Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il y a quelque chose de galvanisant dans cette nouvelle mouture de La Couleur pourpre qui fera sans doute découvrir cette belle histoire de femmes à un public plus jeune.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
La Couleur pourpre du XXIe siècle n’annule pas le film de 1985 et la force de son récit, mais elle est assez maligne pour explorer d’autres aspects, notamment musicaux.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
"La Couleur pourpre", version 2023, est un spectacle dont on se délecte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
À l’aide de la mise en scène enlevée de Blitz Bazawule, cette histoire mêlant culture noire-américaine, féminisme et féminité reste plus que jamais pertinente.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce récit sombre, cruel, peuplé d’hommes violents et abusifs, est éclairé par une émouvante histoire de solidarité féminine. Le film est par ailleurs servi par une mise en scène inventive et ponctué de chorégraphies flamboyantes sur des morceaux de blues, de gospel ou de pop.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par M.L.
Dans le genre, c'est une réussite.
Le Figaro
par C.J.
Plus militante, plus ancrée dans la culture afro-américaine et plus féministe, cette Couleur pourpre se heurte toutefois aux limites de son format.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Dans la foulée d'une première adaptation au cinéma signée Spielberg, et de la comédie musicale présentée à Broadway, cette nouvelle mouture de "La Couleur pourpre" surprend : après un début inquiétant, le film ne cesse de gagner en inventivité et en puissance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Tout est à la fois excessif et très calibré : bref, cela faisait longtemps qu'on n'avait pas vu un film aussi américain -dans tous les sens du terme- sur grand écran. Et ça fait du bien !
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
L’interprétation est à la hauteur, de Fantasia Barrino (en Celie, comme sur les planches) aux incandescentes Taraji P. Henson et Danielle Brooks. Une « couleur pourpre » ravivée et éclatante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
par Fabrice Leclerc
[Un] film paresseux et plein de bons sentiments, comédie musicale réalisée avec tact mais dont l’utilité interroge.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est l’incarnation et la légèreté que l’on cherche en vain, dans cet impressionnant kouglof de bons sentiments compassionnels, de harangues grimaçantes, de prêchi-prêcha abrutissants où la musique, Dieu et les interprétations endolories ont pris le pas sur toute velléité de structure, de fluidité de récit, de limpidité de la forme. Un enfant monstrueux de Broadway, d’Hollywood et du star-system noir, oui ; un film, pas tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Il y a quelque chose de galvanisant dans cette nouvelle mouture de La Couleur pourpre qui fera sans doute découvrir cette belle histoire de femmes à un public plus jeune.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Couleur pourpre du XXIe siècle n’annule pas le film de 1985 et la force de son récit, mais elle est assez maligne pour explorer d’autres aspects, notamment musicaux.
Franceinfo Culture
"La Couleur pourpre", version 2023, est un spectacle dont on se délecte.
Le Dauphiné Libéré
À l’aide de la mise en scène enlevée de Blitz Bazawule, cette histoire mêlant culture noire-américaine, féminisme et féminité reste plus que jamais pertinente.
Le Parisien
Ce récit sombre, cruel, peuplé d’hommes violents et abusifs, est éclairé par une émouvante histoire de solidarité féminine. Le film est par ailleurs servi par une mise en scène inventive et ponctué de chorégraphies flamboyantes sur des morceaux de blues, de gospel ou de pop.
Télé 2 semaines
Dans le genre, c'est une réussite.
Le Figaro
Plus militante, plus ancrée dans la culture afro-américaine et plus féministe, cette Couleur pourpre se heurte toutefois aux limites de son format.
Les Fiches du Cinéma
Dans la foulée d'une première adaptation au cinéma signée Spielberg, et de la comédie musicale présentée à Broadway, cette nouvelle mouture de "La Couleur pourpre" surprend : après un début inquiétant, le film ne cesse de gagner en inventivité et en puissance.
Première
Tout est à la fois excessif et très calibré : bref, cela faisait longtemps qu'on n'avait pas vu un film aussi américain -dans tous les sens du terme- sur grand écran. Et ça fait du bien !
Télérama
L’interprétation est à la hauteur, de Fantasia Barrino (en Celie, comme sur les planches) aux incandescentes Taraji P. Henson et Danielle Brooks. Une « couleur pourpre » ravivée et éclatante.
Paris Match
[Un] film paresseux et plein de bons sentiments, comédie musicale réalisée avec tact mais dont l’utilité interroge.
Les Inrockuptibles
C’est l’incarnation et la légèreté que l’on cherche en vain, dans cet impressionnant kouglof de bons sentiments compassionnels, de harangues grimaçantes, de prêchi-prêcha abrutissants où la musique, Dieu et les interprétations endolories ont pris le pas sur toute velléité de structure, de fluidité de récit, de limpidité de la forme. Un enfant monstrueux de Broadway, d’Hollywood et du star-system noir, oui ; un film, pas tout à fait.