Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Monde
par Clarisse Fabre
Comme on souffle sur une fleur de pissenlit, et avant que tout ne s’envole en poussières, "La Flor – partie 4", de l’Argentin Mariano Llinas termine son voyage en salle dans un bouquet d’images des plus enivrants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Fatalement, vu de loin, un tel objet peut faire peur. Il n’y a pourtant pas lieu d’être impressionné : nul monstre n’est plus souriant et accueillant que ce Frankenstein cinématographique, confectionné avec un millier de cadavres […] qu’un docteur fou […] ramène à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Partie 4, la dernière du florilège de fictions et de pampa, de la grande œuvre amateure, polygraphe, érudite, protocinéphile, argentine, donc babélienne, saturée de références et pourtant assez distendue pour éviter l’exercice de vanité cuistre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Epique, surréaliste, revigorant.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
"La Flor", par ses explorations visuelles et sonores, donne à ressentir des textures, des matières, comme si ce cinéma-là était tactile, physique. Cet OVNI semble nous relier à un plaisir primitif, presque enfantin. Pareil retour aux sources a des vertus régénératrices, bienvenues par les temps qui courent.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un projet passionnant et original.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Une proposition de cinéma telle qu’on en n’attendait pas (plus) aujourd’hui.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Llinás crée ainsi un feuilleton survolté et ludique qui tient autant de la série littéraire et télévisuelle (qu'il assure détester mais dont il emprunte les codes avec gourmandise) que du cinéma le plus magique et le plus inventif.
La Croix
par Céline Rouden
Aussi addictif qu’une série, ce film argentin hors-norme en 14 heures et six épisodes est un projet artistique un peu fou en même temps qu’un vibrant hommage au cinéma et aux histoires qu’il nous raconte.
Le Figaro
par La rédaction
Du pittoresque, de l’invention, du surréalisme, de la liberté, de l’insolite, Llinas renoue avec le vieux sortilège. On n’ose y croire. Cela ressemble à du grand cinéma.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’objectif du malicieux cinéaste est de revenir à l’essence de la création : le plaisir de raconter des histoires, le désir de rendre à l’imaginaire ses vertus avec une joie enfantine et sans les contraintes inhérentes à la conception et à la consommation d’un film.
Marie Claire
par Emily Barnett
Entre horreur et poésie, une expérience visuelle hors-norme qui est plus qu'une simple curiosité.
Positif
par Philippe Rouyer
La tension est partout dans ce film tentaculaire qui imbrique plusieurs récits gigognes pour mieux jouer sur la temporalité et y perdre le spectateur avec une volupté amusée.
Première
par Thierry Chèze
Alors certes, tout n’est pas parfait dans "La Flor". Il y a des parties moins réussies que d’autres (le film dans le film aurait gagné à être réduit). Mais l’essentiel est ailleurs : dans la fluidité inouïe de ce geste cinématographique où l’on ne sent jamais le labeur. Bon voyage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
C’est une expérience cinématographique unique et un film dont la forme et la durée suffisent à faire comprendre sa singularité : 13 heures et 34 minutes, autrement dit une œuvre fleuve qui échappe à l’idée de série car les épisodes successifs qui la composent s’y font écho sans entretenir une quelconque suite narrative.
L'Express
par Eric Libiot
Il y a dans l'histoire du cinéma des films très longs, même plus long que "La Flor", mais le procédé, ici, est unique : genres différents, cadeau aux comédiennes, procédé narratif proche des "Mille et une nuits"... Et une conclusion qui s'impose vite : c'est (trop) long et (très) passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une réflexion sur l’incarnation et l’importance de celle-ci au cinéma qui, par simple effet d’écho, prolonge l’intelligence et la jouissance de ce film hors-norme.
Le Monde
Comme on souffle sur une fleur de pissenlit, et avant que tout ne s’envole en poussières, "La Flor – partie 4", de l’Argentin Mariano Llinas termine son voyage en salle dans un bouquet d’images des plus enivrants.
Les Inrockuptibles
Fatalement, vu de loin, un tel objet peut faire peur. Il n’y a pourtant pas lieu d’être impressionné : nul monstre n’est plus souriant et accueillant que ce Frankenstein cinématographique, confectionné avec un millier de cadavres […] qu’un docteur fou […] ramène à la vie.
Libération
Partie 4, la dernière du florilège de fictions et de pampa, de la grande œuvre amateure, polygraphe, érudite, protocinéphile, argentine, donc babélienne, saturée de références et pourtant assez distendue pour éviter l’exercice de vanité cuistre.
Télérama
Epique, surréaliste, revigorant.
Bande à part
"La Flor", par ses explorations visuelles et sonores, donne à ressentir des textures, des matières, comme si ce cinéma-là était tactile, physique. Cet OVNI semble nous relier à un plaisir primitif, presque enfantin. Pareil retour aux sources a des vertus régénératrices, bienvenues par les temps qui courent.
CNews
Un projet passionnant et original.
Cahiers du Cinéma
Une proposition de cinéma telle qu’on en n’attendait pas (plus) aujourd’hui.
L'Obs
Llinás crée ainsi un feuilleton survolté et ludique qui tient autant de la série littéraire et télévisuelle (qu'il assure détester mais dont il emprunte les codes avec gourmandise) que du cinéma le plus magique et le plus inventif.
La Croix
Aussi addictif qu’une série, ce film argentin hors-norme en 14 heures et six épisodes est un projet artistique un peu fou en même temps qu’un vibrant hommage au cinéma et aux histoires qu’il nous raconte.
Le Figaro
Du pittoresque, de l’invention, du surréalisme, de la liberté, de l’insolite, Llinas renoue avec le vieux sortilège. On n’ose y croire. Cela ressemble à du grand cinéma.
Le Journal du Dimanche
L’objectif du malicieux cinéaste est de revenir à l’essence de la création : le plaisir de raconter des histoires, le désir de rendre à l’imaginaire ses vertus avec une joie enfantine et sans les contraintes inhérentes à la conception et à la consommation d’un film.
Marie Claire
Entre horreur et poésie, une expérience visuelle hors-norme qui est plus qu'une simple curiosité.
Positif
La tension est partout dans ce film tentaculaire qui imbrique plusieurs récits gigognes pour mieux jouer sur la temporalité et y perdre le spectateur avec une volupté amusée.
Première
Alors certes, tout n’est pas parfait dans "La Flor". Il y a des parties moins réussies que d’autres (le film dans le film aurait gagné à être réduit). Mais l’essentiel est ailleurs : dans la fluidité inouïe de ce geste cinématographique où l’on ne sent jamais le labeur. Bon voyage.
Sud Ouest
C’est une expérience cinématographique unique et un film dont la forme et la durée suffisent à faire comprendre sa singularité : 13 heures et 34 minutes, autrement dit une œuvre fleuve qui échappe à l’idée de série car les épisodes successifs qui la composent s’y font écho sans entretenir une quelconque suite narrative.
L'Express
Il y a dans l'histoire du cinéma des films très longs, même plus long que "La Flor", mais le procédé, ici, est unique : genres différents, cadeau aux comédiennes, procédé narratif proche des "Mille et une nuits"... Et une conclusion qui s'impose vite : c'est (trop) long et (très) passionnant.
La Septième Obsession
Une réflexion sur l’incarnation et l’importance de celle-ci au cinéma qui, par simple effet d’écho, prolonge l’intelligence et la jouissance de ce film hors-norme.