Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Jojo
12 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 28 mai 2021
De bons acteurs, du suspense un bon film. L'histoire ressemble de loin à gravity mais en bien meilleur que la soupe que nous ont servi Clooney et Bullock.
Encore une petite pépite SF, classique, sobre, mais très prenante. Les personnages sont attachants. Les images sont belles. Rien d'exceptionnel mais on passe un bon moment, surtout si on est fan du genre "expédition dans l'espace qui tourne mal"!
spoiler: Film très sympa avec des acteurs qui savent bien jouer leur rôle de cosmonautes assujettis à la gravité d’une centrifugeuse spatiale.
Malgré des incohérences farfelues, comme [spoiler]l’ingénieur coincé par mégarde dans un placard technique, et qui s’endort ou dessaoule dedans pour se réveiller dans l’espace , le film est prenant psychologiquement. Il soulève la question philosophique de comptoir: la vie d’un simple clandestin maladroit a t’elle moins de valeur que celle d’un cosmonaute préparé depuis des années à cette mission dont la place est plus légitime dans le vaisseau ? Et bien le sujet est délaissé pour une fin convenue, où spoiler: le sacrifice mielleux tant attendu arrive pour péter cet enthousiasme accumulée pendant les 2/3 du film. [/spoiler]
Ben oui, c'est quand même une déception Pourtant le scénario est prometteur et des le début du film, on a cette impression que l'on va voir un grand spectacle spatial jusqu'à ce que les premiers indices d'un film à petit budget apparaissent. L’intérieur de la station est fidèle à la réalité mais tous les moyens financiers sont ils partis là dedans ? Pas d'apesanteur (trop cher à mettre en œuvre ?), une bande son adaptées à l'Espace mais banale, des acteurs qui manquent de crédibilité (dont une actrice américaine que l'on voit habituellement dans des comédies potaches...) et par dessus le marché de grandes incohérences qui gâchent tout !! Dans ce contexte du 4 ieme passager (un de trop), des décisions prises sont idiotes au possible, des actions improbables misent en œuvre; la crédibilité de l'histoire s' effiloche et c'est bien dommage car malgré un manque de moyen évident, l'histoire semblait prometteuse.
Tant de gens en train de critiquer la cohérence scientifique du film ! Alors que la création de gravité artificielle est parmi les plus cohérentes des films de SF ! Force gravitationnelle simulée par rotation du vaisseau rien de plus compliqué donc le reste se tiens (les personnages grimpes sur des câbles, perte de gravité au milieu : tout se tiens). Bon après il aurait dû demander conseil à un pro d'escalade là ça craint. A part ça un film prenant avec une ambiance très pesante. Un voyage dans l'espace super bien réalisé avec des personnages sobres mais suffisamment bien développés sans excès de sentiments contrairement à bon nombre de super production americaine. Les jeux d'acteurs ne sont pas parfait mais le film prend le parti de raconter l'histoire du point de vue de tout l'équipage donc pas dérangeant de voir quelques fautes de jeu. Je recommande !!
Ce film est une aberration scientifique. Ça ne devrait pas exister. Tout le monde sait que dans l'espace ne pas porter sa visière de protection c'est fun ça fait bronzer. Il y a de la gravité dans l'espace et on peut faire une ballade a l'extérieur de son vaisseau pour admirer le paysage. Une éruption solaire c'est un petit vent frais et vert qui vous chatouille la combi. Franchement wtf !!! J'ai voulu ne pas tenir compte des autres critiques mais là tout est fonder. Je me suis même endormi devant au bout d'une heure. Ne perdez pas votre temps !
Le thème du nouveau film de Joe Penna, « Stowaway » (=Le Passager N°4) est le même que son précédent « Instinct ». L’humain luttant désespérément pour sa survie dans la solitude. Dans « Instinct », Mads Mikkelsen incarnait un personnage qui se battait tout seul dans l’aridité et l’adversité du grand froid. Dans « Stowaway », l’équipage réduit d’un vaisseau spacial doit affronter un énorme dilemme, non seulement pour accomplir sa mission vers Mars, mais pour survivre tout simplement dans le vaisseau. Tout comme dans « Instinct », le réalisateur Brésilien se base sur une documentation très poussée de l’environnement. Pour « Stowaway », le, voire, les consultants, n’ont pas chômés. Les détails du quotidien des astronautes sont dépeints avec minutie. Un bémol cependant, la plupart de ces détails sont exacts, quelques un non. Par exemple, le checking méticuleux des techniciens par la Nasa n’aurait jamais permis la moindre surprise sur l’effectif à bord lors du vol. En voyant ce film, tous les membres de la Nasa, comme un seul homme, ont dû avaler leur dentier, à force de rigoler. Mais, le plus problématique avec ce film, est qu’il a le même défaut son film précédent. Le réalisateur Brésilien accroche une abondante documentation à un scénario toujours étriqué, ne tenant que sur une page. Du coup, l’ennui nous gagne vite car le suspense n’est basé que sur le déroulement descriptif de menus détails et l’accomplissement d’un destin facilement prévisible. A noter qu’il y a une traduction pour Stowaway en anglais : « Clandestin ». Mais bon, on n’est pas à une boulette près dans ce film.
Ce film, après une premières demie-heure prometteuse voire ambitieuse, s'enlise et devient poussif. L'image est belle, les acteurs plutôt convaincants et les dialogues plutôt bons, dans la sobriété. J'ai aussi apprécié la musique.
Mais le film lance des réflexions sans jamais vraiment les approfondir. - comment ce passager est arrivé là : spoiler: ça aurait pu être un observateur, ou une experience sociologique ? Pas de réponse. Vu l'endroit, ce n'est pas un hasard...
- comment un équipement peut être en panne, sans système de secours, et que la fusée décolle ? spoiler: Alors qu'il est vital.
On peut ajouter à ça, des incohérences physiques/techniques qui ne passent plus en 2021... l'apesanteur, la bouteille d'oxygène spoiler: "qui tombe" , les sorties extra véhiculaires spoiler: sans câble d'arrimage , l'intérieur de la station assez cheap (surtout quand Thomas Pesquet poste des photos d'une vraie tous les jours !)
Tout cela aurait été pardonnable avec un scénario original ou un minimum fouillé, hélas, il tient sur un post-it. Quant à la fin, sans spoil, je la trouve décevante, sans souffle.
Au final, cela fait trop d'imperfections pour dépasser la moyenne, ce film est regardable mais pas prioritaire.
Je voulais juste répondre à tous ces commentaires jugeant non crédible cette gravité "artificielle". Pour ma part, elle me parait tout à fait crédible. Une gravité n'est qu'une accélération (sur terre 1g) et au passage une accélération n'est pas quelque chose d'artificielle et donc la gravité non plus. Le vaisseau, constitué d'une station spatiale et du dernière étage de la fusée 800m plus loin (retenu par des câbles) est en rotation autour du centre de ces câbles où se trouvent les panneaux solaire (donc force centrifuge). Donc absolument tout le film est logique vis à vis de cette histoire de gravité et notamment la gravité à l'extérieur et sa diminution progressive lorsqu'ils s'approchent du centre de rotation puis son inversion.
Après effectivement le film souffre de quelques longueurs et on peine à croire à "l'oubli" d'un technicien dans une trappe...
Suite au visionnage de ce "film" J'ai deux questions essentielles : 1 - Qu'est allé faire Tonie Collette (Little miss Sunshine, 6eme sens, etc...) dans cette daube sans nom? Cette belle et talentueuse actrice , qui savait choisir ses rôles et les interpréter avec force et charisme...la voilà effacée,mal a l'aise et au jeu "minimum syndical"? 2- Comment , à l'heure ou la conquête de l'espace devenue presque "banale" et que beaucoup de films(que je ne citerai pas tant la liste est conséquente)) ont traité de manière plutôt "réaliste" grâce a moyens virtuels et techniques impressionnants, on se retrouve avec des effets spéciaux dignes d'un nanar des années 60/70 , ou des objets "tombent " dans l'espace , ou ,(faute de moyens sans doute), les astronautes "marchent" tout le long du film (a l’intérieur du vaisseau et même a l’extérieur Whouaaa!!!), et gag parmi les gag, on ignore les consignes de sécurité les plus élémentaires en "oubliant" un gars dans un plafond vissé par une plaque (???). Si cela avait été une parodie façon "y a t'il un flic pour sauver l'espace" , pourquoi pas , mais là!? Je ne m’étendrai donc ni sur le "non jeu" des acteurs tous "torturés" par des questions existentielles rappelant un banal cours de philo, ni sur un décor ressemblant à un mauvais assemblage de pots de yaourt/polystyrène, ni sur les incohérences scientifiques qu'aurait pu faire un môme de 5 ans ...Ce "naufrage spatial" m'a douloureusement rappelé l'ennui abyssal ressenti devant "Minuit dans l'univers" avec notre "What else" national, transformé pour l'occasion en père noël dépressif ... Conclusion: avis aux réalisateurs désireux de se lancer dans l'espace: prenez soin de peaufiner votre scenar, le jeu des acteurs et surtout , DOCUMENTEZ VOUS auprès de vrais scientifiques ou astronautes !
Critique courte. Visuellement très beau. Alors non ce n'est pas un reportage scientifique donc oui parfois les dialogues sont faits pour que tout le monde comprenne mais qui aimerai voir un film bourré de termes techniques franchement ? Mais la n'est pas le problème. C'est assez plat, finalement. C'est joli et tout mais il n'en ressort pas grand chose au final. Fin d'un ennui mortel, on est déçu A regarder seul avec son téléphone à côté....
une histoire sympa, des acteurs sympa, une ambiance sympa, un film sympa. domage ce film aurait pu etre tellement mieux. Les personnages sont plaisants à suivre et évitent les caricatures de l'homme macho qui sauve les faibles femmes et du gros costaud qui vire tyran. Mais le film laisse un goût d'à peu près.
Un énième navet sur l'espace... Le réalisateur Joe Penna nous livre un film pénible, irréaliste, dépressogène, et insauvable par le bon jeu des acteurs. Le pitch : "Et si l'équipage de la mission sur mars trouvait un pauvre type coincé à bord, quelques jours après le décollage?" Réponse : il ferait demi-tour, Conrad. Mais là non, on continue,... et que faire avec l'intrus malaisant qui épuise l'oxygène rationné en quantité juste? Tu as deviné?... Et c'est là que réalisme vole en éclat dans le cosmos. Rien ne va : les erreurs stupides enchainés par l'équipage, leur sur-émotivité, la gravité artificielle claquée au sol, les propriétés bidon des combinaisons, le sens avarié de l'humanité, et plus généralement, l'imprévoyance du très très prévisible par la soi-disant élite de la Nation. En somme, on rêverait que ce genre d'astronautes du dimanche soit désintégré dans l'espace, par l'espace, pour l'espace. Tout comme la bande-son et la bande-film. Un navet moisi de poubelle fétide.