Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Ouest France
par Agnès Le Morvan
Un film noir, parfois trouble, entre manœuvres politiciennes, désillusion politique et secret d’État.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le mandat de Léa Drucker dans ce personnage fictif de présidente de la République est accompli, tout en subtilité et retenue. C’est d’elle que découle en grande partie l’authenticité du film, portrait tout en ombres d’une femme de pouvoir qui semble se juger depuis longtemps insuffisante en tant que mère.
Elle
par Françoise Delbecq
Avec des dialogues incisifs, ce huis clos remporte nos suffrages.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un conte cruel et oppressant sur les silences du pouvoir.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le cinéaste réussit la peinture réaliste de la solitude d’un pouvoir à l’agonie où Drucker et Podalydès, en secrétaire général de la présidence, se taillent la part du lion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La rédaction
« Le Monde d’hier » est un thriller sombre, tranchant, métallique. On se laisse happer par le suspense de l’intrigue et on se délecte de cette impression de pénétrer dans les coulisses de l’Élysée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Diastème orchestre l'agonie d'un quinquennat et met en scène la politique française à la façon d'une tragédie antique. Un film à l'élégance sombre, porté par l'interprétation puissante de Léa Drucker en reine maudite de la Ve République.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Benjamin Locoge
Une plongée fascinante dans les arcanes du pouvoir et de l'âme humaine.
Positif
par Louise Dumas
Efficacement écrit et très remarquablement interprété, Le Monde d’hier est un film beau et intrigant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Diastème déploie une œuvre somptueuse qui en dépit de ses multiples atours, est singulièrement écorchée, solennelle sans doute mais exsangue.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
L’ombre de l’excellente série Baron noir flotte sur ce thriller politique de Diastème, qui nous plonge au cœur du pouvoir, des intrigues de palais et de la solitude de son exercice.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Émaillé de références à de vrais secrets politiques, ce film sur l'exercice du pouvoir est intelligent et profond.
Voici
par La Rédaction
Un thriller politique sombre, froid et théâtral dans sa forme, mais d'une brûlante actualité.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Filmé comme un thriller politique et théâtral, Le Monde d’hier raconte plus que jamais que la politique est d’abord une affaire d’humanités. Une œuvre dense et profonde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce thriller politique bien ficelé, tout en restant très classique dans sa forme, nous immerge dans les coulisses du pouvoir avec son lot de secrets et de trahisons.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Non dénué d’idées intéressantes, ce thriller politique se retrouve contraint par son dispositif théâtral.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Diastème réussit un film désespéré sur la fragilité de la démocratie et la peur que peut nous inspirer demain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Ici la mise en scène discrète donne naissance à un huis clos étouffant qui fait la part belle à ses personnages et donc à ses interprètes. Des premiers aux seconds rôles, le résultat tient du sans-faute et joue un rôle essentiel dans l’ambiance de thriller tendu et mélancolique qui sous-tend le récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Le film n’est jamais aussi convaincant, finalement, que lorsqu’il s’assume en huis clos théâtral et crépusculaire, mettant sobrement en scène un dilemme de palais servi par Léa Drucker et Denis Podalydès, remarquables dans l’autorité et émouvants dans la défaite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Bonne idée, sur le papier, que de filmer la menace de l’extrême droite depuis un Élysée-mausolée où végète une aristocratie littéralement agonisante. Mais de cet Olympe mortifère, Diastème ne fait pas grand-chose, ou si peu. (...) Plutôt que de détricoter les maux de la Ve République, il en aura finalement reproduit l’élan fondamental : une hyper personnalisation du pouvoir politique.
Ecran Large
par La rédaction
Le metteur en scène se perd totalement dans un dispositif poussiéreux, une scénographie digne d'un mauvais théâtre, et une écriture des personnages qui statufie les comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Sur un sujet brûlant d’actualité, l’accession au pouvoir d’un candidat d’extrême droite, le film de Diastème accumule les invraisemblances et livre une vision extrêmement pessimiste de la politique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un drame sans doute clairvoyant et bien renseigné sur les mœurs du pouvoir, mais dont les enjeux potentiellement gigantesques (on parle aussi sécurité, terrorisme et développement durable, en pointillé) sont étouffés par un dispositif étriqué.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un étrange déjà-vu s'empare assez vite du spectateur, lassé par la menace d'une internationale fasciste. Vieille rengaine. Peut-être que ce Monde d'hier restera dans l'histoire pour avoir réussi l'exploit de rendre Denis Podalydès ridicule pour la première fois de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur a ici tenté de refléter la problématique sous l’angle du pouvoir en place. Pour ce faire, le chemin qu’il se taille entre réalisme et romanesque, voire tragédie, est audacieux, mais s’expose à un certain emportement artistique.
Libération
par Camille Nevers
La théâtralité se cherche, ordonnant une scénographie de la raison d’état sur quoi le film voudrait porter un regard sévère, critique. Mais la psychologie reste opaque et les motifs de ce petit monde flottants et arbitraires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Un film noir, parfois trouble, entre manœuvres politiciennes, désillusion politique et secret d’État.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le mandat de Léa Drucker dans ce personnage fictif de présidente de la République est accompli, tout en subtilité et retenue. C’est d’elle que découle en grande partie l’authenticité du film, portrait tout en ombres d’une femme de pouvoir qui semble se juger depuis longtemps insuffisante en tant que mère.
Elle
Avec des dialogues incisifs, ce huis clos remporte nos suffrages.
Femme Actuelle
Un conte cruel et oppressant sur les silences du pouvoir.
L'Obs
Le cinéaste réussit la peinture réaliste de la solitude d’un pouvoir à l’agonie où Drucker et Podalydès, en secrétaire général de la présidence, se taillent la part du lion.
Le Parisien
« Le Monde d’hier » est un thriller sombre, tranchant, métallique. On se laisse happer par le suspense de l’intrigue et on se délecte de cette impression de pénétrer dans les coulisses de l’Élysée.
Les Echos
Diastème orchestre l'agonie d'un quinquennat et met en scène la politique française à la façon d'une tragédie antique. Un film à l'élégance sombre, porté par l'interprétation puissante de Léa Drucker en reine maudite de la Ve République.
Paris Match
Une plongée fascinante dans les arcanes du pouvoir et de l'âme humaine.
Positif
Efficacement écrit et très remarquablement interprété, Le Monde d’hier est un film beau et intrigant.
Sud Ouest
Diastème déploie une œuvre somptueuse qui en dépit de ses multiples atours, est singulièrement écorchée, solennelle sans doute mais exsangue.
Télé 7 Jours
L’ombre de l’excellente série Baron noir flotte sur ce thriller politique de Diastème, qui nous plonge au cœur du pouvoir, des intrigues de palais et de la solitude de son exercice.
Télé Loisirs
Émaillé de références à de vrais secrets politiques, ce film sur l'exercice du pouvoir est intelligent et profond.
Voici
Un thriller politique sombre, froid et théâtral dans sa forme, mais d'une brûlante actualité.
aVoir-aLire.com
Filmé comme un thriller politique et théâtral, Le Monde d’hier raconte plus que jamais que la politique est d’abord une affaire d’humanités. Une œuvre dense et profonde.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller politique bien ficelé, tout en restant très classique dans sa forme, nous immerge dans les coulisses du pouvoir avec son lot de secrets et de trahisons.
Les Fiches du Cinéma
Non dénué d’idées intéressantes, ce thriller politique se retrouve contraint par son dispositif théâtral.
Les Inrockuptibles
Diastème réussit un film désespéré sur la fragilité de la démocratie et la peur que peut nous inspirer demain.
Première
Ici la mise en scène discrète donne naissance à un huis clos étouffant qui fait la part belle à ses personnages et donc à ses interprètes. Des premiers aux seconds rôles, le résultat tient du sans-faute et joue un rôle essentiel dans l’ambiance de thriller tendu et mélancolique qui sous-tend le récit.
Télérama
Le film n’est jamais aussi convaincant, finalement, que lorsqu’il s’assume en huis clos théâtral et crépusculaire, mettant sobrement en scène un dilemme de palais servi par Léa Drucker et Denis Podalydès, remarquables dans l’autorité et émouvants dans la défaite.
Cahiers du Cinéma
Bonne idée, sur le papier, que de filmer la menace de l’extrême droite depuis un Élysée-mausolée où végète une aristocratie littéralement agonisante. Mais de cet Olympe mortifère, Diastème ne fait pas grand-chose, ou si peu. (...) Plutôt que de détricoter les maux de la Ve République, il en aura finalement reproduit l’élan fondamental : une hyper personnalisation du pouvoir politique.
Ecran Large
Le metteur en scène se perd totalement dans un dispositif poussiéreux, une scénographie digne d'un mauvais théâtre, et une écriture des personnages qui statufie les comédiens.
La Croix
Sur un sujet brûlant d’actualité, l’accession au pouvoir d’un candidat d’extrême droite, le film de Diastème accumule les invraisemblances et livre une vision extrêmement pessimiste de la politique.
La Voix du Nord
Un drame sans doute clairvoyant et bien renseigné sur les mœurs du pouvoir, mais dont les enjeux potentiellement gigantesques (on parle aussi sécurité, terrorisme et développement durable, en pointillé) sont étouffés par un dispositif étriqué.
Le Figaro
Un étrange déjà-vu s'empare assez vite du spectateur, lassé par la menace d'une internationale fasciste. Vieille rengaine. Peut-être que ce Monde d'hier restera dans l'histoire pour avoir réussi l'exploit de rendre Denis Podalydès ridicule pour la première fois de sa carrière.
Le Monde
Le réalisateur a ici tenté de refléter la problématique sous l’angle du pouvoir en place. Pour ce faire, le chemin qu’il se taille entre réalisme et romanesque, voire tragédie, est audacieux, mais s’expose à un certain emportement artistique.
Libération
La théâtralité se cherche, ordonnant une scénographie de la raison d’état sur quoi le film voudrait porter un regard sévère, critique. Mais la psychologie reste opaque et les motifs de ce petit monde flottants et arbitraires.