Derniers Avis : El Camino : un film Breaking Bad - Page 4

Je viens de terminer l'excellente série et il était intéressant de savoir dans la foulée ce qu'il était advenu de Pinkman, ce que raconte "El camino". Alors clairement ce n'est pas véritablement un film puisqu'il faut impérativement avoir vu la série pour qu'il ait un quelconque intérêt, c'est un condensé de ce qu'auraient pu être deux ou trois épisodes supplémentaires. Si l'idée a du sens même six ans après la fin de la série (même si on remarque quelques années et kilos en plus chez les différents protagonistes), ses choix de scénario ne sont pas pour moi des plus judicieux, en particulier les incessants flash-backs, qui ont du sens pour justifier certaines actions, mais qui cassent le rythme. Si par moments la tension est bien présente, la fuite désespérée de Pinkman, qui constitue le cœur du sujet, n'est pas des plus prenante. Alors si "El camino" ferme proprement un arc narratif laissé ouvert de façon un peu négligente par la série, il ne constitue pas un indispensable à voir. 

je le trouve génial car il met en scène une fin intéressante qui rajoute du croustillant à l'épisode 16 de la saison 5 de breaking bad.
les acteurs sont les mêmes tout est dans le même style que la série.
film à voir si vous avez aimé la série à succès Breaking bad

Un bon film mais sans plus, en tant que fan de l'univers Breaking Bad j'étais obligé de le regarder mais je l'ai trouvé quelque peu décevant, avec beaucoup trop de "fan service" à mon gout et un sentiment que le projet n'est pas totalement abouti. Mais ce film a le mérite de nous émouvoir et je dois bien admettre que retrouver Jesse fait du bien. Mention spéciale à la scène finale qui m'a mis les larmes aux yeux.

El Camino est un film plutôt pas mal, même si, fondamentalement, je ne suis pas sûr que la production de ce film ait été absolument nécessaire. La conclusion de la série Breaking Bad était franchement réussie (et apparemment la production de la série dérivée Better Call Saul avait déjà permis d'étendre l'univers de Breaking Bad) donc en réalité, cet épilogue n'était ni vraiment utile ni attendu (le sort de Jesse Pinkman à l'issue de l'ultime épisode de la série ne justifiait pas à mes yeux un film à lui tout seul). Il n'en reste pas moins un film globalement réussie. Les acteurs sont bons (Aaron Paul en tête). On retrouve avec plaisir certains personnages secondaires ainsi que l'atmosphère d'Albuquerque. L'intrigue tient. La réalisation est toujours impeccable (on retrouve vraiment la patte de Vince Gilligan, le créateur de la série). Petit bémol, le visionnage de la série me semble inévitable avant de voir le film, qui ne peut pas se regarder tout seul.
C'est pas mal.

"El Camino", un film Breaking Bad réalisé par Vince Gilligan en 201, dérivé de la série télévisée "Breaking Bad" du même créateur. Un film qui parlera certainement aux connaisseurs de la série qui comprendront le sens des flash-back. Un film bien réalisé, des personnages attachants. Quelques longueurs, mais c'est pas mal.

Ne perdez pas votre temps avec ce film je l'ai regardé pour avoir une opinion honnête. Cela m'a semblé complètement inutile et forcé. Je savais après qu'ils eurent lâché un teaser environ un mois à l'avance que le titre ne serait jamais à la hauteur de cette mauvaise histoire. La fin de El Camino : Un film Breaking Bad n'a pas été épique. Et pour autant que nous sachions Jesse était libre. Vince Gilligan a fait un travail formidable avec cette histoire. Peut-être aurait il dû mieux finir Saul avant de s'attaquer à une histoire sans intérêt avec des personnages mal placés. Il faut de préférence une nouvelle histoire et de nouveaux personnages. Un film sans intérêt qui ne ravira que ses fans...

L'épilogue de la série culte qui nous raconte enfin le destin de Jesse Pinkman... Un goût de trop peu quand on a été accroc à la série, pas forcément indispensable, mais tellement plaisant...
Certains acteurs ont pris un coup de vieux, d'autres n'ont pas changé, mais il y en a un qui manque particulièrement, c'est bien sur notre Bryan Cranston préféré....forcement absent hormis quelques flash-back.

Pas ouf dans l'ensemble mais permet de savoir ce qui se passe à la suite de breaking Bad. Un peu dommage qu'on ne puisse pas voir skyler et ces enfants mais c'est déjà ca

Au lieu de faire juste un film, une série complète aurait pu être faite.
Que ce soit Jessy qui n'était pas mort, l'avocat, la famille de White qui avec l'argent que Walter leur fait parvenir via elliot et gretchen schwartz, les potes à Jessy, etc...
Rien qu'avec Jessy et ses potes Skinny et Badger plus Saul Goodman, s'ils partent ailleurs, la bleu peu revenir, eux produisent et Saul Goodman qui défendrait des taulards pourrait à terme connaitre des revendeurs ;)

Évidemment, si vous n'avez pas vu la série au grand complet, inutile de voir El Camino qui est le final du dernier épisode de la dernière saison..en film. C'est avec un grand plaisir que l'on retrouve les personnages principaux de la série, quelques peu vieillis certes, que l'on retrouve la griffe Breaking Bad avec sa superbe réalisation et sa photographie de qualité. Les plans, les décors, les paysages sont superbes, tout ce qui a fait le succès de la série est là sauf l'histoire. Non pas qu'elle soit mauvaise, la réalisation dans l'ensemble est excellente, mais la fin manque un peu de panache, avec quelques longueurs (comme dans la série..). Le personnage de Jessy est devenu "bouffi", a vieilli et quelques incohérences subsistent..si quelqu'un a compris comment finalement Jessy s'est échappé...je veux bien.

Heisenberg faisait à lui seul la série, Pinkman se débat dans un film sans rythme sans bonne histoire aucune intrigue nul pour dire j’ai regarder Banlieusard juste avant et jai pu prendre plus de plaisir agréablement surpris el camino aurait dû être la sortie de l année tant attendu et tellement tellement déçu . Le seul plaisir est de revoir les différents personnages de la serie Los polos quel plaisir, Hank super Pour le reste nulllllissime . #Grosse déception.

Un réel plaisir de retrouver Jesse Pinkman certe torturé mais prêt à tout pour tourner la page.C'est ce que El Camino nous montre, on y voit des moments de flashbacks avec Todd pendant toute sa captivité et le film nous montre aussi ce qu'il s'est passé après la toute dernière scène de Jesse dans Breaking Bad. Évidemment, El Camino n'est pas à la même hauteur que Breaking Bad cela est évident et cela était prévisible tellement la barre était haute, malgrés tout El Camino reste un très bon film qui permet d'en savoir plus et d'approfondir le personnage de Jesse Pinkman qui est de plus, mon personnage préféré de la série et toutes séries confondu. Un très bon film malgrés tout, réservés au fan de la série les autres, il est préférable de passer votre chemin .

Déjà si vous n'avez pas vu la série Breaking Bad, je vous dis de quitter votre bureau devant l'ordi pour vous précipiter d'aller acheter le coffret de l'intégrale de La SERIE des SERIES , le chef d’œuvre en 5 saisons de Vince Gilligan sinon vous n'allez rien comprendre à cet "outro" qui vient conclure cette fresque géniale pour le plus grand plaisir des fans de la série.

Pas facile de faire une suite à une série qui se terminait de la meilleure des façons, surtout Breaking Bad, série qui a révolutionné le genre. La fibre nostalgique revient et ça fait plaisir de voir Jesse Pinkman devenir le centre du scénario et de lui donner cette chance. Un thriller musclé et efficace, un peu lent parfois. Pas indispensable mais un bon moment quand même.

Breaking Bad reste une des plus intenses séries que j'ai pu voir jusqu'à maintenant. C'était il y a déjà 7 ans. De son démarrage jusqu'à sa conclusion, elle m'avait véritablement pris aux tripes grâce à son histoire mais aussi et surtout grâce à l'épaisseur et l'évolution de ses personnages. La formidable conclusion m'avait laissé un peu orphelin de Jesse et Walter, ce duo improbable de dealers, mais aussi de plusieurs seconds rôles tout aussi travaillés et charismatiques.
Et brusquement, un jour, Netflix annonça un film !
Je ne pouvais m'empêcher, comme beaucoup je pense, de redouter ce El Camino tristement affublé de son : un film Breaking Bad qui ne semble être qu'un atout commercial aguicheur. Il y a eu une certaine excitation bien sûr, difficile de résister à l'appel du pied, surtout lorsqu'il s'agit encore de celui de Vince Gilligan, mais il y a aussi la peur de s'asseoir devant cette suite qui n'a visiblement aucun intérêt tant la série formait un tout maîtrisé et cohérent, se suffisant largement à elle même.

Pourtant, en entamant ces deux heures, je ne tarde pas à retrouver mes repères malgré le temps passé. Skinny Pete, Badger, cet ordure placide de Todd ou le magnifiquement inexpressif Mike sont autant de sollicitations savoureuses et nostalgiques qui viennent titiller ma mémoire affective. Tous ces bons vieux amis que je n'aimerais en aucun cas voir débarquer à la maison accompagne le retour du fils prodigue quasiment là où je l'avais abandonné, dans une fin ouverte qui laissait mon esprit tracer le chemin que je voulais pour l'acolyte brisé de Walter White.
Ainsi, ce film était-il vraiment nécessaire ? Indiscutablement, non ! Mais appréciable ? Oui. Et heureusement.

L'esprit de la série transpire dès les premières minutes mais à une vitesse à laquelle je dois m'habituer. Ici, le temps est compressé mais heureusement, chaque scène, chaque rebondissement se fait l'écho des soixante-deux épisodes précédents, que ce soit dans une discussion sur la rive d'une rivière en passant par la recherche désespérée d'un magot convoité jusque dans des paysages désertiques ocres et orange digne d'une ambiance de western, genre qui finira même par pointer le bout de son canon pour venir me rattraper plus tard dans un lieu improbable.
Et ce retour au Nouveau-Mexique se fait qui plus est en jouant perpétuellement avec mes certitudes.
D'un côté, un principe de va et vient entre passé et présent m'invite malicieusement à prendre les devant pour mieux me prendre à revers. Ce qui est déjà arrivé se superpose à la situation actuelle de Jesse et me pousse à anticiper la manière dont les choses se sont passées, transformant chaque flash-back en occasion à saisir pour la survie du personnage.
De l'autre, son indissociable malchance qui l'a fait passer de partenaire à souffre-douleur voir exutoire me fait perpétuellement craindre pour son entreprise de la dernière chance, ce qui vient indéniablement pimenter les enjeux et installer une tension habilement basée sur le fait que je sois en terrain connu.

Toutes ses choses rendent ce El Camino plaisant de bout en bout sans pour autant en faire une nécessité. Fort du travail déjà accompli, ce prolongement direct de l'intrigue sonne comme une conclusion méritée pour un personnage écorché vif que la série n'aura pas épargné. C'est un peu comme si Vince Gilligan exprimait des remords à avoir ainsi abandonné son personnage il y a quelques années, comme si finalement, après tant de temps, il se décidait à lui rendre justice, à lui donner ce qu'il lui revient de droit en lui offrant une fin digne de son chemin de croix.

All hail the king. Long live the prince.