AlloCiné
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Ni bonne ni mauvaise cette comèdie conçue pour Amazon Prime Video dont le seul atout est la tchatche et le dynamisme de son actrice principale! Melha Bedia, rigolote, nous procure de « fortes » sensations...autour d'une barre! Pas de quoi être estomaquèe par sa prestation qui donne autant la pèche qu'une èmission avec Gym Tonic mais sans elle, il n'y aurait sans doute pas de Nour, jeune femme en surpoids avec son bonnet, ses carreaux, sa voix rauque et son bagou qui se passionne pour la Pole Dance! il faut quand même aimer la soeur de Ramzy pour pouvoir la supporter 95 minutes! Pour le reste de la distribution, le pire est Alison Wheeler en bonne copine qui a tendance à jouer toujours la même chose! A 34 ans il serait temps de changer de registre car la dragueuse lourde, ça va cinq minutes après ça devient gênant! Pour toutes celles qui font un gros complexe sur leur poids et qui souhaitent retrouver leur fèminitè cachèe sous un jogging...
🎬 RENGER 📼
Nour est un cas désespéré. Ses rencards d’un soir la considèrent comme une pote, elle est sapée de façon négligée, à 20kg (voir plus) en trop et c’est un véritable garçon manqué. Bref, il est temps que cela change si elle souhaite enfin être considérée et surtout, trouver l’homme de sa vie. Pour cela, il va falloir qu’elle se féminise et devienne séduisante, alors elle va se mettre au pole dance, car trémousser son ɔul sur une barre verticale semble être la seule solution qu’elle ait trouvée…
Le film de Katia Lewkowicz (Pourquoi tu pleures ? - 2011) était destiné à une exploitation en salles jusqu’à ce que la crise du Covid_19 vienne tout chambouler. L’équipe du film était alors en pleine campagne promotionnelle et le film était prévu au cinéma le 18 mars 2020, lorsque la France s’est retrouvée en plein confinement (avec l’ensemble des salles de cinéma fermées) dès le 17 mars (!). Raison pour laquelle le film a échoué sur la plateforme de streaming Prime Video d’Amazon.
Coécrit par la réalisatrice et Melha Bedia (qui campe le premier rôle), cette dernière a fait preuve d’un grand sens d’autodérision pour avoir accepté d’incarner un tel rôle, cataloguée comme grosse et indésirable. Cette comédie sur l'acceptation de soi, d’être aimé (et de s’aimer tel que l’on est) aurait pu être une idée intéressante dans le fond, mais dans la forme, il n’en est rien. Dans l’ensemble, c’est très mal écrit, parfois à la truelle et la galerie de protagonistes tous caricaturés à outrance n’aide en rien l’appréciation du film.
C’est d’une bassesse pas croyable, jamais tendre ou émouvante et encore moins drôle, un comble pour une comédie sociétale… Finalement, ça a été une bonne chose ce confinement, on pourra au moins remercier la Covid_19 de nous l’avoir épargné au cinéma.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Le film de Katia Lewkowicz (Pourquoi tu pleures ? - 2011) était destiné à une exploitation en salles jusqu’à ce que la crise du Covid_19 vienne tout chambouler. L’équipe du film était alors en pleine campagne promotionnelle et le film était prévu au cinéma le 18 mars 2020, lorsque la France s’est retrouvée en plein confinement (avec l’ensemble des salles de cinéma fermées) dès le 17 mars (!). Raison pour laquelle le film a échoué sur la plateforme de streaming Prime Video d’Amazon.
Coécrit par la réalisatrice et Melha Bedia (qui campe le premier rôle), cette dernière a fait preuve d’un grand sens d’autodérision pour avoir accepté d’incarner un tel rôle, cataloguée comme grosse et indésirable. Cette comédie sur l'acceptation de soi, d’être aimé (et de s’aimer tel que l’on est) aurait pu être une idée intéressante dans le fond, mais dans la forme, il n’en est rien. Dans l’ensemble, c’est très mal écrit, parfois à la truelle et la galerie de protagonistes tous caricaturés à outrance n’aide en rien l’appréciation du film.
C’est d’une bassesse pas croyable, jamais tendre ou émouvante et encore moins drôle, un comble pour une comédie sociétale… Finalement, ça a été une bonne chose ce confinement, on pourra au moins remercier la Covid_19 de nous l’avoir épargné au cinéma.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
L'AlsacienParisien
Sensé sortir en salle pendant la première semaine de confinement, "Forte" se contente d'une sortie sur Prime Video. J'étais plutôt tenté par cette comédie qui traite de l'acceptation de soi mais j'ai été fortement déçu par le scénario qui enchaine les scènes mollassonnes sans exposer un point de vue original sur la féminité et la quête d'identité. Pourtant, cette comédie n'est pas dénuée d'atouts ! Le principal n'est nul autre que son actrice principale, Melha Bedia, drôle, simple, ne fabriquant pas. Certaines de ses punchlines sont juste super ! C'est la seule qui m'a fait rire et qui racontait vraiment quelque chose. Les personnages secondaires sentent moins le "vécu" et deviennent donc un peu plus cliché... A l'exception de Bastien Ughetto et Nanou Garcia qui apportent une certaine singularité dans ce genre. Valérie Lemercier, en ex-professionnelle du Pole dance, fait trois pirouettes autour de la barre et puis s'en va ; on sent la fainéantise de l'actrice qui se repose sur ses lauriers en interprétant un personnage vulgaire et antipathique. Pour ce qui est de la mise en scène de Katia Lewkowicz, elle est similaire à tout divertissement dépourvu d'idées et de messages. En effet, la Pole dance, qui semblait être un sujet intéressant, ne sert en fait que de béquille et de prétexte mais n'est jamais exploité comme une nécessité. A ce titre, une simple danse de salon aurait pu faire l'affaire... Dans le même genre, j'ai préféré "De plus belle" avec Florence Foresti qui réapprenait à s'aimer par le biais du strip-tease suite à un cancer. Et pour couronner ce scénario vaseux, plus maladroit que vraiment mauvais, il se termine de façon soudaine, ne laissant aucun des personnages sur la paille, nous rappelant à quel point cette histoire manquait d'épaisseur. Dommage, car, je le répète, Melha Bedia a quelque chose de très prometteur !
ferdinand75
Un gros ratage , pour un film dont le scénario de départ pouvait être très intéressant, mais qui se loupe complètement , principalement à cause d'une réalisation trop molle , sans rythme , ennuyeuse comme un somnifère .Les dialogues ne sont pas bons , toujours à côté de la plaque , il manque une chute , et les gags sensés être amusant tombent à plat. Les actrices ne sont pas dirigées et font du n'importe quoi. Valérie Lemercier n'a jamais été aussi mauvaise,et en plus on ne croit pas une seconde à son rôle de reine du Lap Dance. Quand à Meta Bédia , elle joue moyen , mais toujours par manque de bonne direction d'acteur.
bsalvert
Un film sympathique mais dont le chemin est légèrement trop prévisible. Un étoile est consacrée aux dialogues, discrets mais les phrases assassines pleuvent.
Quelques scènes sont sympas, l'humour est là quelques fois et le casting est bien choisi. Toutefois la fin est bâclée, et cette romance sort de nulle part, on n'y croit pas trop, dommage, car selon moi ça partait d'une bonne idée. C'est bourré de stéréotypes et de clichés, pas de quoi en faire un film mais le cinéma français est ce qu'il est.
GyzmoCA
La bande annonce, le casting avec des acteurs de renom (Valérie Lemercier, Ramzy, Jonathan Cohen, une idée de départ intéressante, On est vite déçu par le film et le scénario. ça manque de magie malgré quelques punchlines. On y croit pas du tout et ça diminue l’intérêt du film. ça aurait pu être le Full Monthy à la française mais on en est loin. Dommage.
Une comédie sympathique sur l'acceptation de soi et la tolérance. C'est mignon et plutôt correctement exécuté mais ce n'est ni très drôle ni très émouvant donc un peu mineur au final.
NammJones
C'est pas mal et assez mignon.
Interprétation assez réussie mais un peu trop de regard caméra de la part de certaines actrices. Ca enlève le charme.
L'histoire n'a rien de surprenant et il n'y a pas vraiment de suspense mais ça se suit facilement
Interprétation assez réussie mais un peu trop de regard caméra de la part de certaines actrices. Ca enlève le charme.
L'histoire n'a rien de surprenant et il n'y a pas vraiment de suspense mais ça se suit facilement
Guillaume
Tant de battage médiatique pour seulement cela ? Non mais vraiment ? Il n'y a rien de brillant dans cette comédie, que l'on se penche sur le scénario (d'une confondante banalité), du jeu d'acteur ou de la réalisation.
Bref, il y a tellement peu de choses à en retenir qu'il est tout bonnement inutile d'y consacrer des lignes et des lignes d'écriture...
Bref, il y a tellement peu de choses à en retenir qu'il est tout bonnement inutile d'y consacrer des lignes et des lignes d'écriture...
gabdias
Mehla Bedia fait forte impression dans une comédie convenue et ultra conventionnelle qui balance beaucoup de clichés. De la répartie, le sens de la formule pour une comédie sur l’acceptation de soi dans une société de plus en plus hypocrite. Poussif et manquant de rythme pour retenir plus notre attention.
Nicolas V
Je connaissais déjà le potentiel comique de la sœur de Ramzy, mais Forte fut l’examen d'entrée pour voir si Melha Bedia est une bonne actrice au delà des vannes.
Car le long métrage ne propose pas énormément de points forts. Juste une sorte de sensation de déjà vu typique de ce genre déjà trop exploité : la féminité mal assumée, la camaraderie en soutien à une vie intime inexistante.... on connait.
On ne peut pas dire que Lemercier soit une valeur ajoutée : elle fait le job. Dans un contre emploi intéressant, mais pas de césar à l'horizon.
Pourtant, même si le film parle de pool dance ( c'est vendeur ), l'ensemble reste très convenu. Pas mauvais, mais sans surprise.
La surprise est cette jeune comique qui ; dans une scène devant Jonathan Cohen, montre son jeu d'actrice. Une grande interprétation entre fragilité et puissance. Démontrant en une scène son potentiel de grande actrice. Touchante et impressionnante. Une actrice a suivre avec grand intérêt.
Car le long métrage ne propose pas énormément de points forts. Juste une sorte de sensation de déjà vu typique de ce genre déjà trop exploité : la féminité mal assumée, la camaraderie en soutien à une vie intime inexistante.... on connait.
On ne peut pas dire que Lemercier soit une valeur ajoutée : elle fait le job. Dans un contre emploi intéressant, mais pas de césar à l'horizon.
Pourtant, même si le film parle de pool dance ( c'est vendeur ), l'ensemble reste très convenu. Pas mauvais, mais sans surprise.
La surprise est cette jeune comique qui ; dans une scène devant Jonathan Cohen, montre son jeu d'actrice. Une grande interprétation entre fragilité et puissance. Démontrant en une scène son potentiel de grande actrice. Touchante et impressionnante. Une actrice a suivre avec grand intérêt.
Film plutôt feel good aucun doute là dessus. On passe un moment sympathique.
Au delà ce n'est pas la comédie de l'année comme le laissaient entendre certains médias avant la sortie du film.
Le tout est assez déjà vu et manque cruellement de rythme (la première moitié surtout). Pour faire mouche, cela manque de scènes cultes et de bons dialogues qui restent par la suite.
Au delà ce n'est pas la comédie de l'année comme le laissaient entendre certains médias avant la sortie du film.
Le tout est assez déjà vu et manque cruellement de rythme (la première moitié surtout). Pour faire mouche, cela manque de scènes cultes et de bons dialogues qui restent par la suite.
Gros casting pour un film sans intérêt, mou et aux dialogues dont même les acteurs n'y croient pas !
On reste un peu bête devant ce film en se disant "mais pourquoi ?"
1,3/5
On reste un peu bête devant ce film en se disant "mais pourquoi ?"
1,3/5
Yves G.
Nour (Mehla Bedia) a une vingtaine de kilos en trop, un CDI dans une salle de fitness où elle assure l'accueil en en tenant la compta, une mère très collante et deux meilleurs-amis-pour-la-vie. Nour est une footballeuse talentueuse ; mais son surpoids la complexe. Avec Sissi (Valérie Lemercier), la coach farfelue de son club, elle veut s'initier à un sport plus féminin : la Pole dance.
Grossophobie. "Forte" fait partie de ces comédies françaises qui tiennent tout entier dans leur pitch. Avant même son commencement, on sait déjà à quoi on aura droit : une fille en surpoids qui, après quelques épisodes drôles sinon embarrassants, apprendra à s'accepter telle qu'elle est. En mineur lui fait écho le personnage de Steph (Bastien Ughetto), dont la sexualité est encore hésitante et qui trouvera à ses questionnements une réponse étonnante.
Sauf que le scénario de "Forte", si l'acceptation de soi constitue son sujet, part dans une mauvaise direction : en quoi réussir à se contorsionner sensuellement autour d'une barre métallique constituera-t-il pour Nour la meilleure façon de s'accepter ? Le football où elle excelle (Mehla Bedia avait commencé, dans la vraie vie, une carrière professionnelle au PSG) n'aurait-il pas été un meilleur terrain d'accomplissement ?
Dans le meilleur des cas, on peu escompter passer un bon moment, entre éclats de rire et émouvante empathie. Dans le pire, on ne décrochera pas un sourire et les passages plus graves ne provoqueront qu'un silence consterné. Hélas, "Forte" - un titre qui, on l'aura compris, renvoie aussi bien au surpoids de l'héroïne qu'à sa force de caractère - relève plutôt de la seconde catégorie.
Pourtant Melha Bedia, l'actrice principale, aussi co-scénariste et co-dialoguiste, s'était bien entourée : son grand frère Ramzy Bedia, Valérie Lemercier, Jonathan Cohen et Alison Wheeler font les utilités. Le problème est que, sauf à être d'une coupable indulgence, elle n'est jamais ni drôle ni émouvante. Son bagout ne fait pas rire ; ses complexes ne font pas réfléchir.
"Forte" devait sortir le 18 mars 2020. Son affiche avait commencé à décorer les métros et les bus. Las ! le confinement lui barrait l'accès en salles - mais permettait à ses affiches de rester en place pendant plus de deux mois (à côtés de celles de "Pinocchio" et de "Sans un bruit 2"). Finalement, "Forte" est sorti directement sur "Amazon Prime" - alors que la plupart des films programmés en mars-avril-mai allait trouver finalement, durant l'été ou le début de l'automne, un chemin en salles. Pa sûr que le cinéma y ait perdu au change.
Grossophobie. "Forte" fait partie de ces comédies françaises qui tiennent tout entier dans leur pitch. Avant même son commencement, on sait déjà à quoi on aura droit : une fille en surpoids qui, après quelques épisodes drôles sinon embarrassants, apprendra à s'accepter telle qu'elle est. En mineur lui fait écho le personnage de Steph (Bastien Ughetto), dont la sexualité est encore hésitante et qui trouvera à ses questionnements une réponse étonnante.
Sauf que le scénario de "Forte", si l'acceptation de soi constitue son sujet, part dans une mauvaise direction : en quoi réussir à se contorsionner sensuellement autour d'une barre métallique constituera-t-il pour Nour la meilleure façon de s'accepter ? Le football où elle excelle (Mehla Bedia avait commencé, dans la vraie vie, une carrière professionnelle au PSG) n'aurait-il pas été un meilleur terrain d'accomplissement ?
Dans le meilleur des cas, on peu escompter passer un bon moment, entre éclats de rire et émouvante empathie. Dans le pire, on ne décrochera pas un sourire et les passages plus graves ne provoqueront qu'un silence consterné. Hélas, "Forte" - un titre qui, on l'aura compris, renvoie aussi bien au surpoids de l'héroïne qu'à sa force de caractère - relève plutôt de la seconde catégorie.
Pourtant Melha Bedia, l'actrice principale, aussi co-scénariste et co-dialoguiste, s'était bien entourée : son grand frère Ramzy Bedia, Valérie Lemercier, Jonathan Cohen et Alison Wheeler font les utilités. Le problème est que, sauf à être d'une coupable indulgence, elle n'est jamais ni drôle ni émouvante. Son bagout ne fait pas rire ; ses complexes ne font pas réfléchir.
"Forte" devait sortir le 18 mars 2020. Son affiche avait commencé à décorer les métros et les bus. Las ! le confinement lui barrait l'accès en salles - mais permettait à ses affiches de rester en place pendant plus de deux mois (à côtés de celles de "Pinocchio" et de "Sans un bruit 2"). Finalement, "Forte" est sorti directement sur "Amazon Prime" - alors que la plupart des films programmés en mars-avril-mai allait trouver finalement, durant l'été ou le début de l'automne, un chemin en salles. Pa sûr que le cinéma y ait perdu au change.
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