J'ai pas vraiment accrochez au film je me suis arrêter à la scène quand la femme fait tomber la trappe dans le vide à l'extérieure de leur vaisseau, en temps normal quand tu est dans l'espace tu flotte ainsi que la matière qui à autour de toi, mais la trappe qui tombe comme une pierre j'ai trouver sa débile, après le point positif les acteur joue plutôt bien, les décor et effet spéciaux son réussie à voir.
Non nul complètement incohérent plein d'erreurs de physique. Notamment sur la pesanteur artificielle qui est maintenue par gravité artificielle par rotation, la rétractation pour rapprocher le réservoir aurait suffit a apporter de l'oxygène a bon port... Les incohérences aussi sur les panneaux qui alimentent la station si on touche aux câble ça casse...mais pas de batterie ?? Lol. La fin est nulle et sans intérêt. De plus on assiste à une montée du féminisme sur Netflix notamment en mettant un mec qui dégueule, a le vertige et souffle au moindre effort alors que les femmes font tout comme des grandes...
Un film catastrophe qui tente de s'inscrire dans la lignée de films spatiaux comme "Gravity" d'Alfonso Cuaron ou "Seul sur Mars" de Ridley Scott mais sans jamais en atteindre la maestria. Un long-métrage d'une platitude absolue reposant dès le départ sur un synopsis hautement improbable d'un passager "clandestin" à bord d'une mission spatiale qui fait inévitablement penser à l'aventure de Tintin "Objectif Lune" pour au final aboutir à un résultat tellement bourré de références qu'il n'en possède littéralement aucune identité propre et qui surtout part scénaristiquement tous azimuts pour ne concrétiser aucune de ses pistes abordées. Une mise en scène presque inexistante, vide, un rythme lent et ennuyeux, des décors et des moyens techniques d'une banalité affligeante. Un ensemble tout juste sauvé par le charisme de son casting de Toni Collette à Daniel Dae Kim sans oublier Anna Kendrick, que je n'apprécie habituellement pas, mais qui, là, semble l'actrice la plus impliquée dans le projet. Une sévère déception car il s'agit de la première d'une production Netflix me déplaît à ce point et une âpre désillusion de la part de Joe Penna dont j'avais plutôt bien apprécié sa réalisation précédente qu'est "Arctic" avec Mads Mikkelsen. Infâme.
la 4 e passager ou plus exactement "le migrant de l'espace". 2 Femmes blanches, 1 asiatique et 1 migrant africain. Avec les enfant, nous avons arrêté au bout de 15 min de film, trop prévisible et idiot. Le coup du migrant africain, étudiant trentenaire qui se retrouve coince dans la fusée. Et puis quoi encore? J'imagine que la suite est que la jolie jeune fille blanche et le migrant vont tomber follement amoureux l'un de l'autre.
La désintégration de Zoe, dont la vie se disperse lentement dans l’irruption solaire par des traînées lumineuses qui semblent la vider de sa substance, permet à Stowaway d’accéder à la poésie pure d’une existence sacrifiée pour autrui, en l’occurrence pour un étranger qui commence par apparaître tel un alien, comprenons un « autre » embarqué malgré lui dans le vaisseau spatial. Joe Penna accorde une place importante aux flottements et aux temps morts, laissant en suspens l’intrigue pour mieux déjouer les conventions du huis clos et y substituer une humanité vibrante d’authenticité. C’est ce qui faisait déjà la force de son précédent long métrage, Arctic (2018) ; c’est ce qui fait ici la puissance et la beauté d’un film dont nous ressortons bouleversés, encore pris de vertige devant la mission de récupération de l’oxygène. Rarement nous aurons été à ce point exposés au vide, rarement nous aurons aussi douloureusement éprouvé cette expérience du vide. Il suffit qu’un astronaute lâche prise quelques instants, et nous voilà proches du malaise ; qu’il se rapproche trop du bord, et la tête nous tourne. Le cinéaste atteste une maîtrise remarquable de l’espace et du mouvement des corps dans celui-ci : sa caméra suit ses personnages et leurs situations avec fluidité et virtualité ; elle semble elle-même en gravité, tributaire d’aucune structure d’appui. Comme elle, nous flottons dans un espace clos, incapables d’anticiper les réactions qui refusent le manichéisme ou le survival dans lequel la violence mute en divertissement. Dans Stowaway, il n’y a que l’homme confronté au vide, d’abord séparé par une fine cloison, enfin en prises directes avec lui. De ce combat primaire, Penna tire une métaphore de l’existence et des conséquences de nos choix, irrémédiables ; aussi se raccorde-t-il à une forme d’existentialisme, l’individu ne valant que par ses actions et par sa propension à en assumer les retombées. Un immense film, modeste et intimiste, qui laisse après visionnage une empreinte indélébile. La confirmation d’un grand cinéaste en devenir.
Une situation de crise dans l'espace, on en a vu déjà des dizaines, une de plus, bien fichue mais pas fantastique. La résolution de la crise occupe tout le temps de film et sans aucune surprise ni rebondissement vraiment profond. Un peu léger dans son traitement et sa résolution finale, il reste une incartade planante dans cet environnement si dangereux qu'est l'espace.
Pour qui s'intéresse au sujet, la lenteur du film permet une calme et réaliste méditation sur les risques des voyages interplanétaires.L'ensemble est un souvenir de Gravity, sans plus ni moins d'incohérences scientifiques...on a vu pire. Je préfère vraiment ce film un peu didactique à la nullité d'Anti-life. A part le fait que le passager est clandestin malgré lui, comme les Duponts d'Objectif Lune, sa réaction face au Free Jazz qu'écoute le botaniste est crédible. Vraiment je ne partage pas les critiques négatives, lesquelles peuvent se comprendre quand le titre du film sous-entend une histoire d'Alien (passager, vaisseau cosmique, huit-clos...)
L'atmosphére du film est prenante et les décors sympas. Pour le reste rien n'est crédible : un technicien qui tombe dans le recycleur d'air et l'endomage juste avant le départ se retrouve piégé dans le vaisseau avec les autres membres d'équipage.spoiler: Aprés avoir envisagé de l'éliminer il est décidé d'alller récupérer de l'oxygéne en trop dans une autre partie du vaisseau qui se trouve à l'autre bout de cables géants. 2 astronautes se balladent sur les cables sans aucun filin de sécurité et finissent par perdre la petite bombone d'oxygene qui étaient censée leur garantir des mois de survie. L'une des astronautes se sacrifie pour récupérer une deuxième bombonne pendant une éruption solaire puis... le film s'arréte sur un générique de fin de 10 minutes. Voila voila. A mon avis l'équipe s'est dit que l'histoire était trop chiante et ils ont ralongé le générique pour que ça reste un long métrage. On a l'impression qu'ils ont fait appel à un conseiller technique au début avant de décider de s'en passer. Du coup les invraissemblances s'accumulent et ça tourne au comique. Fin baclée : Ne perdez pas votre temps avec ça.!
Amateurs de conquête spatiale, passez votre chemin ! Ceux qui s'intéresse, même de loin..., à la question seront très vite consternés par le nombre d'incohérence qui jonchent ce film. Et que dire du scénario qui est d'une improbabilité notoire... Je rassure les novices qui se tenteraient au visionnage de ce 'navet', les agences spatiales existantes font à ma connaissance preuve de bien plus de professionnalisme ;)
le scénario est complètement absurde et de nombreux illogisme viennent ponctuer le film comme les appels téléphonique instantanés et l'absence d'apesanteur intermittente. essayez de boire un café dans un mug dans l'espace et vous comprendrez.
Bonjour, J'ai beaucoup aimé ce film même si je souligne quelques incohérences, au regard des critiques précédentes. Je l'ai trouvé très humain, j'ai passé un bon moment et selon moi il s'agit plus d'un thriller que d'un film SF. L'action aurait pu très bien se dérouler dans un tout autre cadre. Dès la deuxième partie, j'étais impatiente de connaître la suite des événements. J'ai bien aimé aussi la fin, avec la musique bien adaptée aux circonstances.
Encore un exemple dégoûtant du cinéma Hollywood, aucun respect pour la physique et la science, concentrez vous uniquement sur l’histoire sinon le film va vous énerver.