Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce suspense spatial est anxiogène à souhait.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cette tragédie spatiale en forme de huis clos qui imagine une expédition spatiale sur Mars surprend par son intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Antoine Desrues
Bien que perfectible, Le Passager n°4 parvient à s’approprier le genre du survival spatial avec un curieux sens de l’épure. Si Joe Penna sait se reposer sur son casting et sa mise en scène soignée, l'humanisme bienvenu qu’il affiche finit par lui faire défaut, notamment dans un final trop évident. Un bon film de SF tendu et courageux, mais qui aurait pu transcender son postulat.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Joe Penna nous offre un véritable drame spatial émouvant et visuellement impressionnant.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
[...] une sorte de "Sunshine" qui serait dépouillé de sa dernière partie ersatz d’"Alien", mais aussi privé de la mise en scène évocatrice de Boyle. "Le Passager n°4" incarne malgré tout une voie alternative pour la hard SF : peut-être parce qu’il embrasse sa dimension mélodramatique dans sa dernière partie, et que sa conclusion est sincèrement émouvante ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Cédric Delelée
[Un] survival cosmique malheureusement handicapé par un script sommaire et la caractérisation un peu trop simpliste de personnages par ailleurs fort bien interprétés, en particulier par l'émouvante Anna Kendrick.
Première
par Thierry Chèze
Dommage que Penna n’évite pas sur ces terrains–là un certain didactisme et un manichéisme paresseux dans l’écriture de ses personnages. Mais sa réalisation inventive, le refus de la moindre concession à l’épate, l’aspect ouvertement anti-hollywoodien de cette balade au cœur d’un genre hollywoodien en diable intriguent, séduisent et finissent par emporter le morceau, en dépit de ses nombreuses imperfections.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Même si l'on est loin de l'intensité émotionnelle et visuelle de "Gravity", ce huis clos spatial dispose d'une réelle force d'attraction : l'envie de savoir qui ne verra pas la planète rouge.
Télérama
par Marie Sauvion
Malgré un casting prometteur, Joe Penna signe un huis clos psychologique proprement exécuté mais peu crédible, où l’indifférence l’emporte sur l’effroi. Un film mineur qui ne décolle pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce suspense spatial est anxiogène à souhait.
Le Parisien
Cette tragédie spatiale en forme de huis clos qui imagine une expédition spatiale sur Mars surprend par son intensité.
Ecran Large
Bien que perfectible, Le Passager n°4 parvient à s’approprier le genre du survival spatial avec un curieux sens de l’épure. Si Joe Penna sait se reposer sur son casting et sa mise en scène soignée, l'humanisme bienvenu qu’il affiche finit par lui faire défaut, notamment dans un final trop évident. Un bon film de SF tendu et courageux, mais qui aurait pu transcender son postulat.
L'Ecran Fantastique
Joe Penna nous offre un véritable drame spatial émouvant et visuellement impressionnant.
Les Fiches du Cinéma
[...] une sorte de "Sunshine" qui serait dépouillé de sa dernière partie ersatz d’"Alien", mais aussi privé de la mise en scène évocatrice de Boyle. "Le Passager n°4" incarne malgré tout une voie alternative pour la hard SF : peut-être parce qu’il embrasse sa dimension mélodramatique dans sa dernière partie, et que sa conclusion est sincèrement émouvante ?
Mad Movies
[Un] survival cosmique malheureusement handicapé par un script sommaire et la caractérisation un peu trop simpliste de personnages par ailleurs fort bien interprétés, en particulier par l'émouvante Anna Kendrick.
Première
Dommage que Penna n’évite pas sur ces terrains–là un certain didactisme et un manichéisme paresseux dans l’écriture de ses personnages. Mais sa réalisation inventive, le refus de la moindre concession à l’épate, l’aspect ouvertement anti-hollywoodien de cette balade au cœur d’un genre hollywoodien en diable intriguent, séduisent et finissent par emporter le morceau, en dépit de ses nombreuses imperfections.
Télé 7 Jours
Même si l'on est loin de l'intensité émotionnelle et visuelle de "Gravity", ce huis clos spatial dispose d'une réelle force d'attraction : l'envie de savoir qui ne verra pas la planète rouge.
Télérama
Malgré un casting prometteur, Joe Penna signe un huis clos psychologique proprement exécuté mais peu crédible, où l’indifférence l’emporte sur l’effroi. Un film mineur qui ne décolle pas.