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Breezy
3 critiques
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4,5
Publiée le 11 octobre 2019
Voilà une vrai fin digne de BRAKING BAD certainement la meilleure série sur terre et cette prolongation de la série en vaut le détour le film est bon car les plans sont biens fait on a toujours le suspens mais néanmoins un manque d'action car sur 2 heures de film on ressent des légers ralentissement mais ce n'est pas du temps perdu vraiment. Pour les fans de BRAKING BAD comme moi à ne pas manquer vraiment en revanche si vous ne connaissez pas, ça ne sert à rien de regarder ce film franchement du bon boulot
Les heures de gloire pour Vince Gilligan, c’est bien sur la série « Breaking Bad », idolâtré et apprécié par les critiques. Cela fait maintenant six ans qu’elle s’est achevée sur la disparition d’un emblème de puissance et de pragmatisme. Le regretté Walter White a pourtant laissé un héritage significatif derrière lui et il répond au nom de Jesse Pinkman (Aaron Paul). Son parcours fut semé de confusion, mais de spontanéité, le menant à la fuite constante de sa condition de petit voyou de quartier. Cependant, il reste séduisant à suivre, car le jeune chimiste a encore une dernière formulation à proposer.
Les fantômes du passé hantent toujours les cœurs lourds de regrets et de peur. Celui de Jesse en est rempli et il passe enfin le cap de la maturité pour fuir, loin du traumatisme qui l’a enchaîné. Ce thriller lui offre l’opportunité de se racheter, comme une rédemption de la part du réalisateur et scénariste face à sa culpabilité. Des allers et retours par flashback servent étonnamment bien le récit et permettent de mieux cerner la transformation d’un homme déchiré, qui ne peut plus se permettre de tout perdre une fois de plus. Il est donc évident que certaines saveurs de la série d’origine s’invitent au visionnage, mais elles ne sont jamais forcées pour le fan service grossier. Nous sommes face à Jesse, lui-même face à nous, pour enfin nous prouver qu’il lui reste une âme à sauver.
Toujours confiné entre quatre murs, il cherche à la libérer. Mais le temps et les moyens lui manquent. Il reste seul, sans soutien et passif face à son destin. Mais le désir d’émancipation est tellement fort chez ce personnage qu’on ne peut lui reprocher grand-chose. C’est donc le scénario, qui s’attarde peut-être un peu trop dans certains flashbacks, qui laissent peu de subtilités une fois l’heure de film passé. Il faudra attendre l’ultime caméo pour y retrouver de l’intérêt, car le discours en dit long sur les moments d’égarements et de souffrance. On récupère, se re répète et on se rappelle, sans tourner en rond pour autant, mais le décor n’a plus de quoi inquiété. Même pour sa partie western urbain, on palpe du prévisible sans prendre le risque de réinventer le mythe, ce qui aurait été opportun et bienvenu.
Après « Better Caul Saul », c’est le long-métrage qui propose un spin-off sur un univers bien cruel. Le commerce illégal de la série retrouve ses codes préservés et plutôt bien exploité dans cette quête rédemptrice, juste après que le purgatoire ne frappe la vie de Jesse. « El Camino » tient ses promesses, malgré l’émotion, difficile d’accès. Elle passe plus par la nostalgie ou l’anecdote. Mais des années ont passé et nous aussi avons tourné une page. Cet épisode exceptionnel ne reste pas moins indispensable à la série, mais il s’agit de beaux adieux, témoignant du sang et des larmes versés sur le chemin de la liberté.
à voir comme la surprise d'un kinder, très bon mais pas aussi marquant que la série. Je suis quand même content même si cela aurait pu être plus grandiose.
Pas terrible on dirait un épisode de la série histoire de marquer le coup avec la présence de Walter qui donne son dernier conseil autrement je ne vois pas trop l'intérêt de ce film, sinon que la présence de Brian est vraiment minimale.
Sublime j'espère en voir plus un jour sur la suite du côté de la famille de walter et de l'argent que walter a laissé a elliott et Gretchen pour Walt junior! Le film mérite largement le 5/5 pour le plaisir de nous avoir fait un film
M. White faisait à lui seul la série, ici Jessie se débat dans un film sans rythme sans bonne histoire. Le seul plaisir est de revoir les différents personnages de la serie. Grosse déception.
Ce " film ", bien qu'ayant quand meme quelques éléments et personnages de base de la série, ne tient pas vraiment du culte de Breaking Bad, il ne s'agit ici que de la fuite et survie de Pinkman. quelques moments interressant, mais pas de quoi en faire un chef d'oeuvre.
El camino et dans la ligné de breaking bad cest a dire excellent pour ne pas dire chef d'oeuvre aaron paul y incarne a nouveau jesse pinkman a la perfection si vous ette fans de breaking bad se film et pour vous vous n'allez pas vous ennuyer 1 seul seconde bref se film conclut extrêmement bien breaking bad : Chef d'oeuvre
Un hommage ? Un épisode outro de la série ? Surement un peu des deux selon moi. Ce film n'était surement pas indispensable à la série mais il permet d'éclaircir l'avenir de Jessy et de certains autres personnages. Je conseils à ceux qui ne l'ont pas vu de lire rapidement le résumé de la saison 5 sur Wikipédia histoire de ne pas passer le film à se poser des questions, les autres réponses apparaîtrons naturellement dans le film.
Le seul regret que je peux avoir vis à vis de ce film c'est qu'il manque un peu de surprise, d'émotion et qu'on aurait aimé avoir des réponses à certaines questions (par ex : quel est le passé de Gus) ; cependant il a le grand mérite de ne pas "gâcher" la série et il constitue un très bel hommage.
Je pense qu'il a également le mérite d'être un épisode très profond sur l'avenir de Jessy, sur son émancipation. Beaucoup parlent de fan service en évoquant les flash back, je crois au contraire que ce sont eux qui donnent toutes la profondeur au film, ce sont eux qui ouvrent véritablement le débat sur l'avenir de Jessy. Jessy a été longuement manipulé, il est aussi resté extrêmement loyal, a la fin de la saison 5 de Breaking Bad je me posais personnellement pas trop de question sur son avenir, il allait certainement retrouver une demoiselle avec qui passé la fin de sa vie (comme il l'avait toujours fait dans les moments de "creux" de la série). Ce film ouvre des perspectives sur l'avenir de Jessy, sur son émancipation, la fin de BB questionne "est-ce que Jessy va enfin être heureux ?", la fin de El Camino retourne cette question "est-ce que Jessy va enfin être libre ?".
C'est sur ce point que les flashs back sont importants :spoiler: au début du film Jessy demande à Mike "ou iriez-vous ? à ma place ?", Mike ne veut pas lui répondre avant d'avouer "l'Alaska la dernière frontière, la bas tu peux être ce que tu veux" (est-ce qu'en allant en Alaska on peut considérer que Jessy est simplement influencé (comme toujours) par Mike, ou peut on considéré qu'il gagne ainsi sa liberté ?). Plus tard dans le film un flash back avec Walt rappel que Jessy s'engage à donner l'argent de Walt à sa famille et, puis, Walt l'encourage à entrer à l'université pour des études de commerce (va t-il finalement, comme toujours, suivre les conseils de Walt ?) et enfin le film se termine sur l'image de sa plaque d'immatriculation, reprenant les mots de Mike au début du film "Alsaka, la dernière frontière", puis on voit LE flash back important avec Jane, Jessy répète les mots de Jane"on va ou l'univers nous mène" en disant qu'il apprécie cela, (il se complet dans le fait d'être influencé), Jane répond que c'est des conneries et que "il faut mieux choisir soit même ou on va"; sa réplique résume la vie de Jessy "je vais ou l'univers me mène depuis toujours, il faut mieux choisir soi même ou on va". Cela ouvre le débat sur l'avenir spirituel de Jessy...
El Camino, a été un film très hypant, car Breaking Bad c'est la meilleur série au monde pour ma part. Au final, c'est pas fou fou, il se passe rien, c'est prévisible, dès le début on sait comment sa va se terminer, le film est long est lent, certains flash back sont là que pour gratter du temps, l'histoire est très simple celà parle tout simplement de la fuite de Jesse, avec des facilités scénaristiques dégeux. Les points positifs sont, la retrouvaille de Jesse, et sa fin, il y a 1 flashback qui est nostalgique, et le film en globalité à regarder est moyen. Perso, il aurait dû le sortir en tant que épisode bonus, et en enlevant certain flashback, au lieu de hypé les gens pour rien, ou le meilleur des cas aurait été de faire une série sur sa fuite, pour mettre du supense, de l'angoisse, avec les flics à ces trousses etc...
Conclusion: J'ai passer un moment sympa, mais qui est très loin de la qualité de la série.
Vraiment décevant. 2h de rien. Franchement ça n'apporte rien. Je pas faire ce film n'aurai rien changé. On voit juste Pickaman se promener pendant 2h. Il y à plus de flashback que de film. Je suis vraiment déçu. Comment il peut être un fugitif et ne jamais croiser la police ( sauf 1 fois)?
C'est juste Pickaman spoiler: qui récupère de l'argent SANS AUCUNE DIFFICULTÉS pour commencer une nouvelle vie en Alaska .
Le scénario aurait pu être 100x mieux alors que la, c'est vraiment le minimum syndical vraiment pour faire genre.
Pour les fans de Br Ba, vous ne ratez rien si vous ne pouvez pas voir ce film.
Je met 1 étoiles car le film dure 2h et qu'il se laisse regarder mais c'est tout.
À l'annonce d'un film "Breaking Bad", l'intégralité des fans de la série sur la planète a bien dû pousser un "POURQUOI ??" général et la question avait du sens. En effet, pourquoi diable toucher à ce qui est devenu un monument incontestable de l'histoire télévisuelle ? Pourquoi encourir le risque d'entâcher la série encore considérée dans toutes les têtes comme une référence, et ce même six ans après sa conclusion ? Pourquoi en plus poursuivre l'aventure par un one shot en forme d'épilogue cinématographique à la série-mère conclue assez magistralement alors que, pendant ce temps, son spin-off "Better Call Saul" fait des merveilles en ayant trouver sa propre dynamique tout en ne reniant jamais l'univers d'origine ? Alors, bien sûr, savoir Vince Gilligan avec l'équipe et les acteurs d'origine à la barre était une donnée qui assurait de fait un certain standing à ce film/suite tardif, peu de chances effectivement que ceux ayant participé à une des plus grandes séries du XXIème décident de se tirer une balle dans le pied en sabotant leur propre création pour des visées purement commerciales. Mais, au final, le doute subsistait et tous les pourquoi autour d'un tel projet ont fini par se fondre en une seule question : qu'est-ce que "El Camino" pouvait bien avoir de plus à raconter pour égaler la teneur de tous les événements l'ayant précédé ?
Eh bien, le destin de Jesse Pinkman, pardi ! On avait quitté l'éternel souffre-douleur des ambitions démesurées de son mentor Walter White une fois que ce dernier l'ait libéré de sa longue captivité traumatisante dans le gang familial de Todd (Jesse Plemons). Après avoir laissé leur repère jonché de cadavres de malfrats et dit adieu à son ancien professeur de chimie qui n'allait pas tarder à les rejoindre, Jesse s'enfuyait en hurlant à bord de la Camino du neveu de ses ravisseurs vers peut-être des jours meilleurs ou, du moins, sûrement plus bons que les derniers vécus... En se situant, quelques instants après cette scène, "El Camino" révèle vite sa fonction de pur épilogue : afin d'espérer fuir et commencer une nouvelle vie, Jesse doit panser les plaies des conséquences des actes vécus dans la série et tout le film va s'articuler autour de ces regards jetés en arrière afin d'avancer. Alors, déjà, de ce seul point de vue, est-ce que "El Camino" nous prouve une réelle pertinence à exister en tant que tel ? Ne nous voilons pas la face, la réponse est non, il n'y avait aucune nécessité de raconter cette histoire et, malgré toute la sympathie qu'il nous inspire, le film ne vit que dans l'ombre nostalgique de la série et même intrinsèquement d'ailleurs. Durant toute sa durée, "El Camino" va en fait donner l'impression de feuilleter les ultimes pages de l'immense livre qu'aurait été "Breaking Bad", on a beau savoir que rien ne pourra surpasser la force de ce que l'on a lu auparavant et que ces derniers mots ne sont nullement nécessaires pour changer notre sentiment sur cette lecture mais on s'y accroche agréablement, comme pour mieux prolonger les bonnes vibrations ressenties sur ce qui a précédé. Et c'est d'ailleurs là que le film tape incontestablement fort : la mise en scène de Vince Gilligan véhiculant l'ambiance et le tempo uniques de la série, l'intelligence des dialogues, ses mimiques scénaristiques pour créer de la tension où des pics d'humour très noir explosent comme des pétards (le duel !!), les retrouvailles avec toute la faune de petits seconds rôles qui ont eu à un moment ou à un autre un rôle déterminant à jouer dans la mythologie "Breaking Bad" et, bien sûr, les petites apparitions surprises ou autres références qui vont avec... Tout concourt à nous faire retrouver les sensations procurées par la série et, mieux, nous donnent à nouveau d'y replonger pour les revivre. Cette mini-odyssée de Jesse vers un potentiel avenir plus lumineux nous rappelle à chaque recoin de scène ce pourquoi on a tant aimé "Breaking Bad" et les raisons pour lesquelles cet amour restera indéfectible. En elle-même, cette histoire n'avait peut-être pas lieu d'être, elle paraît toujours marcher par à-coups au regard du passé (avec pas mal de fan service à la clé) et ne pas être assez consistante pour atteindre ne serait-ce que les souvenirs du meilleur de la série mais elle ravive en nous et avec brio l'esprit de "Breaking Bad" pour le faire perdurer. N'est-ce pas là la définition même d'un bon épilogue à quelque chose de grand après tout ?
Du fan service... trop de de flash-back inutile pour meubler... Todd qui a pris 10 kilos ... C'est sympa de retrouver Jesse mais il n'y pas vraiment d'enjeu, le scénario tient sur un quart de feuille de PQ. 2 heures de film où Jesse tente de ramasser la somme nécessaire pour le vendeur d'aspirateur ça le fait moyen...