Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un thriller brillant et ultraviolent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Filmsactu
par Henry Swanson
Certes imparfait et parfois trop démonstratif, Monkey Man fracasse néanmoins l'écran avec ses envies et sa vitalité. Les amateurs d'action que nous sommes ne peuvent que remercier Dev Patel pour ce brûlot plein de rage et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Kulture Geek
par Allan Blanvillain
Est-ce que Monkey Man mérite tous les éloges qui le précède ? Non. N'en reste pas moins que là où beaucoup auraient choisi la sécurisante simplicité pour une première expérience derrière la caméra, Dev Patel a fracassé la porte avec ses inspirations, ses défauts, mais surtout ses envies.
La critique complète est disponible sur le site Kulture Geek
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Parfois un peu démonstratif, ce récit initiatique captive par son incroyable vitalité, son atmosphère poisseuse, son spectacle décomplexé et cathartique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Pour l’amateur d’action pure et dure, « Monkey Man » constituera un mets de choix. Se plaçant sous l’auguste référence de « John Wick », le long-métrage évoque aussi des pierres angulaires du cinéma qui décoiffe asiatique, tels le thaïlandais « Ong-Bak » ou l’Indonésien « The Raid ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
S’inspirant notamment de John Wick, Dev Patel met en scène avec talent un film d’action efficace et brutal, empreint de mythologie indienne et de rage contre l’oppression.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Sous ses airs de pur divertissement grand public, Monkey Man dénonce les injustices de castes en Inde, ainsi que les violences faites aux femmes ou aux « hijras », cette communauté indienne appartenant au « troisième genre ».
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Initiative courageuse donc, de la part de Patel, d’autant qu’elle est quasiment impossible à tel niveau dans le cinéma indien, et qui permet à Monkey Man de tenir bon, malgré ses multiples maladresses, approximations et paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Chloé Delos-Eray
Infusée des arômes du thriller coréen, d’un stoïcisme johnwickien et même d’un peu du glauque de Jordan Peel (qui produit le film), Monkey Man, c’est un film somme, témoin de la cinéphilie toute adolescente d’un fils d’immigrés qui rêvait de voir des héros qui lui ressemblent, et qui, à défaut d’en avoir trouvés, a pris les choses en mains. Ou plutôt, aux poings.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Clément Colliaux
Parfois convaincant dans son épuisante outrance, le film bute toutefois sur le schématisme de son propos politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Ce qui se présentait [...] sous les meilleurs auspices mute au fur et à mesure que le film avance en une déception cuisante, oeuvre prometteuse dans ses vingt premières minutes avant de chuter dans le commun puis dans le fond du panier d'un genre lui-même fondamentalement inégal.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Système des castes, corruption, traite d’humains : la colère politique est saine, le geste, digne d’un Bollywood made in Hong-Kong. Mais monté à la hache et écrit par une IA bêtasse copiant « John Wick ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Joseph Boinay
Pour ses premiers pas comme réalisateur, l’acteur Dev Patel fonce tête baissée dans la récitation malheureuse : devant sa caméra tremblotante à l’épaule, se bousculent un John Wick et un Rocky hindis, assaisonnés d’une pincée d’emphase mystique à la Gladiator.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par M. Jo.
Bientôt, passé et présent, tradition et modernité fusionnent dans une bouillie d’images publicitaires. On voit ce que c’est censé produire : un film cerveau plongeant dans la psyché chaotique de son héros. On penche plutôt pour l’egotrip qui sent le nanar.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Un thriller brillant et ultraviolent.
Filmsactu
Certes imparfait et parfois trop démonstratif, Monkey Man fracasse néanmoins l'écran avec ses envies et sa vitalité. Les amateurs d'action que nous sommes ne peuvent que remercier Dev Patel pour ce brûlot plein de rage et de fureur.
Kulture Geek
Est-ce que Monkey Man mérite tous les éloges qui le précède ? Non. N'en reste pas moins que là où beaucoup auraient choisi la sécurisante simplicité pour une première expérience derrière la caméra, Dev Patel a fracassé la porte avec ses inspirations, ses défauts, mais surtout ses envies.
Le Journal du Dimanche
Parfois un peu démonstratif, ce récit initiatique captive par son incroyable vitalité, son atmosphère poisseuse, son spectacle décomplexé et cathartique.
Le Parisien
Pour l’amateur d’action pure et dure, « Monkey Man » constituera un mets de choix. Se plaçant sous l’auguste référence de « John Wick », le long-métrage évoque aussi des pierres angulaires du cinéma qui décoiffe asiatique, tels le thaïlandais « Ong-Bak » ou l’Indonésien « The Raid ».
Les Fiches du Cinéma
S’inspirant notamment de John Wick, Dev Patel met en scène avec talent un film d’action efficace et brutal, empreint de mythologie indienne et de rage contre l’oppression.
Le Figaro
Sous ses airs de pur divertissement grand public, Monkey Man dénonce les injustices de castes en Inde, ainsi que les violences faites aux femmes ou aux « hijras », cette communauté indienne appartenant au « troisième genre ».
Libération
Initiative courageuse donc, de la part de Patel, d’autant qu’elle est quasiment impossible à tel niveau dans le cinéma indien, et qui permet à Monkey Man de tenir bon, malgré ses multiples maladresses, approximations et paradoxes.
Première
Infusée des arômes du thriller coréen, d’un stoïcisme johnwickien et même d’un peu du glauque de Jordan Peel (qui produit le film), Monkey Man, c’est un film somme, témoin de la cinéphilie toute adolescente d’un fils d’immigrés qui rêvait de voir des héros qui lui ressemblent, et qui, à défaut d’en avoir trouvés, a pris les choses en mains. Ou plutôt, aux poings.
Critikat.com
Parfois convaincant dans son épuisante outrance, le film bute toutefois sur le schématisme de son propos politique.
Culturopoing.com
Ce qui se présentait [...] sous les meilleurs auspices mute au fur et à mesure que le film avance en une déception cuisante, oeuvre prometteuse dans ses vingt premières minutes avant de chuter dans le commun puis dans le fond du panier d'un genre lui-même fondamentalement inégal.
L'Obs
Système des castes, corruption, traite d’humains : la colère politique est saine, le geste, digne d’un Bollywood made in Hong-Kong. Mais monté à la hache et écrit par une IA bêtasse copiant « John Wick ».
Télérama
Pour ses premiers pas comme réalisateur, l’acteur Dev Patel fonce tête baissée dans la récitation malheureuse : devant sa caméra tremblotante à l’épaule, se bousculent un John Wick et un Rocky hindis, assaisonnés d’une pincée d’emphase mystique à la Gladiator.
Le Monde
Bientôt, passé et présent, tradition et modernité fusionnent dans une bouillie d’images publicitaires. On voit ce que c’est censé produire : un film cerveau plongeant dans la psyché chaotique de son héros. On penche plutôt pour l’egotrip qui sent le nanar.