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ne0n
20 abonnés
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2,5
Publiée le 12 novembre 2024
Vu en avant première , deux jour avant sa sortie, ce film accuse la comparaison au premier, et tombe dans les travers de la suite assez fade, facile et qui n'apporte pas grand chose. On saluera la patte du maître pour certains plan et sa façon de dépeindre la Rome d'antan. Mais c'est a peu près tout. Si on peut comparer Gladiator à 300, cette suite est au même niveau que 300: la naissance d'un Empire.
Très bonne suite même si un poil en dessous du premier on prend tout de même du plaisir, suite bien amenée qui s'enchaîne parfaitement avec le premier.
Ridley est courageux de faire une suite à un film culte mais en même temps assez fou. Honnêtement c'est un bon film, bien réalisé et agréable à suivre. Mais le problème c'est qu'il n'arrive pas à la cheville de son illustre prédécesseur. Paul Mescal a le charisme d'un hamster et n'arrive jamais à rendre le film épique, les empereurs sont clownesque, le scénario est très mal écrit, les dialogues sont nuls et grotesques, la musique est quelconque et le film multiplie les allusions au 1er car il ne propose rien de nouveau. Une grosse déception malgré le fait que ça soit un bon péplum de Ridley Scott. La prestation de Denzel Washington est aussi intéressante à suivre.
Les mêmes ingrédients que le premier. Des batailles et des combats filmés de manière réalistes, des décors soignés. Ici le personnage principal est peu charismatique mais peut-être est-ce volontaire de la part du réalisateur. Certains passages font un peu resucée. Gladiator 2 n'aura pas le même impact que le premier opus, qui avait Russel Crowe et la musique d'Hans Zimmer pour lui donner de la consistance. Le spectre de Maximus plane tout au long du film. Ca reste en soi un bon film
Une suite vingt-quatre ans après, Ridley Scott a pris son temps ! Mais il correspond au temps même du film, au temps passé depuis la mort de Maximus. Une vraie suite avec quelques acteurs du film sorti en 2000, avec des fils narratifs, des rappels, c’est bien fait. Une suite avec encore plus de scènes grandioses, ici quasiment tout se passe dans l’arène du Colisée, même une bataille navale ! Plus corrompue et violente que jamais, Rome va-t-elle tomber ? Qui tire les ficelles ? Une histoire élaborée nous tient en haleine durant deux heures trente. Bien sûr, il n’y a plus l’effet de surprise du premier volet, qui ressuscitait le genre du péplum, tombé dans l’oubli (aux USA) après l’échec de La Chute de l’empire romain (1964), mais des films à grand spectacle de ce niveau, on en redemande. > Plus d’infos culture sur mon Instagram "Les sorties de Philippe"
Dans l univers des gladiateurs on assiste à la suite du premier volet qui tourne autour du pouvoir, des conquêtes et des combats. J ai bien aimé le film de tres belles images, des effets epoustoufflants par contre ça manqué de combats malgré quelques incohérents je valide
Forcément, il ne peut qu'y avoir de l'attente autour d'un tel film étant donné le chef-d'œuvre qu'est Gladiator. Alors réglons le problème tout de suite : Gladiator II est moins bien que Gladiator. C'est plus un fait qu'une opinion, mais c'est presque normal et heureux. Il n'en reste pas moins que passé cette comparaison inévitable, Gladiator II est un très bon film, même meilleur que je n'osais l'espérer. Et c'est en soit rassurant, surtout après le Napoléon passablement raté du réalisateur. D'abord, rendons à Ridley Scott ce qui appartient à Ridley Scott : les scènes de bataille et de combat sont époustouflantes, comme toujours, modulo la scène avec les singes par trop bourrée d'effets spéciaux. Ensuite, la qualité intrinsèque du film ne se discute pas vraiment : musique, décors, costumes...tout est une nouvelle fois magnifique. Enfin, le casting est une réussite : Denzel Washington, bien sûr, toujours magistral, Connie Nielsen, Pedro Pascal... Quant à Paul Mescal, il s'en sort très bien, d'autant que le rôle aurait pu être écrasant. Intense, brutal, taiseux et miséricordieux, il est solide et convaincant, si on fait abstraction de son accent irlandais, sexy mais anachronique en diable. Ce qui ne permet pas à cet opus de se hisser au niveau de perfection du premier, c'est son scénario à tiroirs assez simpliste et prévisible et les deux affreux empereurs dumb and dumber, qui contribuent fortement à le décrédibiliser.
Cmplètement oubliable, sans intérêt, aucun souffle épique, le film est plat et il n'y a pas grand chose d'autre à en dire hélas... Restez sur votre bon souvenir du premier, qui restera inégalé.
Deux lévriers blancs définissent la majesté de Lucilla, un petit singe mangeur de friandises la bêtise de Caracalla, un babouin numérique fort laid la sauvagerie de Lucius, une tête de rhinocéros la décadence des nobles romains. Comme Napoléon faisait le chien sous la table de la salle à manger ou le bouc tapant du sabot avant l’union, les personnages de Gladiator II sont caractérisés par leur animalité qui trouve dans le récit virgilien de la fondation de Rome un symbolisme pertinent – la louve ayant offert ses mamelles à Romulus et Rémus pour les nourrir de son lait. Dès lors, apprécier cette suite fort dispensable, tant par la réflexion sommaire qu’elle mène sur la politique que par la laideur de ses effets visuels, suppose de s’attarder aux détails, de s’écarter du centre de l’image triomphant et lui préférer le côté : spoiler: un patricien animateur des jeux du cirque jette par emportement le contenu de sa coupe au visage de ses voisins, l’inscription ornant le tombeau de Maximus est rédigée en anglais, des requins affamés complètent la naumachie … Ridley Scott multiplie les pieds-de-nez à l’Histoire, revendique l’anachronisme et se complaît dans la déchéance des empereurs et l’éloge de l’esclave capable de fédérer, par sa seule présence et par son seul nom, les deux armées sinon opposées et prêtes à s’affronter. L’héroïsme de Lucius constitue une évidence : jamais il n’est construit – comme ce fut le cas pour Maximus –, il s’accomplit toujours, si bien que les jeux du cirque n’intéressent plus le cinéaste, qui les expédie vite d’ailleurs. L’essentiel du film réside à l’intérieur du palais impérial, là où vagabondent des idiots endimanchés dans des robes qui les desservent (cf. clausule) mais desquelles ils tirent leur autorité. Dès lors, le segment médian constitue la partie la plus réussie d’une production sinon médiocre, blockbuster sans âme ni émotion, nouvelle pierre apportée à l’édifice d’un artiste immense qui n’en avait pas besoin. Vu en avant-première au cinéma Turenne de Sedan !
Vu en avant-première hier soir, le nouveau blockbuster du grand Ridley Scott est comme on pouvait se l'attendre, un peu décevant. Suite du magnifique "Gladiator" avec Russell Crowe, le long-métrage a du mal à convaincre. Mise à part une réalisation toujours aussi efficace de la part de son metteur en scène et d'un casting plutôt bon, on ne rivalise en aucun cas avec le premier film qui excellait à tous les niveaux. Certes, les scènes de bataille sont généralement assez impressionnantes et les visuels envoient du lourd mais le scénario est finalement assez similaire à celui du premier et ne propose jamais quelque chose de vraiment pertinent lorsqu'il s'en éloigne. L'abus du numérique est également assez frustrant notamment lors des scènes avec des animaux et il y a un certain nombre d'invraisemblances un peu partout dans le film qui rendent le tout parfois peu crédible. Le manque d'émotion se fait aussi cruellement ressentir notamment en ce qui concerne le destin de certains personnages. Pour finir, la B.O est des plus oubliables alors que celle du premier est sûrement devenue l'une des plus cultes de l'histoire du septième art. Dommage car même si "Gladiator" premier du nom se suffisait à lui-même, cette suite aurait pu être davantage qu'un simple bon divertissement…
Vu en AP ce jour au Cinéville de saint-Sébastien-sur-Loire. Cette suite tient la route mais n'est pas à la hauteur du premier opus. C'est un peu comme Monte Cristo, qui pour être apprécié doit être vu sans avoir lu le roman : ici, il faudrait ne pas avoir vu le premier... En soi, la réalisation de Ridley Scott est irréprochable et Mescal assure, mais il n'est pas Russell Crowe.C'est pourquoi je ne mets pas plus de 3 étoiles.
24 ans plus tard, Ridley Scott nous propose une suite à son chef-d’œuvre Gladiator, que personne n’avait vue venir, ni même attendue.
Est-ce que ça vaut le coup de repartir dans l’arène ?
J’ai retrouvé dans cette suite tout l’amour pour la mise en scène et le spectacle que l’on pouvait ressentir dans le premier opus. C’est magnifique à regarder, et globalement, c’est du grand cinéma qui en met plein la vue.
Les combats sont sanglants, violents et intenses.
Côté casting, Paul Mescal et Pedro Pascal sont crédibles, même s’ils se font clairement voler la vedette par la “goat” du film : Denzel Washington. Son personnage est, selon moi, le plus travaillé du film, et son charisme ainsi que sa personnalité imprévisible imposent l’admiration.
Hormis cela, le film est pour moi un remake peu inspiré du premier. L’histoire est un quasi-plagiat de l’original, avec du fan service à gogo et des scènes copiées-collées au cadrage près.
Les thèmes musicaux, qui ne sont même pas de Hans Zimmer, sont identiques à quelques arrangements près. On sent que le compositeur ne s’est pas trop foulé.
L’aspect émotionnel, qui faisait la force du film originel, est ici totalement absent. Le destin de certains personnages clés nous est bien égal, et ce film ne vous tirera aucune larme, si ce n’est celle de la nostalgie du premier au doux son plagié de Now We Are Free.
Les combats en mode La Planète des singes, le Colisée rempli de requins… pourquoi pas. J’espère que dans le 3, il y aura au moins des dinosaures ! Ces scènes-là ne m’ont pas dérangé, mais c’était, selon moi, faire du sensationnel plus que proposer quelque chose d’intéressant.
Ce qui m’amène à dire que ce film est juste un plaisir destiné aux fans du premier. Et même si j’ai beaucoup aimé Gladiator, je n’avais pas besoin de voir une suite aussi peu originale que celle-ci, même si ce n’est pas mauvais pour autant.
Pour commencer, Gladiateur 2 a comme un air de déjà vu quant à la première scène spectaculaire du film : le réalisateur nous plonge, à la fois, dans une symétrie et un parallélisme cinématographique assumé par rapport à Gladiateur 1. C’est superbe et le ton est donné.
Par la suite, quelques points sont très surprenants.
Ainsi, le film prend davantage une couleur de péplum, couleur absente dans le premier film. L’acteur principal y apparaît souvent torse nu.
Ainsi, quelques scènes d’actions 3D dans les arènes (singes et requins) sont justes « lunaires ».
Alors oui, historiquement et techniquement, le Colisée a organisé des jeux aquatiques et des reconstitutions de batailles navales. Alors, non il n’y avait pas de grand requins blancs dedans -;) Il semble que Ridley se permettent encore quelques délires historiques lors de ses films. On avait déjà vu le cas dernièrement avec Napoléon.
La scène avec les singes vous situe directement dans un Star War ou The planet of Apes. Je n’ai pas compris le choix d’humaniser les singes en 3D. Bon…
Même si j’ai préféré Gladiateur 1, Gladiateur 2 reste un excellent film avec des scènes d’actions incroyables dont seul Ridley maîtrise parfaitement.
Une suite à un film aussi marquant que celui-ci me faisais craindre le pire. Mais force est de constater qu’on est loin des suites bancales réalisées uniquement pour le principe d’avoir une suite. Très bien écrit et orchestré le réalisateur fait un travail qui fait plaisir à regarder.