Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Fatalement, vu de loin, un tel objet peut faire peur. Il n’y a pourtant pas lieu d’être impressionné : nul monstre n’est plus souriant et accueillant que ce Frankenstein cinématographique, confectionné avec un millier de cadavres […] qu’un docteur fou […] ramène à la vie.
Expérience hors-norme, l’œuvre de l’Argentin Mariano Llinás [...] est une fresque foisonnante, imprévisible et impossible à résumer, mue par le seul plaisir de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il fallait bien treize heures au cinéaste argentin pour déployer ce monde baroque qui mêle les amours et les aventures de quatre femmes à l’histoire du cinéma. Du jamais-vu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"La Flor", par ses explorations visuelles et sonores, donne à ressentir des textures, des matières, comme si ce cinéma-là était tactile, physique. Cet OVNI semble nous relier à un plaisir primitif, presque enfantin. Pareil retour aux sources a des vertus régénératrices, bienvenues par les temps qui courent.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Llinás crée ainsi un feuilleton survolté et ludique qui tient autant de la série littéraire et télévisuelle (qu'il assure détester mais dont il emprunte les codes avec gourmandise) que du cinéma le plus magique et le plus inventif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Aussi addictif qu’une série, ce film argentin hors-norme en 14 heures et six épisodes est un projet artistique un peu fou en même temps qu’un vibrant hommage au cinéma et aux histoires qu’il nous raconte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
On ne lésine pas sur les péripéties inquiétantes, agrémentées de bruitages sinistres, de grincements de porte, de feulements de bêtes, de musique travaillée à l'avertisseur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L’objectif du malicieux cinéaste est de revenir à l’essence de la création : le plaisir de raconter des histoires, le désir de rendre à l’imaginaire ses vertus avec une joie enfantine et sans les contraintes inhérentes à la conception et à la consommation d’un film.
La tension est partout dans ce film tentaculaire qui imbrique plusieurs récits gigognes pour mieux jouer sur la temporalité et y perdre le spectateur avec une volupté amusée.
C’est une expérience cinématographique unique et un film dont la forme et la durée suffisent à faire comprendre sa singularité : 13 heures et 34 minutes, autrement dit une œuvre fleuve qui échappe à l’idée de série car les épisodes successifs qui la composent s’y font écho sans entretenir une quelconque suite narrative.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Il y a dans l'histoire du cinéma des films très longs, même plus long que "La Flor", mais le procédé, ici, est unique : genres différents, cadeau aux comédiennes, procédé narratif proche des "Mille et une nuits"... Et une conclusion qui s'impose vite : c'est (trop) long et (très) passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Une réflexion sur l’incarnation et l’importance de celle-ci au cinéma qui, par simple effet d’écho, prolonge l’intelligence et la jouissance de ce film hors-norme.
Le Monde
Avec ce film-monstre de quatorze heures, Mariano Llinas invite à un tourbillon d’images et d’émotions.
Les Inrockuptibles
Fatalement, vu de loin, un tel objet peut faire peur. Il n’y a pourtant pas lieu d’être impressionné : nul monstre n’est plus souriant et accueillant que ce Frankenstein cinématographique, confectionné avec un millier de cadavres […] qu’un docteur fou […] ramène à la vie.
Libération
Expérience hors-norme, l’œuvre de l’Argentin Mariano Llinás [...] est une fresque foisonnante, imprévisible et impossible à résumer, mue par le seul plaisir de la fiction.
Télérama
Il fallait bien treize heures au cinéaste argentin pour déployer ce monde baroque qui mêle les amours et les aventures de quatre femmes à l’histoire du cinéma. Du jamais-vu.
Bande à part
"La Flor", par ses explorations visuelles et sonores, donne à ressentir des textures, des matières, comme si ce cinéma-là était tactile, physique. Cet OVNI semble nous relier à un plaisir primitif, presque enfantin. Pareil retour aux sources a des vertus régénératrices, bienvenues par les temps qui courent.
CNews
Un projet passionnant et original.
Cahiers du Cinéma
Une proposition de cinéma telle qu’on en n’attendait pas (plus) aujourd’hui.
L'Obs
Llinás crée ainsi un feuilleton survolté et ludique qui tient autant de la série littéraire et télévisuelle (qu'il assure détester mais dont il emprunte les codes avec gourmandise) que du cinéma le plus magique et le plus inventif.
La Croix
Aussi addictif qu’une série, ce film argentin hors-norme en 14 heures et six épisodes est un projet artistique un peu fou en même temps qu’un vibrant hommage au cinéma et aux histoires qu’il nous raconte.
Le Figaro
On ne lésine pas sur les péripéties inquiétantes, agrémentées de bruitages sinistres, de grincements de porte, de feulements de bêtes, de musique travaillée à l'avertisseur.
Le Journal du Dimanche
L’objectif du malicieux cinéaste est de revenir à l’essence de la création : le plaisir de raconter des histoires, le désir de rendre à l’imaginaire ses vertus avec une joie enfantine et sans les contraintes inhérentes à la conception et à la consommation d’un film.
Marie Claire
Entre horreur et poésie, une expérience visuelle hors-norme qui est plus qu'une simple curiosité.
Positif
La tension est partout dans ce film tentaculaire qui imbrique plusieurs récits gigognes pour mieux jouer sur la temporalité et y perdre le spectateur avec une volupté amusée.
Première
Un moment de cinéma inouï.
Sud Ouest
C’est une expérience cinématographique unique et un film dont la forme et la durée suffisent à faire comprendre sa singularité : 13 heures et 34 minutes, autrement dit une œuvre fleuve qui échappe à l’idée de série car les épisodes successifs qui la composent s’y font écho sans entretenir une quelconque suite narrative.
L'Express
Il y a dans l'histoire du cinéma des films très longs, même plus long que "La Flor", mais le procédé, ici, est unique : genres différents, cadeau aux comédiennes, procédé narratif proche des "Mille et une nuits"... Et une conclusion qui s'impose vite : c'est (trop) long et (très) passionnant.
La Septième Obsession
Une réflexion sur l’incarnation et l’importance de celle-ci au cinéma qui, par simple effet d’écho, prolonge l’intelligence et la jouissance de ce film hors-norme.