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    Une Sirène à Paris
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    175 critiques spectateurs

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    islander29
    islander29

    863 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2021
    Un petit film, qui n'atteint pas ses objectifs, naïf dans sa mise en scène et son interprétation....On ne va vexer personne, et dire que c'est bien gentillet, que cela s'adresse à un public enfantin peut être.....un sujet pour Disney, plutôt, et que le metteur en scène a voulu traiter à la française, mais encore faut il avoir des moyens ...Pas de décors, une musique guimauve, des dialogues sans saveurs, où seule Rossy de Palma rayonne…. le temps effacera surement la trace de ce conte insipide qui 'atteint pas la valeur de beaucoup de téléfilms . A voir si on a un coup de fatigue....Ou qu'on s'ennuie grave....
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2021
    Je ne vais pas m’éterniser : rien ne fonctionne dans cette fable. La sirène elle-même, le couple Duvauchelle - Lima. Je n’ai cru en rien ! Il y a des films pour enfants auxquels je crois, là, rien de rien comme chanterait la môme Piaf ! Certes, la photo, les décors et accessoires sont sympas, très colorés ; c’est agréable à l’oeil, mais malheureusement le récit ne m’a aucunement touché et c’est là le souci. Un gros plouf !
    Alys
    Alys

    5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2021
    Si vous pensez tomber sur une comédie familiale façon Disney, passez votre chemin ! Ce film, d'un démarrage assez abrupt, qui se déroule essentiellement la nuit, vous embarque, peu à peu, dans un univers fantastique et réaliste à la fois, empreint de poésie. On flotte entre drame, comédie et romance.
    Une agréable surprise, mais une erreur gênante : la voix de Lula, censée être enchanteresse au point de faire périr d'amour ceux qui l'entendent, n'est vraiment pas terrible et le postulat n'en devient pas crédible
    Caroline M
    Caroline M

    29 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 février 2021
    C’est tellement nul que s’il n’y avait pas le couvre feu, j’aurai autre chose à faire que de le noter.
    Que dire ... l’idée de départ aurait pu être bonne mais malheureusement, ça ne marche pas. Les décors sont mignons, les musiques aussi... on ressent l’ambiance magique de Paris qui a voulue être donnée mais ...
    On s’ennuie. Mon dieu, on s’ennuie.
    La sauce Amélie Poulain version fantastique ne prend pas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 janvier 2021
    Quand La Forme de l'Eau rencontre Moulin Rouge : cela donne un film assez inégale malgré une certaine audace. Autant l'histoire paraît belle et parfaitement calibré à l'esprit française, autant la réalisation parait très fade et le réalisateur dirige ses acteurs tel un robot. L'histoire dans sa globalité est intéressante mais le traitement des personnages est catastrophique. On sent que le film a énormément de moyens (il est tout de même produit par Sony Pictures, et avec raison) et beaucoup d'ambition mais a beaucoup de mal à les mettre en œuvre. Ce qui semble assez dommage, pour un projet qui s'annoncer prometteur.

    Puis après, pour moi cela fait trop claquer sur Moulin Rouge, La Forme de l'Eau et la Belle et la bête. Je ne parle pas du roman original dont il fut tiré, mais Matthieu Malzieu surfe trop selon moi sur ce côté "freakshow américain". Reste Nicolas Duvauchelle qui donne toujours une performance de qualité malgré le peu d'os qu'on lui donne à ronger. Ce qui est déjà mieux que la performance absurde et sans talent de la très fade Marylin Lima, par ailleurs très jolie.

    Mais malgré tout ces points négatifs, on salut l'audace. Quand le cinéma français veut se donner les moyens, il arrive tout de même à faire quelques choses. Preuve en est, cette expérience trop américaniser mais prometteuse.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2021
    Il est futé, Mathias Malzieu. Il écrit un livre. Quand il n’y a pas assez de monde pour le lire, il en fait un album avec Dyonisos. Quand il n’y a pas assez de monde pour l’écouter, il mélange les deux et en tire un film. On tremble rien qu’à l’idée que Bernard Werber, autre membre de la Ligue de l’Imaginaire, puisse faire pareil. Les premières minutes se déroulent très mal : on a l’impression que les acteurs peinent à trouver le ton juste, que Malzieu aurait plus inspiré d’en faire un film d’animation, à l’instar de ‘La mécanique du coeur’. Puis, comme on comprend qu’il s’agit d’un conte de fées moderne, on accepte ce ton incertain comme faisant partie intégrante du concept. ‘Une sirène à Paris’ est une histoire d’amour inter-espèces : ça a l’air un peu sale présenté comme ça mais je vous assure que c’est tout sauf le cas et qu’on trouvera cette romance enfantine entre un chanteur au coeur brisé et une sirène qui tue sans le vouloir, au choix, mignonne tout plein ou complètement neuneu. Si les chansons de l’album se font discrètes, Malzieu renoue avec cet éternel Paris de quais de Seine illuminés par des lampions, chic et toc, dont on a eu le temps de se lasser depuis qu’on regarde des films de Jean-Pierre Jeunet. Au moins son obsession des objets vintage et son exostalgie frénétique y apporte-t-elle un petite touche personnelle, et c’est déjà ça de pris.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 décembre 2020
    SORTIE DVD/BLUE RAY : « UNE SIRÈNE À PARIS », UN CHANT D’AMOUR POÉTIQUE QUI RÉSONNE AUSSI COMME UNE VIEILLE RENGAINE !

    Le film « Une sirène à Paris », du réalisateur français Mathias Malzieu, dont la sortie en salles avait été le 11 mars 2020, mais qui, à cause de la fermeture des salles de cinéma, dans le cadre du confinement dû à la pandémie de covid-19, n’a pas eu le temps d’être exploité suffisamment au cinéma et est, du coup, ressorti au premier jour de réouverture des salles obscures, sort, ce jour, en DVD et blue ray.

    Ne vous l’ayant pas présenté, ni lors de sa sortie effective, ni le 22 juin dernier, nous profitons de l’occasion qui se présente pour vous en parler aujourd’hui.

    SYNOPSIS

    Crooner au cœur brisé, Gaspard s’était juré de ne plus retomber amoureux. Quant à Lula, jolie sirène, elle n’a que le chant pour se défendre des hommes, en faisant s’emballer leur cœur jusqu’à l’explosion. Lorsque la Seine en crue vient déposer Lula au pied du Flowerburger, la péniche-cabaret où chante Gaspard, c’est un mini-tsunami qui va bouleverser leur existence. Lui, l’homme qui a souffert d’avoir trop aimé, et elle, la créature qui n’a jamais connu l’amour, vont apprendre à se connaître. Et à chanter d’une même voix…

    Avec une sortie le 11 mars 2020, mais de très courte durée pour cause de fermeture des cinéma, dans le cadre du confinement qu’à connu la France, de mi-mars à mi-mai, à cause de la pandémie du covid-19, et resorti le 22 juin 2020, parmi le petit nombre de films disponibles dans les salles obscures pour leur réouverture, le film de Mathias Mahzieu « Une sirène à Paris », sort « enfin », en DVD et blue ray, aujourd’hui, mardi 15 septembre 2020, soit après un report de 13 jours par rapport à la première date indiquée.

    Une fois encore Mathias Malzieu nous emmène dans son univers poético-onirique, comme il avait si bien réussi à le faire avec son précédent film « Jack et la mécanique du cœur », qui était une adaptation de son propre roman éponyme. Mais, si encore cette fois, l’écrivain nous propose la retranscription d’un de ses romans – celui sorti l’année dernière (2019) aux éditions Albin Michel -, dans une version cinéma, l’enchantement est très nettement moins grand pour cette « Sirène à Paris ».

    Pourtant, « Une sirène à Paris » a, (presque) absolument, tous les ingrédients pour nous émerveiller autant que « Jack et la mécanique du cœur »…à l’exception d’un en particulier, qui est, en plus, le plus essentiel, à savoir : l’originalité du sujet !

    Une histoire d’amour non déclarée verbalement et sensée être impossible, entre un homme qui, profondément blessé par la perte de son dernier amour en date, est devenu insensible au chant d’amour d’une sirène qui, de son côté ne veut pas qu’il meure à cause d’elle, comme il est obligé d’advenir pour tous les hommes qui croisent son chemin, mais dont on comprend très très vite qu’elle se bat et s’interdit d’en tomber, elle-même, amoureuse ; Une telle histoire, donc, c’est « bien joli »…mais que c’est banal de par la quantité d’histoires de cette sorte déjà racontée et qui finit par sortir par les yeux, tant on en a plus rien à espérer d’inattendu, où il suffit juste d’un peu de « pratique de la logique scénaristique » pour voir tout venir, même plusieurs minutes à l’avance, et dont l’un des pires ennemis à sa capacité de surprendre est sa bande-annonce qui nous raconte, en deux minutes, déjà tout ce qu’il se passe d’essentiel en 1h42 de film !

    Même en mettant de côté l’idéalisation de l’amour comme bonheur absolu et nécessaire, ainsi que le fait que, en ce qui nous concerne, nous nous échinons à expliquer que l’amour n’est rien d’autre que le pire esclavage – car la plus puissante drogue existante au monde – et que, de ce fait, l’amour est tout ce qu’il y a de plus surfait au monde (ce qui nous met dans la même situation initiale que le héros du film), « Une sirène à Paris » a quelques trop gros défauts.

    Tout d’abord, Mathias Malzieu semble ne nous servir qu’un dérivé de « Jack et la mécanique du cœur » – même bien plus que de sembler en être qu’une suite.

    Comme dans son premier long métrage, le réalisateur nous parle d’un « enfant qui n’a pas le droit d’aimer sous peine de mourir ». Car, Gaspard – le « héros » de « Une sirène à Paris » -, n’est vraiment qu’un gamin dans le corps d’un quarantenaire ! Ne se déplaçant qu’en « rollers » (ce qui n’est plus à la mode depuis déjà bien longtemps), vivant dans un appartement surchargé de jouets (y compris pour les bains des tout petits), de figurines en tout genre, d’un livre d’images de type « pop up »…et jusqu’à une mini télé pour gosse qui connecte à son…magnétoscope, ce «faux adulte » a un caractère, une personnalité totalement immature ! D’ailleurs, sa conception de l’amour – qui n’est, en réalité que de « l’amour du sentiment amoureux », tombant sans cesse « profondément amoureux », même le temps d’une histoire de quelques jours – est bien celle d’un « non-adulte qui s’accroche à ses « petites joies d’enfants », avec ses « joujous » et même la technologie de cette époque, devenue obsolète – et de l’imaginaire qui va avec – qui sera toujours un imaginaire sans génie, comme ne l’est que celui de tout enfant.

    Comme dans « Jack et la mécanique du cœur », Mathias Malzieu nous ressert même le fait que cet enfant tombe amoureux d’une chanteuse ! Ici, c’est une « chanteuse par obligation », puisqu’il s’agit d’une sirène, mais le résultat est le même !

    Autres points communs entre les deux films du réalisateur. Tout d’abord, le film d’animation (« Jack et la mécanique du cœur » était un film d’animation à cent pour cent et, dans « Une sirène à Paris », ce sont les génériques du film – début et fin…plus un des « effets spéciaux » – qui sont du cinéma d’animation). Mais, pour le coup, cela apporte une bonne partie de la poésie que l’on trouve dans « Une sirène à Paris »…car, oui, il y en a tout de même… Autre point commun entre les deux films de Mathias Malzieu…son premier film, ni plus ni moins ! En effet, à un moment de « Une sirène à Paris », il passe, pour occuper sa naïade, le film « Jack et la mécanique du cœur », dont des passages nous sont, tout autant mis devant les yeux, « plein écran » ! Pour qui ne connais pas ce premier film de Mathias Malzieu, bien sûr, ça passe très bien, mais, pour qui connais déjà ledit film (comme c’est notre cas), cela donne un sentiment de « coup de promo gratuite, et ce dans tous les sens du terme !

    Tout ce dont nous avons parlé jusqu’à présent constitue les grands reproches que nous faisons à ce nouveau film de Mathias Malzieu. Mais, comme nous l’avons indiqué, avant de passer en revue tous ces éléments négatifs, « Une sirène à Paris », a, pourtant, presque tout pour être un vrai bon film !

    En tout premier lieu, nous citerons l’extraordinaire photographie (le travail de lumières du film), de Virginie Saint Martin, la directrice de la photographie. C’est par l’excellence de la photographie que ce film arrive à donner, principalement, sa poésie, par les atmosphères qu’il crée, nous conduisant, pour le coup, véritablement, dans un univers féerique, « sortant des espaces de lumière » que le monde réel ne peut offrir – même le fait qu’il y ai une sirène dans un monde tout ce qu’il y a de plus concret ne contribue pas autant à la féerie du film !

    Ajoutons à cela la justesse des interprètes (il faut dire que l’équipe artistique est, pour ses rôles principaux, de haute volée ! Entre Nicolas Duvauchelle – à la filmographie impressionnante et si fournie – qui interprète le rôle de Gaspard (le héros), Romane Bohringer, sorte d’antinomie du héros -, Tchéky Karyo dans l’exercice difficile du personnage secondaire interprété par un acteur au talent tant reconnu devant, néanmoins, « servir » l’interprète principal, et l’unique Rossy de Palma qui est, pour nous, celle qui apporte le véritable plus, à ce film, tant elle irradie de son génie. Et puis, en plus de cela, il y a, bien sûr, l’interprète de Lula, la « fameuse » sirène, qui est Marylin Lima, actrice que l’on peut dire prometteuse, tant elle arrive si bien à permettre de comprendre les pensées et, surtout, les sentiments de son personnage, alors qu’elle passe tant de temps dans l’eau – et, particulièrement dans des baignoires, devant, de ce fait, jouer principalement avec le haut de son corps – d’autant qu’elle n’a vraiment que le minimum du minimum de texte durant toute la première moitié du film.

    Nous pourrions aussi ajoutez le talent du réalisateur – car, si l’auteur nous a déçu par le contenu de l’histoire, Mathias Malzieu sait donner de la magie à son film, par un « je ne sais quoi », qui complète la poésie du film, peut être du à cette « intuition », plus que « impression » d’un peu de Boris Vian dans sa façon d’apporter de l’irréel, du rêve, dans un monde tout ce qu’il y a de plus commun et courant, lui.

    Enfin, « Une sirène à Paris », toutes ces choses dont nous avons traité ici, ça donne le meilleur de Jean-Pierre Jeunet et de Michel Gondry..Ce qui n’est pas la moindre des choses !

    Qui plus est, voir, de temps en temps, un film français qui ne soit, ni du « réalisme social militant », ni « le récit commun de monsieur-tout-le-monde » – ce qui est devenu un pari courageux, depuis vingt ans, dans le cinéma hexagonal -, ça mérite tout de même bien d’être vu et apprécié pour ce qu’il arrive à apporter de bon et rafraîchissant !

    Christian Estevez

    N.B.: critique publiée sur le site de "FemmeS du Monde magazine" le 15 septembre 2020.
    Audrey L
    Audrey L

    636 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    Pour plonger dans la mer poétique si particulière d'Une sirène à Paris, mieux vaut avoir auparavant trempé son orteil dans le petit bain du roman sorti en 2019, dont l'auteur n'est autre que le réalisateur de cette adaptation, le (vrai) "surprisier" Mathias Malzieu. Un "surprisier", pour cet inventeur aussi inspiré qu'amusant, est une personne qui a dans l'âme l'envie d'émerveiller à l'improviste, et comment ne pas y voir une auto-description de l'auteur-réalisateur, mais encore faut-il ne pas boire la tasse dans son univers très riche et copieux en fantaisies. Ainsi sa poésie nous impose de passer l'éponge sur la romance très improbable et fleur bleue, sur le côté rocambolesque qui fonctionne si bien en version papier mais passe moins bien en film "réel" (on se prend souvent à penser qu'une animation aurait gagné à la magie du scénario, plutôt que les acteurs - pas toujours excellents - de ce casting), sur des scènes saugrenues qui fleurent souvent l'adaptation scrupuleuse... Le duo principal se fait (très) vite éclipser par le personnage, pourtant de passage(s) de Rossy de Palma, cette actrice haut en couleur qui convient si bien au personnage de la voisine invasive mais adorable. On apprécie aussi les petites animations chantées au début du film et en noir et blanc dans la salle de bains, qui rappellent de loin Jack et la Mécanique du cœur (toujours du même auteur), ainsi que le parti-pris de changer la fin de l'histoire (qui était, subjectivement, très décevante dans le livre) : spoiler: pas de fin atroce pour l'infirmière qui devait finir - elle et son bébé - transformés en sirènes et on lui offre ici même une occasion d'être une belle personne en sauvant Gaspard, voilà qui nous ravit bien davantage !
    La patte de Malzieu est parfois un peu étouffante pour cette adaptation qui a du mal à s'émanciper du livre (sauf la fin, nettement meilleure) et nous impose d'emblée un univers très particulier, ce qui peut déstabiliser. Mais comment en vouloir à ce "surprisier" en chef, dont on attend déjà la prochaine invention poétique...
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    182 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 novembre 2020
    Le premier film du réalisateur, Mathias Malzieu, « Jack et La Mécanique du Cœur », en 2014, m’avait laissé le souvenir d’une œuvre imparfaite mais prometteuse. 6 ans après, pour son deuxième film, l’effet de surprise ne fonctionne plus et on suit cette histoire sans passion et sans pouvoir s’empêcher de repenser à « Splash » (1984). Néanmoins, tout n’est pas à jeter dans le film : il y a d’abord le superbe générique de début, en dessin animé, puis quelques scènes de cabaret réussies et quelques scènes de séduction sympathiques mais le film s’étire vraiment trop en longueur. Cela manque d’un vrai scénario et d’une réalisation plus aboutie.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    287 abonnés 3 114 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 novembre 2020
    Alors là je ne m'attendais pas du tout à ça ! Je pensais me mettre devant un film fantastique, un peu poétique peut être même un peu bobo sur les bords mais alors là je n'avais jamais songé que ça serait loufoque & comique !! Avec Duvauchelle au casting en plus, ça n'était vraiment pas flagrant ! J'ai beau trouvé qu'il est un très bon acteur, il faut reconnaitre qu'il n'a pas la fibre comique et que dire de la jeune fille qui joue la sirène... pas grand chose à vrai dire tant elle est molle & inexpressive ! En plus l'histoire est mauvaise, tirée par les cheveux, on n'y croit pas, on ne s'attache pas aux personnages & je me suis ennuyé à mourir pendant une heure et demie ! Un vrai navet en somme ! Loin de ce que je m'étais figuré... Torrieux !
    Pseudofile
    Pseudofile

    8 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 novembre 2020
    Un film poétique ai-je lu ci et là. Les rédacteurs ont du s’en tenir au tout début alors, et il faut admettre qu’il y a une fort belle lumière. Pour le reste, on nage entre le ridicule et le pathétique niveau histoire, dialogues et interprétation. Pour commencer, c’est peut-être voulu mais personne à Paris ne s’étonne de la présence d’une sirène, alors pourquoi cacher sa queue ? Et sa blessure fait tellement foutaise, d’ailleurs pourquoi est-elle blessée ?
    Une sirène au charisme d’une huitre pour rester dans le bain. Franchement où l’ont-ils péchée, tant elle décrédibilise le rôle. Mettre une queue à ma comptable et le résultat sera similaire.
    Le ridicule continue avec le type qui par défaut se met à parler anglais (formatage quand tu nous tiens) à une sirène même quand elle lui répond dans un français parfais (enfin, marmonné, presqu’inaudible et avec les mots mangés mais très courant de nos jours au cinéma aussi hélas. Acteur c’est tout de même un métier quoi !
    Et puis passe le gars, indien, qui se fait échanger son rickshaw contre une paire de patins à roulettes… C’est pas vraiment le même outil de travail, mais le coté rêverie nous l’excusera par sa facilité.
    La comparaison avec « Splash » est presque inévitable et ce dernier est meilleur dans tous les domaines. D’ailleurs la trame des deux films pourraient se superposer, sauf que l’une tue et l’autre pas, les motivations des sirènes à regagner leur monde à date précise tout aussi fumeuses et les fins improvisées. spoiler: Dans le cas qui nous occupe, que fera notre héros au milieu de la mer sur sa péniche avec son chat une fois tout son carburant épuisé, sa sirène ne l’ayant point attendu ?

    On peut imaginer le film comme se voulant poétique (bis-répétita), mais le personnage principal avec ses immondes tatouages, la voisine intoxiquée qui ne trouve rien de mieux que de faire fumer la sirène spoiler: ce qui vaudra un incendie de l’appartement du héros, ce qui n’a pas l’air de le préoccuper outre-mesure, pas plus que le sort de son chat dont on verra après qu’il a réchappé à l’incendie, brave minou
    . Aucun personnage n’inspire la moindre rêverie,
    Et puis comment se fait-il qu’il n’y ait aucune enquête ou intervention policière alors que les morts masculines se succèdent. Il n’y a que cette doctoresse un peu débile - mais qui roule en Ford Capri, ce qui parait saugrenu rapporté au personnage, mais bon - pour tenter de mettre un terme aux conséquences de la présence de la sirène. Mais sans aucune autre forme de questionnement.
    La secrétaire médicale aussi bornée qu’une démarche en ligne, avec sa rhétorique de la carte vitale, sans cela on ne soigne pas. Peut-être une vision de a France qui se défend mais qui ne lui fait pas honneur.
    En fait, Tout cela est très faible. C’est mal interprété, mal ficelé, sans argumentation scénaristique. C’est mauvais quoi. Le seul bon point concerne la lumière en extérieur, donc merci au directeur de la photo et aux éclairagistes qui ont fait un bon boulot qui
    M’a parfois rappelé « la cité des enfants perdus » ce qui est un compliment de référence. (Rappel).
    spoiler:
    Anonyme M
    Anonyme M

    62 abonnés 1 657 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 novembre 2020
    une sirène s'échoue et la seule réaction c'est de la séquestrer chez lui. elle insiste et insiste mais rien y fait elle est bloqué chez lui. le personnage le plus bizarre, la voisine qui n'arrête pas de s'incruster et ce mêler de sa vie privé et il n'as pas une once de logique pour aller porter plainte. ses cigarettes foutent le feu dans l'appartement mais il ne réagit toujours pas PUTAIN PORTE PLAINTE. ils dansent ensembles, elle est sauvée et remis a l'eau.
    Encelade
    Encelade

    9 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2022
    C'est jolie, et ça fait propre, mais trop.
    C'est assez bien joué, mais le jeu est plat, sans émotions, et sans conviction. Le film se perd à vouloir trop travailler l'emballage, mais en oubliant totalement son contenu. On suit l'histoire sans rien ressentir d'intime, on peine à y croire car tout est trop lustré, trop gentil, et sans reliefs émotionnels.
    Enfin, la voisine fouineuse n'aide pas, ni le personnage de Romane Bohringer dont l'histoire n'apporte strictement rien au récit.
    Lisa H
    Lisa H

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    Un moment magique plein de mystère ! Un récit qui nous emporte, plusieurs interprétations possibles. Une réussite, quel beau film ! Un film français en plus. À faire découvrir vraiment très joli une belle histoire
    Diego C
    Diego C

    6 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 octobre 2020
    Mauvais comme pas possible. Un « Amélie Poulin » raté du début à la fin. Dommage car l’idée est bonne mais le réalisateur n’a pas assez osé assez le côté féerique du film. Pourquoi ce partage entre réalité et compte des fées ? Les comédiens sont attachants et les costumes réussis. Pour le reste tout est à refaire.
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