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    Le Monde d'hier
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    108 critiques spectateurs

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    Pedro-Octavio Diaz
    Pedro-Octavio Diaz

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2022
    Beaucoup de promesses non tenues. Je regrette d'avoir été berné par une bande d'annonces qui frôle la publicité mensongère. Quel intérêt de maintenir un suspens là où il y en a pas. Mlle Drucker finit en wonder woman sans une réelle présence. Un manque de finesse dans la construction du récit qui rate le thriller politique et le transforme en mélodrame sous les ors d'une République à sauver.
    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juillet 2022
    L'intrigue n'est pas très claire, les dialogues pompeux ou ridicules, les acteurs ailleurs excellents sont ici moyens - Léa Drucker en tête, les décors et la direction artistique manquent d'imagination et de moyens. J'ai pensé à un House of cards franchouillard... Rien n'est crédible, tout donne faux et la fin faussement ouverte est à l'avenant.
    Guillaume
    Guillaume

    112 abonnés 1 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2022
    Un thriller politique brillant par sa sombre mais lumineuse mise en scène, à l'écriture dense et à l'interprétation convaincante.
    Quelques incongruités à noter, brisant le spectre de l'excellence, mais "Le Monde d'hier" est un parfait exemple des talents français dans la production de polars.
    Stéphane B.
    Stéphane B.

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juillet 2022
    Sous une mise en scene élégante, un poncif de propagande manichéen, opposant les bon démocrates idéalistes au "mechant bruit des bottes" dont ils cherchent à nous sauver.
    Ca reste confondant de naïveté et de "bien pensance" et cela s'apparente donc à une oeuvre de prêt à penser de plus. Il est dommage que de bon acteurs aillent se vautrer dans de tels ecueils engagés.
    elriad
    elriad

    434 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2022
    Le film déroule son scénario sans jamais trouver son style ni son rythme, malgré une distribution intéressante et juste dans l'interprétation. On ne sent jamais la pression de ces derniers jours avant le 1er tour où tout peut basculer et les petites histoires font clairement oublier l'enjeu principal, rendant le film linéaire et peu passionnant. Dommage, car le sujet avait tout pour séduire sur le papier, mais il semble que le réalisateur se soit perdu en route en ayant oublié la raison première de son script finalement mal fagoté, ouvrant des pistes jamais abouties, laissant le spectateur frustré.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 juin 2022
    Le cinéma français nous a montré ces dernières années sa capacité à proposer des films sur les coulisses de la politique à la fois passionnants et pertinents. Citons pêle-mêle et chacun dans leur style L’exercice de l’État (2011), La conquête (2011), Quai d’Orsay (2013), Alice et le maire (2019) ou encore Les promesses (2022). Le monde d’hier prouve quant à lui qu’il reste casse-gueule de se frotter à ce genre, avec un risque de plantage non négligeable. Dans ce long-métrage qui imagine un scandale portant l’extrême droite aux portes du pouvoir, pas grand chose n’est convaincant. L’histoire ne tient pas la route et accumule les situations invraisemblables, les personnages sont mal écrits, le casting est douteux (qui s’est imaginé sérieusement que Benjamin Biolay pouvait être crédible plus de 2 secondes dans le rôle du Premier Ministre de la France ?) et les acteurs sont en roue libre totale, tentant de surnager dans des enjeux dont on finit par se foutre totalement. Un malheureux ratage.
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2022
    Diastème aurait dû devenir joueur professionnel de football. Ses contre-pieds sont redoutables. Dans ce film, en un seul switch, un petit passement de jambes scénaristique, il a laissé sur place les trois quarts des spectateurs. Bravo l'artiste... mais tant pis pour les notes sur Allociné !
    "Le monde d'hier" fait écho à son précédent film "Un Français" où l'on suivait les atermoiements d'un militant d'extrême-droite qui perd sa haine et redevient humain. Cette fois, on est à l'Elysée, au coeur de la République et Diastème montre comment le camp du bien peut commettre le mal dont il est censé être le rempart. C'est un film intelligent, une réflexion machiavélique osée, mais l'erreur tient sans doute à la construction du film : on se laisse prendre dans une intrigue politique pour brusquement basculer dans le film de genre, plutôt hermétique. Beaucoup n'ont pas compris pourquoi la présidente se roule dans la neige sur sa terrasse. Comment leur en vouloir ? Quand on dribble, ensuite il faut marquer.
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    162 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2022
    Plusieurs intrigues intéressantes (maladie cachée, peur de l'extrême droite, terrorisme) lors des derniers jours de mandat d'une présidente française très bien jouée par Léa Drucker mais pas totalement abouties et alourdies par des choix esthétiques qui manquent de finesse (violons et ralentis).
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mai 2022
    Elisabeth de Raincy (Léa Drucker), présidente de centre-gauche, a décidé de ne pas se représenter. Son ancien Premier ministre, Luc Gaucher (Jacques Weber), est en lice face au chef de l'extrême-droite (Thierry Godart que j'avais tant aimé dans Un village français). Mais, trois jours avant le premier tour, le secrétaire général de l'Elysée (Denis Podalydès) vient annoncer à la présidente que les services russes sont sur le point de diffuser une video compromettante de Luc Gaucher qui le disqualifierait dans la course à l'élection. Que faire ?

    Dans les mois et les semaines précédant l'élection présidentielle, les films et les documentaires politiques consacrés à ce moment clé de notre vie démocratique se sont multipliés : "Les Promesses", "Municipale", "La Disparition", "La Campagne de France", "En même temps"... Dans cette (trop ?) longue panoplie, la bande-annonce du Monde d'hier laissait augurer le meilleur : un polar crépusculaire dont le ton et les couleurs n'étaient pas sans rappeler ceux de "L'Exercice de l'Etat" - qu'on présente souvent comme l'une des meilleures fictions jamais réalisées sur le pouvoir, même si j'ai personnellement sur ce sujet une opinion légèrement dissidente.

    La première moitié du "Monde d'hier" tient ses promesses. La galerie des personnages qui y est présentée est immédiatement attachante, qu'il s'agisse de la présidente, de son secrétaire général, de son Premier ministre (Benjamin Biolay), de son garde du corps aussi mutique que loyal (Alban Lenoir que Diastème avait révélé dans l'excellent "Un Français") et même de la fidèle secrétaire interprétée par Emma de Caunes que je n'avais pas reconnue avant que son nom apparaisse au générique de fin.

    Cette mise en place ressemble au premier épisode d'une longue série. Et c'est bien là le défaut du "Monde d'hier" (dont on n'aura pas compris malgré la citation finale pourquoi son titre est emprunté au livre crépusculaire de Stephan Zweig). Les personnages qu'il campe, l'intrigue qu'il dessine pourraient nourrir plusieurs épisodes, dignes de "House of cards" ou de "Baron noir". Or, "Le Monde d'hier" dure quatre-vingt-neuf minutes à peine. On a l'impression que son réalisateur, pris par le temps, n'a pas tiré tous les fils de l'intrigue qu'il avait nouée. On la quitte en plein milieu, interloqué, sans avoir compris comment elle se dénouait. Dommage...
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2022
    Entre fiction et réalité, "Le monde d'hier" nous offre une belle plongée dans les arcanes de la vie politique. Dans ce monde imaginaire, la Présidente de la République est une femme (Léa Drucker) qui à la veille du premier tour des présidentielles doit faire face à la montée d'un candidat d'extrême droite. Léa Drucker prend la pleine mesure de son rôle, tantôt impitoyable, tantôt fragilisée psychologiquement et physiquement. Dans ce monde de suspicion et de trahison, Diastème signe un film puissant et sans fioritures sur la politique. Dommage que ce soit si court car on est absorbé par cette oeuvre réaliste bizarrement décriée par le public.
    MARIE-FRANCOISE R
    MARIE-FRANCOISE R

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 avril 2022
    Mauvaise démonstration du "Tous pourris" des politiques, quels que soient leur camp politique. L'extrême droite dont la seule évocation du nom suffit à disqualifier le candidat sans même que le film ne nous le fasse connaître ; l'autre camp, centre droit ou gauche non défini, est flanqué d'un candidat qui aurait abusé du côté des conflits d'intérêt, d'une présidente sortante dont l'entourage est prêt à bafouer le b-a-ba de la démocratie et de la morale républicaine en ayant recours à des prétextes fallacieux pour faire annuler le second tour des élections. Pour un tel propos il eut fallu une grande dose d'humour pour ne pas apporter de l'eau au moulin des complotistes. Seuls Kervern et Delepine aurait su s'emparer du sujet. Les journalistes d'investigation devraient continuer à faire des enquêtes et laisser la fiction aux professionnels.
    Regine C.C
    Regine C.C

    36 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Film, inspiré de l'oeuvre de Stefan Zweig, le monde d'hier. Le pouvoir en place, à la veille d'élections, est menacé par l'extrême droite qui possède une vidéo compromettante sur le financement du parti. Pour contrecarrer cette menace, ils décident de mener une enquête de moeurs sur le leader d'opposition qui se dit "bon père de famille".
    Les acteurs sont très convaincants dans leurs rôles mais le scénario paraît inachevé et nous laisse sur la faim. On a l'impression de n'avoir vu qu'une 1ere partie.
    Dommage.
    Geneviève Merlihot
    Geneviève Merlihot

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2022
    film d'une pauvetré inouie,
    aucun intérêt on ne sait pas ou on va ni même si le réalisateur sait vraiment dans quelle direction il veut nous diriger..
    Affligeant, ennuyeux, pittoyable....
    on était 3 dans la salle à attendre...la fin! Thanks God
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    49 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2022
    Un film politique assez classique, avec un scénario de départ interessant. Mais le rythme est un peu lent pour qu'on rentre vraiment dedans, malgré la thématique du danger de l'extrême droite qui ne pourrait être plus d'actualité. Le film aurait gagné à sortir du palais de l'Elysée, et à mettre en avant davantage de personnages. La fin est ratée, décevante. Malgré tout, étant amateur du genre, j'ai passé un bon moment.
    martial7178
    martial7178

    14 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2022
    Elisabeth de Raincy (Léa Drucker), Présidente de la République, a choisi de se retirer de la vie politique. À trois jours du premier tour de l'élection présidentielle, elle apprend par son Secrétaire Général, Franck L'Herbier (Denis Podalydes), qu'un scandale venant de l'étranger va éclabousser son successeur désigné (Jacques Weber) et donner la victoire au candidat d'extrême-droite, Willem (Thierry Godard). Ils ont trois jours pour changer le cours de l'Histoire.

    Comme souvent ces temps-ci au cinéma, le point de départ de l'histoire est intéressant, mais son développement s'égare dans des méandres qui le noient dans des histoires secondaires. C'était le cas avec le dernier Ozon.
    Le début est pourtant pertinent : jusqu'où un Chef de l’État est-il prêt à aller pour écarter du pouvoir un candidat sui pourrait nuire aux valeurs de la République ? Ce candidat ayant des opinions extrêmes, tranchées et étant finance par le Kremlin. Évidemment, toute similitude avec un parti existant...
    Mais, ensuite, on nous balance la maladie de la Présidente (laquelle ? l'histoire ne le précise pas ), ses relations avec sa fille et son ex mari (qui n'apportent pas grand chose à l'histoire), sa relation ambiguë avec le secrétaire général de l'Elysée (comme si c'était le cas dans la réalité) et tous ces éléments font perdre le fil de l'histoire principale.
    A tel point même que, du coup, lorsque le générique de fin apparaît, on reste précisément sur sa faim, car on n'a pas la réponse à la question principale que pose ce film : quelle est l'issue du scrutin présidentielle et est-ce que la stratégie mise en place a porté ses fruits ?
    C'est dommage, d'autant que ce genre de thème est rarement traité dans le cinéma français et que les acteurs Léa Drucker, Denis Podalydes et le ténébreux Alban Lenoir, en tête, sont très convaincants dans leurs rôles respectifs.
    A noter également l'excellente musique signée Valentine Duteil.
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