité par son rôle, ce récit d'une affaire relatée en 2016 par une enquête au long cours du New York Times reste classique, mais il entre en puissante résonance avec l'air du temps rongé par les craintes environnementales.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
En mettant en scène le combat solitaire d’un avocat contre un géant capitaliste néfaste, Todd Haynes plonge dans un cinéma hollywoodien étonnamment classique, mais en profite pour justement explorer et interroger l’héroïsme au cœur de son dispositif.
Malgré quelques faiblesses, se concentrant notamment autour du personnage de la femme de Bilott, à qui revient le rôle ingrat d’incarner ce qu’il fait endurer à sa famille [...], le film est passionnant, car au-delà de l’enquête haletante, il se déploie dans une géopolitique des espaces marqués par les rapports de classes rarement explorés dans le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[...] c’est justement ce que ce maître du mélo a su apporter de pathos au matériau typique d’un film-dossier qui le rend incroyablement émouvant, en dépit de petites faiblesses qu’on balaie volontiers.
Solidement scénarisé et mis en scène, Dark Waters raconte l’engagement de Bilott et s’interroge, dans la meilleure tradition du cinéma américain politique, sur la complexité du combat de la démocratie contre les intérêts financiers.
L’information est glaçante mais dit bien aussi que nous sommes tous liés les uns aux autres par un destin commun. Impossible de ne pas sortir de ce film sans être remué par cette idée. Impossible non plus de ne pas avoir envie de courir chez soi bazarder toutes ses poêles en Téflon.
Dark Waters n’a donc peut-être pas la fougue et la flamme des Klute ou des Hommes du président que Haynes vénère (...). Il n’en reste pas moins un film passionnant, formidable écho en creux aux velléités réaffirmées d’une administration américaine de tout déréguler en matière de protection de l’environnement au seul nom de l’économie et du profit.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Avec une douceur de composition en contrepoint d’un script tranchant, l’auteur de « Loin du paradis » parvient à restituer la complexité de l’affaire dans ses dimensions les plus retorses.
S'il mène son récit convenablement et parvient ici et là à y injecter sa sensibilité, Todd Haynes semble contraint par le genre qu'il visite, comme étouffé par des codes qui anesthésient son style.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Jadis Todd Haynes tournait des films provocateurs ou kitsch comme Poison ou Velvet Goldmine. Aujourd’hui, il se retrouve du côté des bien-pensants avec ce film correct, mais impersonnel sur l’action héroïque d’un avocat contre la puissante firme chimique DuPont (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Quelque part entre le polar et le drame social, ce film, réalisé par Todd Haynes, vient juste à point, au moment où Trump flingue toutes les normes environnementales mises en place par Obama. C’est d’autant plus passionnant que Mark Ruffalo, qui joue le rôle principal, est aussi le producteur du film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
[Si] Todd Haynes n’est pas à son aise en bottes de caoutchouc, dans une Amérique profonde, [...] il finit par nous scotcher à la destinée de son avocat maudit lorsque celui-ci comprend, qu’on ne peut jamais complètement terrasser l’hydre, mais qu’il est vital d'essayer.
Ouest France
Un thriller non seulement haletant, mais aussi bouleversant d'humanité.
Positif
Sobre, mais d’une réelle invention esthétique [...], "Dark Waters" achève de placer Todd Haynes parmi les grands cinéastes américains, honnêtes, généreux, attachés à leurs personnages, en parfait équilibre entre conformité et différence [...].
Transfuge
Tout est observé avec une extraordinaire finesse de regard. Tout est complexe, mélangé, ténu, sincère, imprévisible. En frottant son idéalisme à la réalité la plus inquiétante et la plus funeste, il n’est pas impossible que Todd Haynes ait réalisé son chef-d’œuvre.
Télérama
Un réquisitoire subtil et haletant.
aVoir-aLire.com
Une dénonciation cinglante et redoutablement menée par Todd Haynes sur l’empoisonnement que la société DuPont commet depuis plus de quarante ans aux Etats-Unis … et dans le monde. Un choc cinématographique.
20 Minutes
Le réalisateur de « Carol » livre un film puissant et militant avec l’aide de Mark Ruffalo, très impliqué dans le projet.
Bande à part
On doit à Mark Ruffalo l'initiative de ce film-enquête rigoureux de Todd Haynes, dans une tradition américaine de cinéma de vérité. L'acteur, avec une force tranquille, incarne un idéal de justice et de probité. Un film nécessaire.
CinemaTeaser
Todd Haynes fait sien un genre a priori éloigné de son cinéma.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Todd Haynes, dans ce thriller justicier, prend le parti des victimes. La charge contre DuPont donne à Dark Waters des allures de film environnementaliste militant ; la cause est entendue.
Elle
Une histoire captivante et très documentée.
Femme Actuelle
Ce film rend justice à son combat, à ceux menés contre le cynisme de l'argent roi. Pas de quoi sourire, certes, mais plutôt de quoi encourager la résistance.
Franceinfo Culture
Todd Haynes parvient à rendre captivante l’affaire DuPont grâce à un exposé précis et documenté, en exploitant toute ses ressources dramatiques.
La Croix
La mise en scène énergique de ce thriller qui réussit le prodige d’être clair et pédagogique sur un sujet aussi complexe, bénéficie aussi du jeu, tout en finesse et nuances, de Mark Ruffalo (...).
La Septième Obsession
"Dark Waters" est assurément le film le plus efficace de Todd Haynes, le plus frontal.
La Voix du Nord
Todd Haynes ne nous offre pas tout à fait le thriller haletant vanté par l’affiche, plutôt un film de dénonciation sérieux, complexe et soigné, qui adopte le profil tout en discrète pugnacité de son héros (Mark Ruffalo, habité par son personnage).
Le Dauphiné Libéré
Todd Haynes, dans ce thriller justicier, prend le parti des victimes. La charge contre DuPont donne à Dark Waters des allures de film environnementaliste militant ; la cause est entendue.
Le Figaro
Un film habité.
Le Journal du Dimanche
Pas franchement habitué au registre du film de dénonciation, le réalisateur réussit à faire surgir l’humain des manœuvres judiciaires le temps d’une mise en scène tendue et quasi documentaire.
Le Monde
Servi par un interprète admirable d’abnégation, Mark Ruffalo, et par les compositions crépusculaires du chef opérateur Ed Lachman, Haynes travaille à la manière de certains peintres de l’âge classique : le sujet de son tableau se fond dans un paysage apocalyptique, dont il finit par n’être plus qu’un détail.
Le Parisien
Dans la veine d'« Erin Brockovich », « Dark Waters » est un film engagé servi par un récit captivant.
Le Point
Carré, sobre, parfois terrifiant mais toujours palpitant grâce à un Mark Ruffalo totalement habité par son rôle, ce récit d'une affaire relatée en 2016 par une enquête au long cours du New York Times reste classique, mais il entre en puissante résonance avec l'air du temps rongé par les craintes environnementales.
Les Fiches du Cinéma
En mettant en scène le combat solitaire d’un avocat contre un géant capitaliste néfaste, Todd Haynes plonge dans un cinéma hollywoodien étonnamment classique, mais en profite pour justement explorer et interroger l’héroïsme au cœur de son dispositif.
Libération
Malgré quelques faiblesses, se concentrant notamment autour du personnage de la femme de Bilott, à qui revient le rôle ingrat d’incarner ce qu’il fait endurer à sa famille [...], le film est passionnant, car au-delà de l’enquête haletante, il se déploie dans une géopolitique des espaces marqués par les rapports de classes rarement explorés dans le cinéma américain.
Libération
[...] c’est justement ce que ce maître du mélo a su apporter de pathos au matériau typique d’un film-dossier qui le rend incroyablement émouvant, en dépit de petites faiblesses qu’on balaie volontiers.
Marianne
Solidement scénarisé et mis en scène, Dark Waters raconte l’engagement de Bilott et s’interroge, dans la meilleure tradition du cinéma américain politique, sur la complexité du combat de la démocratie contre les intérêts financiers.
Première
L’information est glaçante mais dit bien aussi que nous sommes tous liés les uns aux autres par un destin commun. Impossible de ne pas sortir de ce film sans être remué par cette idée. Impossible non plus de ne pas avoir envie de courir chez soi bazarder toutes ses poêles en Téflon.
Rolling Stone
Dark Waters n’a donc peut-être pas la fougue et la flamme des Klute ou des Hommes du président que Haynes vénère (...). Il n’en reste pas moins un film passionnant, formidable écho en creux aux velléités réaffirmées d’une administration américaine de tout déréguler en matière de protection de l’environnement au seul nom de l’économie et du profit.
Sud Ouest
Film efficace, noir, ample, tiré de la réalité, hélas.
Sud Ouest
Avec une douceur de composition en contrepoint d’un script tranchant, l’auteur de « Loin du paradis » parvient à restituer la complexité de l’affaire dans ses dimensions les plus retorses.
Télé Loisirs
Dans la lignée d'"Erin Brockovich", un film dense et captivant, qui rejoue l'éternel combat de l'individu contre le système.
Voici
Un scandale de santé publique mondial, magistralement mis en scène et porté par l’interprétation de Mark Ruffalo.
Cahiers du Cinéma
Dark Waters est un peu comme son héros, il avance avec sérieux et modestie.
Ecran Large
S'il mène son récit convenablement et parvient ici et là à y injecter sa sensibilité, Todd Haynes semble contraint par le genre qu'il visite, comme étouffé par des codes qui anesthésient son style.
L'Humanité
Jadis Todd Haynes tournait des films provocateurs ou kitsch comme Poison ou Velvet Goldmine. Aujourd’hui, il se retrouve du côté des bien-pensants avec ce film correct, mais impersonnel sur l’action héroïque d’un avocat contre la puissante firme chimique DuPont (...).
L'Obs
Quelque part entre le polar et le drame social, ce film, réalisé par Todd Haynes, vient juste à point, au moment où Trump flingue toutes les normes environnementales mises en place par Obama. C’est d’autant plus passionnant que Mark Ruffalo, qui joue le rôle principal, est aussi le producteur du film.
Les Inrockuptibles
[Si] Todd Haynes n’est pas à son aise en bottes de caoutchouc, dans une Amérique profonde, [...] il finit par nous scotcher à la destinée de son avocat maudit lorsque celui-ci comprend, qu’on ne peut jamais complètement terrasser l’hydre, mais qu’il est vital d'essayer.
Critikat.com
S'il se rêve comme un pavé jeté dans la mare du scandale, Dark Waters tient plutôt du coup d'épée dans l'eau.