Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une suite spectaculaire.
20 Minutes
par Caroline Vié
Pedro Pascal, Paul Mescal, Denzel Washington et Connie Nielsen sont exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Shady Ménard
Difficile de bouder son plaisir devant cette pépite de Ridley Scott, qui a su reprendre le meilleur de la recette du premier film pour arriver à ses fins, en y ajoutant encore un peu plus de contraste et de spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.B.
Pervers et jubilatoire.
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
Ce nouvel opus dépasse la simple suite pour devenir une fresque intemporelle - qui se moque bien d'être anachronique. […] À 86 ans, Ridley Scott semble encore trouver un plaisir enfantin à jouer avec les stéréotypes d’un cinéma plus vivace et plus espiègle que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Diverto
par La Rédaction
Ce second opus reprend la narration de l’original. Le cinéaste britannique n’a pas perdu la main et son péplum déborde de testostérone, de combats empiriques, de décors incroyables et d’une violence toujours aussi peu contenue.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Elle
par Françoise Delbecq
Porté par les beaux gosses du moment, ce "Rome Land" a tout d'un épisode version péplum de la série Succession. Et c'est très drôle.
Filmsactu
par Maxime Chao
Brutal, viril, excentrique, merci Ridley Scott.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Magnifique et rebondissant, ce "Gladiator II" est dans la continuité respectueuse de son modèle : fascinant et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Nanix
Du grand et du bon spectacle, voilà la promesse faite et tenue par Gladiator, une suite beaucoup plus politique et centrée sur l’arène que sur l’émotion mise en avant par son prédécesseur. Un grand cru, loin d’être parfait mais qui remplit largement son office et qui n’aura de cesse de nourrir le débat ces prochains jours.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
LCI
par Jérôme Vermelin
Au centre de ce "Game of Rome" où tous les coups sont permis, le génial Macrinus, interprété avec tout le brio qu’on lui connaît par Denzel Washington. Machiavélique à souhait, il est l’antagoniste parfait d'un Lucius à fleur de peau incarné par Paul Mescal, l'icône du cinéma indépendant qui parvient à distiller une touche de mélancolie au royaume des blockbusters sous stéroïdes. Rien que pour les étincelles entre ceux deux-là, Gladiator II vaut le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Du grand spectacle au souffle épique intact, dominé par Denzel Washington au firmament de son art.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
On craignait le pire, il n'est jamais arrivé et si on n'a pas eu la suite parfaite, beaucoup de suites ratées rêveraient d'être Gladiator 2.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
À la manœuvre, Ridley Scott signe une mise en scène époustouflante, multipliant les scènes ahurissantes de bataille et de combat, reconstituant de façon bluffante la Rome antique, s’essayant à des idées novatrices — pas toujours servies par les effets spéciaux, notamment lors de deux scènes animalières ratées avec de singes et des requins, notre seule réserve sur le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur de « Blade Runner » revient au péplum dans une superproduction qui mêle action et combats spectaculaires à une réflexion mélancolique sur la chute des empires.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Acteur plutôt habitué aux films d’auteur (« Aftersun », « Sans jamais nous connaître »), Paul Mescal dégage un fort charisme dans la peau de Lucius. Même constat pour Pedro Pascal, qui incarne un de ses rivaux. Tous deux se font cependant voler la vedette par Denzel Washington.
Première
par Sylvestre Picard
Là où Alien : Romulus (produit par Ridley) déployait des efforts titanesques pour aboutir à un petit clone d’Aliens, le retour, Gladiator II imite également, mais pas pour aboutir à un bête clone du premier film : le film est une série B décadente parce qu’il veut bien l’être - mais une série B ultime, comme les péplums de la grande époque, sans volonté méta ou méprisante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Du sang, des muscles, de la vengeance... Tous les ingrédients d'une bonne intrigue se retrouvent dans ce volet détonnant.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Autant de qualités pour ce « Gladiator 2 » qui, sans égaler son aîné, s’inscrit à la fois dans sa lignée tout en faisant un pas intéressant de côté. Un pari que le cinéaste n’était pas parvenu à faire lorsqu’il s’était attelé aux préquels de son Alien.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Touffu, excessif, et formidablement mené, ce deuxième opus de Gladiator voit le retour triomphal de Ridley Scott sur les écrans après son plus que médiocre Napoléon.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
On retiendra de "Gladiator 2" la performance de Denzel Washington, et l’approche toujours plus nihiliste du cinéma de Ridley Scott. Mais ça reste peu pour ce blockbuster froid et cynique, visiblement fier de faire beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Konbini
par Arthur Cios
Plus bourrin et moins spirituel, mais assumé en tant que tel, la suite de Gladiator est le haut de volée des blockbusters actuels. On pensait adorer Paul Mescal, on ressort en ne pensant qu'à Denzel Washington, impérial dans le genre.
La Croix
par Charlotte de Frémont
Ridley Scott signe une suite du célèbre péplum en demi-teinte, avec malgré tout certains éléments intéressants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Au final, on laissera la parole au peuple, les spectateurs qui voulaient à nouveau voir des jeux et du sang. Ceux-là ne seront pas déçus. À 86 ans, Ridley Scott sait encore manier le glaive.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un suite certes superflue mais éminemment divertissante, qui manque d’un petit supplément d’âme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Divertissant, ce second volet n'a pas le souffle épique de son aîné malgré quelques moments de bravoure intenses.
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Le personnage de Paul Mescal n’en reste qu’une figure monolithique, à laquelle on inflige une récurrence de « discours inspirants » qui frôle l’overdose voire parfois l’incongruité. C’est finalement Denzel Whashington qui lui vole clairement la vedette.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Impossible alors, pour Gladiator II, de se hisser vers les sommets d’émotion de son aîné, tant il ne parvient jamais à proposer quoi que ce soit d’un tant soit peu nouveau ou d’intéressant au-delà d’une certaine surenchère dans le spectacle – là aussi, un propos en soi sur Rome, pourtant jamais « écrit » dans la dramaturgie.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Vingt-quatre ans après « Gladiator », Ridley Scott rempile avec une suite joliment mélancolique, mais politiquement indigente.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Guillaume Loison
Ce blockbuster carré peine pourtant à installer sa propre mythologie : soit il agite (lourdement) celle du premier film, soit il exécute son programme d’action avec savoir-faire mais peu d’enthousiasme. Restent quelques éclairs, parmi lesquels un étincelant Denzel Washington, à qui la toge de conseiller méphistophélique va comme un gant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec plus de violence, mais une intrigue identique, cette vision masculiniste du monde déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Située seize ans après le premier volet sorti en 2000, l’intrigue du deuxième opus orchestré par Ridley Scott est écrasée par son esprit de sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Vingt-quatre ans plus tard, le programme reste le même, boosté à quelque 310 millions de dollars de budget, et sait fort bien nous prendre pour des débiles légers en remplissant son office.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
En optant pour un copier/coller du premier, Scott ne prend pas de risques.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cet opus 2 capitalise laborieusement sur l'aura de l'original, sans jamais s'en approcher. Le souffle épique et le charisme d'hier ont déserté.
Télérama
par Louis Guichard
Dans cette arène de surenchères, seul l’acteur Paul Mescal sauve l’honneur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
De 2000 à 2024, rien n’a remué en Rome antique : la poussière poussie, le clinquant claque, le peuple populise.
Critikat.com
par Bastien Gens
La promesse spectaculaire restera lettre morte, les élans épiques et les trouées gores étant escamotés par la vélocité excessive du montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par La Rédaction
Même Denzel Washington paraît reproduire des mimiques et un registre proches de ceux de son personnage de flic mafieux dans Training Day. Forcément spectaculaire, souvent divertissant, mais jamais convaincant, Gladiator II ressemble avant tout à un coup d'épée dans l'eau.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le cinéaste signe une suite en forme de démonstration de force et de réinvocation balourde d’une fiction macho dont il avait pourtant entrepris de se distancier dans ses films récents.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Une suite spectaculaire.
20 Minutes
Pedro Pascal, Paul Mescal, Denzel Washington et Connie Nielsen sont exceptionnels.
CNews
Difficile de bouder son plaisir devant cette pépite de Ridley Scott, qui a su reprendre le meilleur de la recette du premier film pour arriver à ses fins, en y ajoutant encore un peu plus de contraste et de spectaculaire.
Closer
Pervers et jubilatoire.
Culturopoing.com
Ce nouvel opus dépasse la simple suite pour devenir une fresque intemporelle - qui se moque bien d'être anachronique. […] À 86 ans, Ridley Scott semble encore trouver un plaisir enfantin à jouer avec les stéréotypes d’un cinéma plus vivace et plus espiègle que jamais.
Diverto
Ce second opus reprend la narration de l’original. Le cinéaste britannique n’a pas perdu la main et son péplum déborde de testostérone, de combats empiriques, de décors incroyables et d’une violence toujours aussi peu contenue.
Elle
Porté par les beaux gosses du moment, ce "Rome Land" a tout d'un épisode version péplum de la série Succession. Et c'est très drôle.
Filmsactu
Brutal, viril, excentrique, merci Ridley Scott.
Franceinfo Culture
Magnifique et rebondissant, ce "Gladiator II" est dans la continuité respectueuse de son modèle : fascinant et passionnant.
IGN France
Du grand et du bon spectacle, voilà la promesse faite et tenue par Gladiator, une suite beaucoup plus politique et centrée sur l’arène que sur l’émotion mise en avant par son prédécesseur. Un grand cru, loin d’être parfait mais qui remplit largement son office et qui n’aura de cesse de nourrir le débat ces prochains jours.
LCI
Au centre de ce "Game of Rome" où tous les coups sont permis, le génial Macrinus, interprété avec tout le brio qu’on lui connaît par Denzel Washington. Machiavélique à souhait, il est l’antagoniste parfait d'un Lucius à fleur de peau incarné par Paul Mescal, l'icône du cinéma indépendant qui parvient à distiller une touche de mélancolie au royaume des blockbusters sous stéroïdes. Rien que pour les étincelles entre ceux deux-là, Gladiator II vaut le déplacement.
Le Journal du Dimanche
Du grand spectacle au souffle épique intact, dominé par Denzel Washington au firmament de son art.
Le Journal du Geek
On craignait le pire, il n'est jamais arrivé et si on n'a pas eu la suite parfaite, beaucoup de suites ratées rêveraient d'être Gladiator 2.
Le Parisien
À la manœuvre, Ridley Scott signe une mise en scène époustouflante, multipliant les scènes ahurissantes de bataille et de combat, reconstituant de façon bluffante la Rome antique, s’essayant à des idées novatrices — pas toujours servies par les effets spéciaux, notamment lors de deux scènes animalières ratées avec de singes et des requins, notre seule réserve sur le film.
Les Echos
Le réalisateur de « Blade Runner » revient au péplum dans une superproduction qui mêle action et combats spectaculaires à une réflexion mélancolique sur la chute des empires.
Nice-Matin
Acteur plutôt habitué aux films d’auteur (« Aftersun », « Sans jamais nous connaître »), Paul Mescal dégage un fort charisme dans la peau de Lucius. Même constat pour Pedro Pascal, qui incarne un de ses rivaux. Tous deux se font cependant voler la vedette par Denzel Washington.
Première
Là où Alien : Romulus (produit par Ridley) déployait des efforts titanesques pour aboutir à un petit clone d’Aliens, le retour, Gladiator II imite également, mais pas pour aboutir à un bête clone du premier film : le film est une série B décadente parce qu’il veut bien l’être - mais une série B ultime, comme les péplums de la grande époque, sans volonté méta ou méprisante.
Public
Du sang, des muscles, de la vengeance... Tous les ingrédients d'une bonne intrigue se retrouvent dans ce volet détonnant.
Sud Ouest
Autant de qualités pour ce « Gladiator 2 » qui, sans égaler son aîné, s’inscrit à la fois dans sa lignée tout en faisant un pas intéressant de côté. Un pari que le cinéaste n’était pas parvenu à faire lorsqu’il s’était attelé aux préquels de son Alien.
aVoir-aLire.com
Touffu, excessif, et formidablement mené, ce deuxième opus de Gladiator voit le retour triomphal de Ridley Scott sur les écrans après son plus que médiocre Napoléon.
Ecran Large
On retiendra de "Gladiator 2" la performance de Denzel Washington, et l’approche toujours plus nihiliste du cinéma de Ridley Scott. Mais ça reste peu pour ce blockbuster froid et cynique, visiblement fier de faire beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
Konbini
Plus bourrin et moins spirituel, mais assumé en tant que tel, la suite de Gladiator est le haut de volée des blockbusters actuels. On pensait adorer Paul Mescal, on ressort en ne pensant qu'à Denzel Washington, impérial dans le genre.
La Croix
Ridley Scott signe une suite du célèbre péplum en demi-teinte, avec malgré tout certains éléments intéressants.
La Voix du Nord
Au final, on laissera la parole au peuple, les spectateurs qui voulaient à nouveau voir des jeux et du sang. Ceux-là ne seront pas déçus. À 86 ans, Ridley Scott sait encore manier le glaive.
Les Fiches du Cinéma
Un suite certes superflue mais éminemment divertissante, qui manque d’un petit supplément d’âme.
Télé Loisirs
Divertissant, ce second volet n'a pas le souffle épique de son aîné malgré quelques moments de bravoure intenses.
Abus de Ciné
Le personnage de Paul Mescal n’en reste qu’une figure monolithique, à laquelle on inflige une récurrence de « discours inspirants » qui frôle l’overdose voire parfois l’incongruité. C’est finalement Denzel Whashington qui lui vole clairement la vedette.
CinemaTeaser
Impossible alors, pour Gladiator II, de se hisser vers les sommets d’émotion de son aîné, tant il ne parvient jamais à proposer quoi que ce soit d’un tant soit peu nouveau ou d’intéressant au-delà d’une certaine surenchère dans le spectacle – là aussi, un propos en soi sur Rome, pourtant jamais « écrit » dans la dramaturgie.
L'Humanité
Vingt-quatre ans après « Gladiator », Ridley Scott rempile avec une suite joliment mélancolique, mais politiquement indigente.
L'Obs
Ce blockbuster carré peine pourtant à installer sa propre mythologie : soit il agite (lourdement) celle du premier film, soit il exécute son programme d’action avec savoir-faire mais peu d’enthousiasme. Restent quelques éclairs, parmi lesquels un étincelant Denzel Washington, à qui la toge de conseiller méphistophélique va comme un gant.
Le Figaro
Avec plus de violence, mais une intrigue identique, cette vision masculiniste du monde déçoit.
Le Monde
Située seize ans après le premier volet sorti en 2000, l’intrigue du deuxième opus orchestré par Ridley Scott est écrasée par son esprit de sérieux.
Libération
Vingt-quatre ans plus tard, le programme reste le même, boosté à quelque 310 millions de dollars de budget, et sait fort bien nous prendre pour des débiles légers en remplissant son office.
Paris Match
En optant pour un copier/coller du premier, Scott ne prend pas de risques.
Télé 7 Jours
Cet opus 2 capitalise laborieusement sur l'aura de l'original, sans jamais s'en approcher. Le souffle épique et le charisme d'hier ont déserté.
Télérama
Dans cette arène de surenchères, seul l’acteur Paul Mescal sauve l’honneur.
Cahiers du Cinéma
De 2000 à 2024, rien n’a remué en Rome antique : la poussière poussie, le clinquant claque, le peuple populise.
Critikat.com
La promesse spectaculaire restera lettre morte, les élans épiques et les trouées gores étant escamotés par la vélocité excessive du montage.
Le Point
Même Denzel Washington paraît reproduire des mimiques et un registre proches de ceux de son personnage de flic mafieux dans Training Day. Forcément spectaculaire, souvent divertissant, mais jamais convaincant, Gladiator II ressemble avant tout à un coup d'épée dans l'eau.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste signe une suite en forme de démonstration de force et de réinvocation balourde d’une fiction macho dont il avait pourtant entrepris de se distancier dans ses films récents.