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Votre avis sur Emma. ?
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ce film est dans sa majorité d'un ennui .2 ou 3 choses de bien , mais l'ensemble est assez désolant . même si c est d'époque , c'est trop caricatural
Une belle romance avec un beau casting une belle photographie et de beaux costumes / décors. tous les ingrédients pour faire un bon film.
Emma. est un film d'époque réussi.
Je n'ai pas eu l'occasion de lire le livre de Jane Austen dont le film est l'adaptation, mais en tout cas on retrouve facilement l'univers de l'autrice anglaise. Les décors sont très beaux et colorés ; les costumes somptueux ; on est plongé dans l'Angleterre du XIXème siècle.
La distribution est de qualité à commencer par Anya Taylor-Joy qui confirme ici son statut d'actrice à suivre.
Je recommande.
Je n'ai pas eu l'occasion de lire le livre de Jane Austen dont le film est l'adaptation, mais en tout cas on retrouve facilement l'univers de l'autrice anglaise. Les décors sont très beaux et colorés ; les costumes somptueux ; on est plongé dans l'Angleterre du XIXème siècle.
La distribution est de qualité à commencer par Anya Taylor-Joy qui confirme ici son statut d'actrice à suivre.
Je recommande.
Photographie, Décors, Costumes, Paysages et BO opératique et illustrative : 4 étoiles
Complexité de la trame avec ces joutes, ces manigances, ces rebondissements : 1 étoile de moins.
Anya porte le film avec son joli minois et ses grands yeux écarquillés. Le personnage du pasteur en amoureux transi et mielleux est exceptionnel. Nous avons droit à une farandole de personnages haute bourgeoisie, de carrosses, de ballets, de danses, de mariages. C'est touffu, dense, un peu labyrinthique.
Le + drôle : le patriarche qui craint les courants d'air sur ses genoux et qui s'entoure de paravents! (nous rappelle que le ton est parodique).
En plus de la BO, on a droit à du HAYDN et sera du plus bel effet!
Complexité de la trame avec ces joutes, ces manigances, ces rebondissements : 1 étoile de moins.
Anya porte le film avec son joli minois et ses grands yeux écarquillés. Le personnage du pasteur en amoureux transi et mielleux est exceptionnel. Nous avons droit à une farandole de personnages haute bourgeoisie, de carrosses, de ballets, de danses, de mariages. C'est touffu, dense, un peu labyrinthique.
Le + drôle : le patriarche qui craint les courants d'air sur ses genoux et qui s'entoure de paravents! (nous rappelle que le ton est parodique).
En plus de la BO, on a droit à du HAYDN et sera du plus bel effet!
J'adore ce genre d'ambiance qui ressemble bcp à orgueil et préjugés même si il n'égalise pas se film . Enfin ces costumes me suffisent amplement. A voir
3 étoiles - Emma
Film délicieusement sympathique et distrayant. Il y a une belle mise en scène, des cadrages très bien pensés, un décorum raffiné, des acteurs bien dirigés et de l'humour bien amené. Alors, me direz-vous : pourquoi que 3 étoiles ? Le scénario est parfois un peu trop précipité, ce qui perturbe un peu la construction narrative. De plus, certains personnages ont un jeu trop superficiel ou trop maniéré (notamment celui de Anya Taylor-Joy). Bref, il y a un sentiment d'incomplétude et de discordance dans la perception de l'histoire racontée. Cela dit, malgré ces défauts, c'est un film très plaisant.
Film délicieusement sympathique et distrayant. Il y a une belle mise en scène, des cadrages très bien pensés, un décorum raffiné, des acteurs bien dirigés et de l'humour bien amené. Alors, me direz-vous : pourquoi que 3 étoiles ? Le scénario est parfois un peu trop précipité, ce qui perturbe un peu la construction narrative. De plus, certains personnages ont un jeu trop superficiel ou trop maniéré (notamment celui de Anya Taylor-Joy). Bref, il y a un sentiment d'incomplétude et de discordance dans la perception de l'histoire racontée. Cela dit, malgré ces défauts, c'est un film très plaisant.
Un film d'une grande beauté .
Chaque scène est un véritable tableau où le sens artistique prime.La vie devrait s'inspirer de cette oeuvre .Anya Taylor-joy est magistrale et réussie à faire oublier son échiquier..
A voir et a revoir.
Chaque scène est un véritable tableau où le sens artistique prime.La vie devrait s'inspirer de cette oeuvre .Anya Taylor-joy est magistrale et réussie à faire oublier son échiquier..
A voir et a revoir.
De jeunes oisifs anglais du 19eme siècles passent leur temps dans des bals, des invitations et autres promenades bucoliques, où ils se regardent en chien de faïence. Emma se mêle de tout ce qui ne la regarde pas, c'est le sujet du film. On se demande comment avec des personnages masculins aussi niais l'Angleterre a pu être la plus grande puissance de son temps. On baille, on s'ennuie ferme avec ces aristos campagnards sur le déclin qui n'attirent aucune sympathie. Au moins dans Raisons et Sentiments il se passait quelque chose.
Les décors sont beaux mais l'histoire est creuse, il ne se passe rien. Emma est une jeune fille riche qui s'ennuie et donne des conseils à une amie sur ses envies d'amour alors qu'elle n'a visiblement pas d'expérience. La série se contente de tout misé sur de bons acteurs.
D’Emma le livre le Jane Austen, il ne reste que le prénom. C’est fou que les metteurs en scène ne comprennent pas que c’est justement le mordant des livres de cette écrivaine qui a fait son succès. Dans ce film évidemment il est totalement inexistant. Le scénario très en longueur, les personnages sont fades, seule consolation les costume magnifiques même si les couleurs aussi fortes n’existaient pas à l’époque, on ne va même pas parler scènes ou des amoureux s’embrassent, ils n’osaient même pas se tenir à main en société. C’est un peu le complexe de Bridgerton, l’anachronisme qui dans cette série est probable puisqu’elle n’a pas une réelle référence historique.
Probablement l'adaptation d'"Emma" de Jane Austen que j'aime le moins parmi les quatre vues.
Scénaristiquement, c'est plutôt fidèle au roman, l'histoire est charmante et non dénuée de finesse.
Visuellement, je ne suis pas fan mais c'est très propre : rien ne dépasse, les décors sont ok et les tons pastels peuvent plaire. Les costumes sont beaux.
En revanche je n'ai absolument pas réussi à trouver les acteurs principaux convaincants. Anya Taylor-Joy et Johnny Flynn (Emma et Mr Knigthley) sont peu séduisants et, sans jouer mal, ne sont pas intéressants. De façon générale, les acteurs ne sont pas mauvais, mais pas particulièrement bons dans leurs rôles.
Bref, mitigé.
Scénaristiquement, c'est plutôt fidèle au roman, l'histoire est charmante et non dénuée de finesse.
Visuellement, je ne suis pas fan mais c'est très propre : rien ne dépasse, les décors sont ok et les tons pastels peuvent plaire. Les costumes sont beaux.
En revanche je n'ai absolument pas réussi à trouver les acteurs principaux convaincants. Anya Taylor-Joy et Johnny Flynn (Emma et Mr Knigthley) sont peu séduisants et, sans jouer mal, ne sont pas intéressants. De façon générale, les acteurs ne sont pas mauvais, mais pas particulièrement bons dans leurs rôles.
Bref, mitigé.
Jane Austen déclarait au sujet d'Emma "en dehors de moi, personne ne l'aimera vraiment" et il est certain que ce personnage n'est pas très sympathique (elle est pire dans le livre, mais fait notable, pleurniche moins que dans le film)
Roman d'apprentissage, aux accents policiers et au réalisme cruel, c'est aussi bien sûr un roman sentimental, dont on finit la lecture en se demandant comment les bons sentiments ont fini par triompher, au milieu de tant de ridicule, de mensonges et de faux semblants.
J'ai adoré l'idée de départ d'Automn de Wilde de s'extraire du classicisme de la BBC et de proposer une adaptation distanciée et esthétisante à la Wed Anderson (et A. de Wilde, confer son travail photographique), où ironie, 2nd degré, satire sociale (...) domineraient.
Les costumes et les décors sont magnifiques, l'image très léchée, certains acteurs (Bill Nighy, Miranda Hart, Mia Goth et Josh O' Connor) drôlatiques et je n'ai pas détesté la musique.
Mais... Ca coince au bout d'une trentaine de minutes. D'abord, car Automn de Wilde hésite entre une adaptation personnelle du roman d'Austen et la fidélité à une histoire somme toute sans grande surprise. Elle aurait pu avoir un parti pris plus ferme et s'amuser (et nous amuser) davantage, quitte à choquer les afficionados de l'écrivaine anglaise..
Ensuite, car le roman de Jane Austen mélange des genres qu'on croise rarement ensemble : roman sentimental et satire social par exemple. Or comment passer du sarcasme le plus venimeux à une leçon de vie, pas toujours éloignée de la morale de la famille Ingalls? Jane Austen y arrive. Automn de Wilde non, sachant que je ne connais pas un metteur en scène qui se soit attaqué à l'intégralité des thèmes d'un roman de Jane Austen dans leurs adaptations. Généralement, ils retiennent 20% de satire sociale et 80% de romance.
En bref, j'ai beaucoup aimé l'idée de départ de sortir du classicisme de la BBC et/ou de la guimauve sentimentale de la majorité des adaptations, et si l'ensemble est un peu bancal, ce film est plutôt agréable à regarder, ne serait-ce que pour la photo, les décors et les costumes très réussis.
Roman d'apprentissage, aux accents policiers et au réalisme cruel, c'est aussi bien sûr un roman sentimental, dont on finit la lecture en se demandant comment les bons sentiments ont fini par triompher, au milieu de tant de ridicule, de mensonges et de faux semblants.
J'ai adoré l'idée de départ d'Automn de Wilde de s'extraire du classicisme de la BBC et de proposer une adaptation distanciée et esthétisante à la Wed Anderson (et A. de Wilde, confer son travail photographique), où ironie, 2nd degré, satire sociale (...) domineraient.
Les costumes et les décors sont magnifiques, l'image très léchée, certains acteurs (Bill Nighy, Miranda Hart, Mia Goth et Josh O' Connor) drôlatiques et je n'ai pas détesté la musique.
Mais... Ca coince au bout d'une trentaine de minutes. D'abord, car Automn de Wilde hésite entre une adaptation personnelle du roman d'Austen et la fidélité à une histoire somme toute sans grande surprise. Elle aurait pu avoir un parti pris plus ferme et s'amuser (et nous amuser) davantage, quitte à choquer les afficionados de l'écrivaine anglaise..
Ensuite, car le roman de Jane Austen mélange des genres qu'on croise rarement ensemble : roman sentimental et satire social par exemple. Or comment passer du sarcasme le plus venimeux à une leçon de vie, pas toujours éloignée de la morale de la famille Ingalls? Jane Austen y arrive. Automn de Wilde non, sachant que je ne connais pas un metteur en scène qui se soit attaqué à l'intégralité des thèmes d'un roman de Jane Austen dans leurs adaptations. Généralement, ils retiennent 20% de satire sociale et 80% de romance.
En bref, j'ai beaucoup aimé l'idée de départ de sortir du classicisme de la BBC et/ou de la guimauve sentimentale de la majorité des adaptations, et si l'ensemble est un peu bancal, ce film est plutôt agréable à regarder, ne serait-ce que pour la photo, les décors et les costumes très réussis.
J'ai lu tous les romans, vu toutes les adaptations, celle-ci est un cauchemar.
De jolis décors qui feraient hurler n'importe quel amateur de réalisme historique, des costumes criards et bariolés, la vraisemblance de "Bridgerton", adieu l'étiquette et aucune subtilité. En somme, tout l'intérêt du roman à disparu pour laisser place à un film fade, des acteurs sur lesquels on mise beaucoup trop, des émotions surjouées et une tentative de remise au goût du jour travestie derrière un semblant de modernité qui laisse une œuvre sans âme. Décevant, vulgaire et ridicule. Pourquoi parler d'adaptation si on ne conserve que les personnages, et l'intrigue dans les grandes lignes ?
Le film est pas mal esthétiquement (même si ça reste très attendu, rien de surprenant depuis Wes Anderson) mais la volonté de faire vivre Emma l'handicape plus qu'elle ne le sert.
De jolis décors qui feraient hurler n'importe quel amateur de réalisme historique, des costumes criards et bariolés, la vraisemblance de "Bridgerton", adieu l'étiquette et aucune subtilité. En somme, tout l'intérêt du roman à disparu pour laisser place à un film fade, des acteurs sur lesquels on mise beaucoup trop, des émotions surjouées et une tentative de remise au goût du jour travestie derrière un semblant de modernité qui laisse une œuvre sans âme. Décevant, vulgaire et ridicule. Pourquoi parler d'adaptation si on ne conserve que les personnages, et l'intrigue dans les grandes lignes ?
Le film est pas mal esthétiquement (même si ça reste très attendu, rien de surprenant depuis Wes Anderson) mais la volonté de faire vivre Emma l'handicape plus qu'elle ne le sert.
Redzing
« Emma » fait partie des romans de Jane Austen les plus adaptés, allant de téléfilms de la BBC jusqu’à des versions cinémas, en passant par sa relecture californienne avec Alicia Silverstone ! En 2020, le cinéma a-t-il encore quelque chose à apporter à l’univers de Jane Austen, et vice-versa ? A l’image du point adjoint au titre « Emma. », Autumn de Wilde cherche à répondre par la positive, voulant ajouter des éléments rafraichissant à cette adaptation. A noter que de manière beaucoup plus pragmatique, la réalisatrice a expliqué ce curieux choix de ponctuation dans le titre par un jeu de mot tout à fait banal. En effet, le point (period en anglais) signifierait tout simplement que l’on est dans un film d’époque (period film en anglais) ! Bref, revenons au film… Le souci de l’intrigue du roman « Emma » est que la protagoniste est très antipathique. Une jeune femme immature, jouant les entremetteuses en manipulant un entourage crédule, et qui va se prendre ses propres rouages en pleine figure. Un handicap pour la plupart des adaptations, où l’on a du mal à s’attacher à cette marquise de Merteuil juvénile. « Emma. » cuvée 2020 saisit justement à bras ouverts le caractère antipathique du personnage, pour mieux dresser une satire acidulée de l’aristocratie de l’époque. Interprétée par une froide Anya Taylor-Joy, Emma est donc ici des plus calculatrices et implacables, avec une vision sans concession de l’ordre social. Néanmoins cela vient surtout de son immaturité, et du fait qu’elle n’a pas encore vu ou éprouvé de vrais sentiments. Elle changera en se rendant compte de ses propres émotions et de celles des autres. Tout cela est enrobé dans un univers proche d’une féérie qui masquerait un cauchemar. Musique classique, gros plans sur des visages souriant à l’excès, dialogues très polis, jeux de couleurs pastel extrêmement travaillés, costumes très élaborés, domestiques à la botte du moindre caprice, touches d’humour chez de vieux riches déconnectés… alors que les coups tordus et les cœurs brisés sont légions. A l’image de l’hypocrisie de l’aristocratie, on sent que toutes ces apparences sont prêtes à exploser pour révéler la vraie nature des personnages. Une explosion qui ne surviendra pas, l’adaptation restant fidèle à son matériel… et à une époque et un milieu relativement rigide. « Emma. » est ainsi une nouvelle version intéressante, moins académique que certains de ces prédécesseurs.
Une mise en place un peu longue mais un très bon développement des personnages qui rend le film très agréable en deuxième moitié.
La façon de parler des personnages et les dialogues sont superbement écrits et nous plongent dans le Royaume-Uni du 19ème.
La mise en scène est maîtrisée, et tend vers le virtuose pour certaines scènes.
On notera l'incroyable performance d'Anya Taylor-Joy qui vient sublimer le tout.
En somme, un film sans prétention qui m'a très agréablement surpris:
A voir!
La façon de parler des personnages et les dialogues sont superbement écrits et nous plongent dans le Royaume-Uni du 19ème.
La mise en scène est maîtrisée, et tend vers le virtuose pour certaines scènes.
On notera l'incroyable performance d'Anya Taylor-Joy qui vient sublimer le tout.
En somme, un film sans prétention qui m'a très agréablement surpris:
A voir!
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