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Darksauterelle
8 abonnés
84 critiques
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3,0
Publiée le 16 octobre 2021
Pal pour finir la série et l'arc de Jessie, dire au revoir aux personnages. Mais rien n'est surprenant et très intéressant. Ça aurait été mieux de voir Jessie quelques années plus tard par exemple.
Pas du tout à la hauteur de la série Breaking Bad, ce film est axé sur Jesse Pinkman. Un manque total d'originalité, il ne suffira pas à ravir les fans de la première heure.
El Camino s'adapte bien au format cinéma avec la même ambiance et les mêmes personnages (en partie) de la série. L'aboutissement de l'histoire n'est pas surprenante certes, mais ce dernier chapitre fait du bien et nous permet de clore définitivement cette série pour laquelle nous n'avons désormais aucun regret. Par ailleurs, le jeu d'acteur d'Aaron Paul est bluffant.
Un film spin off de la meilleure série de tous les temps (subjectif mais objectivement pas faux) que j'ai déjà oublié. Car El Camino se regarde comme un épisode de Breaking Bad, et est du même niveau que les épisodes de la série, bien que la narration soit logiquement plus (et trop?) rapide. Donc c'est très bien ! Mais d'un point de vue du film, rien d'exceptionnel. Ne regarder que si on est fan de Breaking Bad, en sachant que ce spin off ne sert pas beaucoup l'oeuvre originale. La conclusion de la saison 5 était amplement suffisante !
Un film très bien, qui sert de bon épilogue à la série. Avec un jeu d'acteur, une réalisation et un scénario toujours au top. Peut-être un peu décevant pour certain mais j'ai trouvé que c'était un peu du fan service sans le poussé trop loin. Je recommande fortement ce film avec quand même un making-off très original.
Peut-être supérieur à la série. Sait déjouer les attentes du spectateur au fil de récit tout en étant complètement dans l'univers Breaking Bad. Très plaisant, ce chemin avec Aaron Paul
Après avoir découvert récemment la série "Breaking bad", l'un des plus grandioses shows télévisés que j'ai vu depuis longtemps, un long-métrage qui, sans apporter grand-chose de neuf en terme de mise en scène, offre une porte de sortie plutôt honorable au personnage de Jesse Pinkman, toujours aussi brillamment incarné par Aaron Paul, prolongeant ainsi un peu le plaisir et amenant une conclusion intéressante à son arc narratif. Une intrigue bien écrite centrée sur des flashbacks, des rebondissements bien amenés, un rythme plutôt agréable. Certainement pas l'oeuvre de l'année, assez oubliable cinématographiquement mais totalement distrayant et remarquable pour le dernier rôle à l'écran de l'immense Robert Forster disparu le jour même de la sortie du film.
Un bon complément à la série qui reprend le style léché, les scènes de tension et quelques personnages de Breaking Bad. Le personnage de Jesse est bien complété par le film qui permet de se replonger encore une fois da's breaking bad.
Complètement de la série Breaking Bad, le film suit le destin de Jesse qui avait été mis de côté lors du dernier épisode. Destiné aux fans donc, continuité des 5 saisons avec toujours le même bonheur de retrouver certains personnages . On appréciera ce bonus appliqué réalisé par le créateur Vince Giligan .
Septembre 2013, la série Breaking Bad tirait sa révérence après 5 saisons de 62 épisodes. 5 ans plus tard, Vince Gilligan (le créateur de la série) retrouve une bonne partie du staff technique de la série (ainsi que celle du spin-off "Better Call Saul") et offre aux fans de la première heure, une fin au personnage de Jesse Pinkman, le collègue d’infortune de Walter White.
Pour rappel, dans l’épisode 16 de la saison 5, Jesse était libéré par Walter du repère d’un gang de néonazis où il était retenu séquestrer. Le film est donc centré sur le personnage de Jesse spoiler: (puisque Walter est retrouvé mort dans l’ultime épisode de la série) . Il est pourchassé par toutes les polices et tente ce qu’il peut pour se construire un avenir et pour cela, il doit changer d’identité et fuir les forces de l’ordre, mais tout cela nécessite de l’argent…
El Camino (2019) joue dans la cour des grands en bénéficiant d’un budget bien plus confortable que pour un banal épisode de la série. Résultat, cela s’en ressent, les plans sont léchés et les décors magnifiques (notamment dans le désert), l’ambiance particulière qui s’en dégage est omniprésente et on ne boude pas notre plaisir d’y retrouver bon nombre des acteurs de la série. Si le film s’avère être un plaisir purement nostalgique, il faut aussi se rendre à l’évidence qu’il n’apporte peu voire pas grand-chose à la série. L’épisode final pouvait se suffire à lui-même, mais avoir un film de 90min centré sur Jesse Pinkman quand les ¾ de la série c’était Walter White qui lui volait la vedette, on ne va pas s’en priver.
Bien évidemment, si vous regarder ce film après un long laps de temps depuis le dernier visionnage de la série TV, vous risquez fort d’être perdu en cours de route. Il est donc préférable, pour se remettre dans le bain, de revoir le dernier épisode, pour pleinement apprécier ce film.
Fan de la série breaking bad.. et bien je suis clairement déçu.. aucune intrigue, c’est moue, lent.. un peu tiré par les oreilles.. vraiment à chier ce film!
Pourquoi lancer El Camino ? Comme ça, pour voir. Histoire de profiter de l'univers. Encore un peu, rien qu'un peu. Et j'imagine que c'est un peu la même chose pour Vince Gilligan. Bon d'accord, le créateur/scénariste/réalisateur de Breaking Bad trichait avec Better Call Saul, spin-off consacré à l'avocat magouilleur Saul Goodman. Selon ses propres dires, ce dérivé a vu le jour initialement pour continuer à travailler avec la même équipe. Cela étant dit, les aventures de Saul ont rapidement pris une nouvelle direction. Avec El Camino, Gilligan accepte malgré tout de se plier à l'exercice d'une séquelle, bien qu'elle soit spéciale à sa façon. Pour Gilligan, c'est surtout l'occasion de se faire un petit plaisir et de le partager avec les fans car ce film leur est exclusivement destiné. On pourrait le voir comme un post-scriptum à l'odyssée sanglante ayant catapulté Walter White/Jesse Pinkman dans la stratosphère. À vrai dire, je le considère plutôt comme une note de bas de page. Le long-métrage n'ajoute ni n'enlève quoi que ce soit à la mythologie. Les tribulations de Jesse ont tout d'une dernière tournée avant la fermeture du bar, de fait on ne croise presque que des lieux et personnages déjà connus. En considérant qu'on arrive rigoureusement au même terminus qu'en 2013, la légitimité de ce nota bene est hautement discutable. El Camino permet surtout de mesurer l'évolution d'un strict point de vue formel. On est ici dans un style à mi-chemin entre l'approche caméra au poing de Breaking Bad et la construction clinique de Better Call Saul. La scénographie est réglée au millimètre, les plans sont léchés, la photographie plus saturée fait merveille. Manifestement, tout le monde s'est amusé sur le tournage. Aaron Paul s'offre une sortie en bonne et due forme, et ses camarades assurent pour que la fête soit réussie. Malgré un raccord un peu limite concernant Jesse Plemmons (qui s'est épaissi en 6 ans), le comédien est une fois de plus brillant. Et tout le reste de la distribution aussi. Disons que c'est suffisant si on a envie de faire une pause nostalgique. Les 2 heures seront distrayantes mais à l'arrivée, peu de chances qu'on en garde beaucoup de souvenirs. Surtout eut égard au final de Breaking Bad, qui n'aurait pas pu conclure de meilleure façon le voyage de ses anti-héros. À vous de voir, tout en sachant que quoiqu'il arrive, *El Camino*ne laissera pas de traces dans l'univers créé en 2008.
Qu'est-il arrivé à Jesse Pinkman (Aaron Paul) après l'ultime et épique épisode de "Breaking Bad" ? Tel est l'objet de ce film de deux heures qui se présente comme une suite - ou comme un épilogue - de la série de soixante-deux épisodes qui, pendant cinq saisons, de 2008 à 2013, nous tint en haleine. On y retrouve Jesse, le petit dealer que s'était adjoint Walter White alias Heisenberg, le professeur de chimie d'Albuquerque reconverti en baron de la drogue.
"El Camino" - du nom de la voiture qu'il conduisait pendant les saisons précédentes - raconte sa fuite désespérée. Il est entrelardé de flashbacks qu'il serait délicat de raconter sans dévoiler à la fois les ressorts de ce film et ceux de la célèbre série et la façon dont elle s'est tragiquement conclue.
On y retrouve quelques uns des principaux protagonistes de la série, à commencer par Bryan Cranston (qui a pris un coup de vieux malgré le maquillage), Jonathan Banks (qui joue Mike, le tueur à gages) et Jesse Plemons dans le rôle de Todd, le psychopathe. On aurait bien aimé en voir quelques autres, auxquels on s'était particulièrement attaché : je pense à Skyler, la femme de Walter White, à son fils handicapé Walter Jr. et bien sûr à Saul Goodman qui a eu droit, on le sait, à sa propre série dérivée "Better Call Saul".
Il est difficile de regarder "El Calmino" sans avoir vu "Breaking Bad" et sans en avoir gardé un souvenir pas trop effacé par les ans. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film qui joue sur la nostalgie des spectateurs mais dont la raison d'être - capitaliser sur le succès de "Breaking Bad" - est un peu trop grossière pour être tout à fait honnête.
Un très bon film sous la forme d'un épisode bonus sur le récit de l'évasion de Jesse Pinkman avec quelques flash blacks centrés sur la série Breaking Bad.