Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Comment ne pas admirer le sens de l’économie de Reichardt, son extraordinaire acuité ? A rebours des vastes transhumances du western classique, il ne lui aura suffi que d’un bovin pour capter une bascule historique majeure.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame envoûtant par son rythme lent qui déploie une mise en scène impressionniste, un scénario minimaliste d'une puissance sidérante. La beauté de chaque plan associée à l'empathie pour les personnages : une leçon de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un éclat brut de la production indépendante, tel qu'on n'en avait pas vu depuis John Cassavetes.
Le Point
par Florence Colombani
Un magnifique western sur l’amitié et le courage.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La violence restant essentiellement hors champ, l’autrice de La Dernière Piste et Old Joy se concentre sur les petits riens qui composent le quotidien d’une vie semi-sauvage, avec une mise en scène dépouillée mais roborative.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Voyage immobile dans l’Oregon automnal du XIXe siècle, le film de l’Américaine Kelly Reichardt revisite en douceur et en détail les mythes fondateurs conquérants de son pays. Un nouveau sommet pour une cinéaste farouchement indépendante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Libération
par Laura Tuillier
First Cow, le dernier film de l’Américaine Kelly Reichardt, situé au temps masculin et vindicatif des chercheurs d’or et des mythes fondateurs, trace la voie d’un rapport différent à l’histoire des Etats-Unis, loin du monumental, de l’édifiant, de l’univoque. Il joue une musique discrète et lancinante qui s’apprécie dans l’intimité d’une chambre, après l’heure du couvre-feu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
La cinéaste a fait de ce récit minimaliste un film grandiose par la beauté de sa mise en images, semblables à des tableaux de grand maître, et l'intelligence de son propos qui dessine en creux la naissance du capitalisme et de ses futures dérives.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une ode à l’amitié comme remède à l’individualisme forcené, filmée comme une estampe japonaise, invitation à ralentir le rythme et à savourer. D’ores et déjà un classique inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Cette économie de bout de ficelles dessine les fondements absurdes d’un pays qui s’apprête pourtant à être le phare du monde. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La cinéaste américaine Kelly Reichardt filme une histoire de pionniers avec une grâce impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Un film superbe et délicat.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat et Claire Steinlen
Kelly Reichardt est une alchimiste, une magicienne. Par un savant jeu de lumière, par ses cadres à juste distance, par sa direction d’acteurs, la cinéaste parvient à nous faire éprouver physiquement le quotidien de ses personnages dans l’Oregon du XIXe siècle. S’en faire le spectateur, c’est s’offrir l’occasion de sentir ses propres contours.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Kelly Reichardt retrouve la luxuriance des forêts de l'Oregon, certaines des thématiques d'Old Joy et sa splendeur.
Critikat.com
par Marin Gérard
Si First Cow n'est pas le meilleur film de Kelly Reichardt, il n'en demeure pas moins une importante nouvelle entrée au sein de ce grand album d'Americana que constitue sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Gaël Delachapelle
À travers la mise en scène la plus radicale et la plus épurée de sa filmographie, Kelly Reichardt opère un retour en grâce avec First Cow, en signant tout simplement l’un de ses meilleurs films, mais aussi l’un des plus beaux films indépendants américains vus récemment sur un grand écran. Un bijou de western classique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par La Rédaction
Dans ce tendre western, à la fois « buddy movie » et film de casse, Kelly Reichardt conjugue ses thèmes (l'aventure, la nature, les liens entre les gens) avec un humour inédit et une douceur contemplative.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un regard sensible sur la fragilité des hommes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
On a rarement vu l’Ouest américain comme ça. (...) Autre temps, autre rythme de vie, que Kelly Reichardt filme comme un lointain écho d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice américaine Kelly Reichardt revisite le mythe de la conquête de l’ouest dans ce western atypique et fascinant qui célèbre l’amitié et la communion avec une nature originelle et bienfaitrice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Western contemplatif, hypnotique et à la beauté foudroyante, First Cow évoque l’imaginaire pionnier (terre d’abondance, rêves de fortune, capitalisme primitif) mais se concentre sur une amitié singulière, presque téméraire, en tout cas solide sur ses bases. Magnifiquement évocateur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sans se lasser depuis des décennies, le cinéma américain célèbre le culte de la victoire et de la force. Paradoxalement, il n'est jamais plus grand que lorsqu'il s'intéresse aux paumés, losers et autres fantômes de fosses communes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Emily Barnett
Un nouveau portrait anticonformiste et attachant de l'Amérique marginale par Kelly Reichardt.
Positif
par Louise Dumas
Au cinéma comme dans la vie, rien n’est plus difficile que de se satisfaire de l’essentiel. Telle la vache qu’elle filme, Kelly Reichardt donne au spectateur les éléments nécessaires à sa nourriture. À lui ensuite de les transformer, de les combiner et de les digérer pour rêver à la douceur des origines.
Transfuge
par Séverine Danflous
Kelly Reichardt signe une nouvelle fois un film éblouissant, First Cow, une remontée aux origines des mythes américains.
Télérama
par Jérémie Couston
Kelly Reichardt conserve son goût pour les histoires de perdants magnifiques et les lumières crépusculaires, pour ne pas dire nocturnes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Malgré quelques longueurs, ce long métrage, présenté au Festival du cinéma américain de Deauville 2020, dresse le portrait picaresque et savoureux de deux nigauds qui se croient malins.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Présenté en compétition à la Berlinale en 2020, le dernier film de Kelly Reichardt reste rétif à la notion de divertissement. On trouve le temps long en Oregon, au XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
Comment ne pas admirer le sens de l’économie de Reichardt, son extraordinaire acuité ? A rebours des vastes transhumances du western classique, il ne lui aura suffi que d’un bovin pour capter une bascule historique majeure.
Le Journal du Dimanche
Un drame envoûtant par son rythme lent qui déploie une mise en scène impressionniste, un scénario minimaliste d'une puissance sidérante. La beauté de chaque plan associée à l'empathie pour les personnages : une leçon de cinéma.
Le Monde
Un éclat brut de la production indépendante, tel qu'on n'en avait pas vu depuis John Cassavetes.
Le Point
Un magnifique western sur l’amitié et le courage.
Les Inrockuptibles
La violence restant essentiellement hors champ, l’autrice de La Dernière Piste et Old Joy se concentre sur les petits riens qui composent le quotidien d’une vie semi-sauvage, avec une mise en scène dépouillée mais roborative.
Libération
Voyage immobile dans l’Oregon automnal du XIXe siècle, le film de l’Américaine Kelly Reichardt revisite en douceur et en détail les mythes fondateurs conquérants de son pays. Un nouveau sommet pour une cinéaste farouchement indépendante.
Libération
First Cow, le dernier film de l’Américaine Kelly Reichardt, situé au temps masculin et vindicatif des chercheurs d’or et des mythes fondateurs, trace la voie d’un rapport différent à l’histoire des Etats-Unis, loin du monumental, de l’édifiant, de l’univoque. Il joue une musique discrète et lancinante qui s’apprécie dans l’intimité d’une chambre, après l’heure du couvre-feu.
Ouest France
La cinéaste a fait de ce récit minimaliste un film grandiose par la beauté de sa mise en images, semblables à des tableaux de grand maître, et l'intelligence de son propos qui dessine en creux la naissance du capitalisme et de ses futures dérives.
Paris Match
Une ode à l’amitié comme remède à l’individualisme forcené, filmée comme une estampe japonaise, invitation à ralentir le rythme et à savourer. D’ores et déjà un classique inoubliable.
Première
Cette économie de bout de ficelles dessine les fondements absurdes d’un pays qui s’apprête pourtant à être le phare du monde. Magnifique.
Sud Ouest
La cinéaste américaine Kelly Reichardt filme une histoire de pionniers avec une grâce impressionnante.
Voici
Un film superbe et délicat.
Bande à part
Kelly Reichardt est une alchimiste, une magicienne. Par un savant jeu de lumière, par ses cadres à juste distance, par sa direction d’acteurs, la cinéaste parvient à nous faire éprouver physiquement le quotidien de ses personnages dans l’Oregon du XIXe siècle. S’en faire le spectateur, c’est s’offrir l’occasion de sentir ses propres contours.
CinemaTeaser
Kelly Reichardt retrouve la luxuriance des forêts de l'Oregon, certaines des thématiques d'Old Joy et sa splendeur.
Critikat.com
Si First Cow n'est pas le meilleur film de Kelly Reichardt, il n'en demeure pas moins une importante nouvelle entrée au sein de ce grand album d'Americana que constitue sa filmographie.
Ecran Large
À travers la mise en scène la plus radicale et la plus épurée de sa filmographie, Kelly Reichardt opère un retour en grâce avec First Cow, en signant tout simplement l’un de ses meilleurs films, mais aussi l’un des plus beaux films indépendants américains vus récemment sur un grand écran. Un bijou de western classique.
Elle
Dans ce tendre western, à la fois « buddy movie » et film de casse, Kelly Reichardt conjugue ses thèmes (l'aventure, la nature, les liens entre les gens) avec un humour inédit et une douceur contemplative.
L'Humanité
Un regard sensible sur la fragilité des hommes.
L'Obs
On a rarement vu l’Ouest américain comme ça. (...) Autre temps, autre rythme de vie, que Kelly Reichardt filme comme un lointain écho d’aujourd’hui.
La Croix
La réalisatrice américaine Kelly Reichardt revisite le mythe de la conquête de l’ouest dans ce western atypique et fascinant qui célèbre l’amitié et la communion avec une nature originelle et bienfaitrice.
La Voix du Nord
Western contemplatif, hypnotique et à la beauté foudroyante, First Cow évoque l’imaginaire pionnier (terre d’abondance, rêves de fortune, capitalisme primitif) mais se concentre sur une amitié singulière, presque téméraire, en tout cas solide sur ses bases. Magnifiquement évocateur.
Les Echos
Sans se lasser depuis des décennies, le cinéma américain célèbre le culte de la victoire et de la force. Paradoxalement, il n'est jamais plus grand que lorsqu'il s'intéresse aux paumés, losers et autres fantômes de fosses communes.
Marie Claire
Un nouveau portrait anticonformiste et attachant de l'Amérique marginale par Kelly Reichardt.
Positif
Au cinéma comme dans la vie, rien n’est plus difficile que de se satisfaire de l’essentiel. Telle la vache qu’elle filme, Kelly Reichardt donne au spectateur les éléments nécessaires à sa nourriture. À lui ensuite de les transformer, de les combiner et de les digérer pour rêver à la douceur des origines.
Transfuge
Kelly Reichardt signe une nouvelle fois un film éblouissant, First Cow, une remontée aux origines des mythes américains.
Télérama
Kelly Reichardt conserve son goût pour les histoires de perdants magnifiques et les lumières crépusculaires, pour ne pas dire nocturnes.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques longueurs, ce long métrage, présenté au Festival du cinéma américain de Deauville 2020, dresse le portrait picaresque et savoureux de deux nigauds qui se croient malins.
Le Figaro
Présenté en compétition à la Berlinale en 2020, le dernier film de Kelly Reichardt reste rétif à la notion de divertissement. On trouve le temps long en Oregon, au XIXe siècle.