Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
À voir d'urgence.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Si La Nuit venue n'échappe pas à quelques défauts purement formels, son propos, sa thématique et son interprétation en font un premier film fort et percutant par moments, beau et mélancolique à d'autres, pour un ensemble cohérent et passionnant. On a connu pire démarrage de carrière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce polar séduit en conjuguant élégance et sens de l’action.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Frédéric Farrucci capte la vérité de ses personnages. Et mise sur le lyrisme et la sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un premier film réussi.
Libération
par Sandra Onana
Un premier film élégant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film inspiré qui ne vaut pas que pour son intrigue, mais aussi et surtout pour sa description froidement réaliste de certains quartiers déshérités de Paris et d’une époque, la nôtre, où l’exploitation de l’homme par l’homme et la loi du profit maximum entrainent les derniers de cordées venus de tous les horizons géographiques à souffrir mille maux.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Très documenté, élégamment mis en scène et finement incarné par une Camélia Jordana plutôt convaincante en femme fatale, ce premier film se fraie un chemin parfois fragile mais audacieux entre le thriller nocturne et les langueurs romantiques de Wong Kar-Wai.
Télérama
par Guillemette Odicino
La nuit venue appartient à la famille de ces grands films noirs qui savent donner à un propos résolument politique les atours de la beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Manon Botticelli
Ce polar est aussi un film social. Le réalisateur y souligne notamment les conditions d’accueil des migrants à Paris. Une approche très humaine, car ces images sont vues à travers les yeux de Jin, lui-même dans une situation de grande précarité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est du polar bien noir (on pense aux errances de David Goodis), situé dans un milieu (Chinatown-sur-Seine) secret. Une alchimie et une petite mélodie très séduisantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film noir, bien ancré dans la tradition du genre, se singularise par sa vision poétique de la ville Lumière la nuit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Thriller nocturne mâtiné de romance, ce premier film interpelle le plus quand il dépeint la violence des rapports sociaux et la précarité de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Frédéric Farrucci, dont c’est le premier long métrage, évite la redondance en s’intéressant à des personnages inédits dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Frédéric Farrucci se montre à la hauteur du pari avec La Nuit venue. Polar taciturne de facture classique, il est d’une indéniable beauté formelle.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par La Rédaction
Un petit film noir à l'atmosphère poétique et électrisante.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Collant à son personnage, le film dépeint avec application les attributs d’une vie cachée à l’ombre de l’ultralibéralisme technologique: les repas expédies, les courtes nuits dans des dortoirs, les pressions des « employeurs » et les services échangés entre collègues pour tenter de desserrer l’était, réalité d’autant plus intrigante que la communauté chinoise en France reste peu représentée au cinéma.
Positif
par Fabien Baumann
Mais ce film noir assumé ne provoque jamais l’envoûtement escompté.
BIBA
À voir d'urgence.
Ecran Large
Si La Nuit venue n'échappe pas à quelques défauts purement formels, son propos, sa thématique et son interprétation en font un premier film fort et percutant par moments, beau et mélancolique à d'autres, pour un ensemble cohérent et passionnant. On a connu pire démarrage de carrière.
L'Humanité
Ce polar séduit en conjuguant élégance et sens de l’action.
Le Figaro
Frédéric Farrucci capte la vérité de ses personnages. Et mise sur le lyrisme et la sobriété.
Le Monde
Un premier film réussi.
Libération
Un premier film élégant.
Marianne
Un film inspiré qui ne vaut pas que pour son intrigue, mais aussi et surtout pour sa description froidement réaliste de certains quartiers déshérités de Paris et d’une époque, la nôtre, où l’exploitation de l’homme par l’homme et la loi du profit maximum entrainent les derniers de cordées venus de tous les horizons géographiques à souffrir mille maux.
Marie Claire
Très documenté, élégamment mis en scène et finement incarné par une Camélia Jordana plutôt convaincante en femme fatale, ce premier film se fraie un chemin parfois fragile mais audacieux entre le thriller nocturne et les langueurs romantiques de Wong Kar-Wai.
Télérama
La nuit venue appartient à la famille de ces grands films noirs qui savent donner à un propos résolument politique les atours de la beauté.
Franceinfo Culture
Ce polar est aussi un film social. Le réalisateur y souligne notamment les conditions d’accueil des migrants à Paris. Une approche très humaine, car ces images sont vues à travers les yeux de Jin, lui-même dans une situation de grande précarité.
L'Obs
C’est du polar bien noir (on pense aux errances de David Goodis), situé dans un milieu (Chinatown-sur-Seine) secret. Une alchimie et une petite mélodie très séduisantes.
La Croix
Ce film noir, bien ancré dans la tradition du genre, se singularise par sa vision poétique de la ville Lumière la nuit.
Les Inrockuptibles
Thriller nocturne mâtiné de romance, ce premier film interpelle le plus quand il dépeint la violence des rapports sociaux et la précarité de ses protagonistes.
Première
Frédéric Farrucci, dont c’est le premier long métrage, évite la redondance en s’intéressant à des personnages inédits dans le cinéma français.
Rolling Stone
Frédéric Farrucci se montre à la hauteur du pari avec La Nuit venue. Polar taciturne de facture classique, il est d’une indéniable beauté formelle.
Voici
Un petit film noir à l'atmosphère poétique et électrisante.
Cahiers du Cinéma
Collant à son personnage, le film dépeint avec application les attributs d’une vie cachée à l’ombre de l’ultralibéralisme technologique: les repas expédies, les courtes nuits dans des dortoirs, les pressions des « employeurs » et les services échangés entre collègues pour tenter de desserrer l’était, réalité d’autant plus intrigante que la communauté chinoise en France reste peu représentée au cinéma.
Positif
Mais ce film noir assumé ne provoque jamais l’envoûtement escompté.