Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
Mathias Malzieu signe ici un film qui ravira les enfants dans sa forme fantastique et fera pleurer à chaudes larmes la midinette qui sommeille en nous.
CNews
par La rédaction
Après le film d’animation "Jack et la mécanique du cœur", Mathias Malzieu, chanteur de Dyonisos – qui signe aussi la bande originale – dévoile un conte onirique et poétique, aux portes du fantastique.
LCI
par Delphine De Freitas
Une ouvre singulière dans le paysage cinématographie actuel.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Catherine Balle
Le deuxième long-métrage de Mathias Malzieu, chanteur de Dionysos, est plein de fantaisie et de charme
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Sophie Pujas
Ancré dans un Paris teinté de charme magique, le film distille un charme fou.
Ouest France
par Michel Troadec
Un conte attachant, avec quelques longueurs et maladresses, mais aussi plein de bonnes idées.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
[...] un conte poétique à l'imaginaire (faussement) enfantin foisonnant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mathias Malzieu rehausse les couleurs vives de son histoire d’amour impossible, dans un Paris de fantaisie et d’irréalité, semblable à celui de L’Ecume des jours de Michel Gondry. C’est léger et ça remet le cœur à flot.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après le magnifique Mécanique du cœur, Mathias Malzieu revient avec un film un peu moins réussi mais continue à nous charmer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mathias Malzieu rehausse les couleurs vives de son histoire d’amour impossible, dans un Paris de fantaisie et d’irréalité, semblable à celui de L’Ecume des jours de Michel Gondry. C’est léger et ça remet le cœur à flot.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette fable à la "Splash" (1984) a de jolies idées de mise en scène, surfe sur la nostalgie avec une bienveillance voire une naïveté délibérées.
Voici
par V.C.
Une fantaisie que l'on trouvera, selon son goût pour la poésie visuelle, bricolée, charmante ou un peu embarrassante.
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Mathias Malzieu n'a pas su retranscrire en images ni ses envolées métaphoriques ni ses jeux de mots qui donnent ce côté si unique à ses récits.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Las ! Le petit charme de bric et de broc s’étiole vite, faute d’un scénario et d’une vision de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Après le livre et le disque, le long-métrage. Le chanteur et leader de Dionysos offre le grand écran à sa petite sirène. Mais le charme n’opère pas.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Philippe Ridet
Dilemme entre l’amour et la raison… Entretemps, la créature aura semé un peu d’inattendu dans un Paris que le réalisateur voudrait poétique et farfelu.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Une histoire d’amour désincarnée, un scénario bancal et un film qui n’arrive pas à la hauteur de ses références. Pari manqué pour "Une sirène à Paris" qui, au lieu de faire rêver, ennuie profondément.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ce conte niché dans un Paris de carte postale peine à être autre chose que le prolongement platement illustratif d’une œuvre musicale. En donnant corps et chair aux personnages issus de l’imaginaire fantasque du musicien, "Une sirène à Paris" dévoile les limites d’une logique de déclinaison dont la matière finit par s’étioler plutôt que de s’enrichir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Laurent Duroche
Mais cet embryon de vie étouffe sous le poids de clichés horripilants [...] et surtout d'une mise en scène aux fraises dès qu'il s'agit de maîtriser les règles les plus élémentaires de gestion de l'espace et d'agencement temporel de l'action.
Positif
par Fabien Baumann
C’est plutôt rigolo, décalé à souhait, plein de fantaisie. Hélas ! ce sympathique court métrage de 16 minutes souffre de quelques longueurs, puisqu’il s’agit d’un long de 102 minutes.
Première
par Thierry Cheze
L’univers poéticofantastique de Malzieu apparaît comme contraint et empêché par les codes de la prise de vues réelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un trop-plein d'idées tous azimuts empêche le film de vraiment décoller, mais il réserve des moments, notamment musicaux, pleins de charme et de piquant.
Le Figaro
par La Rédaction
Une compilation de clips sans queue ni tête, remplie d’objets vintage chinés dans les brocantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Avec sa poésie régressive et son esthétique en toc, Mathias Malzieu noie son sujet sous les sentiments sirupeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Cécile Mury
Très influencé par une esthétique mordorée et rétro à la Caro et Jeunet, le film reste hélas confiné dans sa fantaisie artificielle, comme un joli décor dans une boule à neige.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Mathias Malzieu signe ici un film qui ravira les enfants dans sa forme fantastique et fera pleurer à chaudes larmes la midinette qui sommeille en nous.
CNews
Après le film d’animation "Jack et la mécanique du cœur", Mathias Malzieu, chanteur de Dyonisos – qui signe aussi la bande originale – dévoile un conte onirique et poétique, aux portes du fantastique.
LCI
Une ouvre singulière dans le paysage cinématographie actuel.
Le Parisien
Le deuxième long-métrage de Mathias Malzieu, chanteur de Dionysos, est plein de fantaisie et de charme
Le Point
Ancré dans un Paris teinté de charme magique, le film distille un charme fou.
Ouest France
Un conte attachant, avec quelques longueurs et maladresses, mais aussi plein de bonnes idées.
Télé Loisirs
[...] un conte poétique à l'imaginaire (faussement) enfantin foisonnant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mathias Malzieu rehausse les couleurs vives de son histoire d’amour impossible, dans un Paris de fantaisie et d’irréalité, semblable à celui de L’Ecume des jours de Michel Gondry. C’est léger et ça remet le cœur à flot.
La Croix
Après le magnifique Mécanique du cœur, Mathias Malzieu revient avec un film un peu moins réussi mais continue à nous charmer.
Le Dauphiné Libéré
Mathias Malzieu rehausse les couleurs vives de son histoire d’amour impossible, dans un Paris de fantaisie et d’irréalité, semblable à celui de L’Ecume des jours de Michel Gondry. C’est léger et ça remet le cœur à flot.
Le Journal du Dimanche
Cette fable à la "Splash" (1984) a de jolies idées de mise en scène, surfe sur la nostalgie avec une bienveillance voire une naïveté délibérées.
Voici
Une fantaisie que l'on trouvera, selon son goût pour la poésie visuelle, bricolée, charmante ou un peu embarrassante.
L'Ecran Fantastique
Mathias Malzieu n'a pas su retranscrire en images ni ses envolées métaphoriques ni ses jeux de mots qui donnent ce côté si unique à ses récits.
L'Obs
Las ! Le petit charme de bric et de broc s’étiole vite, faute d’un scénario et d’une vision de cinéma.
La Voix du Nord
Après le livre et le disque, le long-métrage. Le chanteur et leader de Dionysos offre le grand écran à sa petite sirène. Mais le charme n’opère pas.
Le Monde
Dilemme entre l’amour et la raison… Entretemps, la créature aura semé un peu d’inattendu dans un Paris que le réalisateur voudrait poétique et farfelu.
Les Fiches du Cinéma
Une histoire d’amour désincarnée, un scénario bancal et un film qui n’arrive pas à la hauteur de ses références. Pari manqué pour "Une sirène à Paris" qui, au lieu de faire rêver, ennuie profondément.
Les Inrockuptibles
Ce conte niché dans un Paris de carte postale peine à être autre chose que le prolongement platement illustratif d’une œuvre musicale. En donnant corps et chair aux personnages issus de l’imaginaire fantasque du musicien, "Une sirène à Paris" dévoile les limites d’une logique de déclinaison dont la matière finit par s’étioler plutôt que de s’enrichir.
Mad Movies
Mais cet embryon de vie étouffe sous le poids de clichés horripilants [...] et surtout d'une mise en scène aux fraises dès qu'il s'agit de maîtriser les règles les plus élémentaires de gestion de l'espace et d'agencement temporel de l'action.
Positif
C’est plutôt rigolo, décalé à souhait, plein de fantaisie. Hélas ! ce sympathique court métrage de 16 minutes souffre de quelques longueurs, puisqu’il s’agit d’un long de 102 minutes.
Première
L’univers poéticofantastique de Malzieu apparaît comme contraint et empêché par les codes de la prise de vues réelles.
Télé 7 Jours
Un trop-plein d'idées tous azimuts empêche le film de vraiment décoller, mais il réserve des moments, notamment musicaux, pleins de charme et de piquant.
Le Figaro
Une compilation de clips sans queue ni tête, remplie d’objets vintage chinés dans les brocantes.
Libération
Avec sa poésie régressive et son esthétique en toc, Mathias Malzieu noie son sujet sous les sentiments sirupeux.
Télérama
Très influencé par une esthétique mordorée et rétro à la Caro et Jeunet, le film reste hélas confiné dans sa fantaisie artificielle, comme un joli décor dans une boule à neige.