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Tanguy Faucon
5 abonnés
105 critiques
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1,5
Publiée le 20 février 2023
"American Nightmare 5" est le dernier opus de la célèbre série de films d'horreur qui suit un monde dystopique où le crime est légalisé pendant une nuit chaque année. Dans ce cinquième volet, le scénario se concentre sur un groupe de personnes qui tentent de survivre à cette nuit dangereuse et effrayante.
Malheureusement, ce film ne parvient pas à captiver l'attention du public comme les précédents volets. L'intrigue est prévisible et manque de surprise, avec des personnages plats et stéréotypés qui ne sont pas assez développés pour susciter l'empathie du public. Les dialogues sont maladroits et les scènes d'action sont peu impressionnantes, avec des effets spéciaux peu convaincants.
Le rythme du film est également incohérent, alternant entre des moments calmes et des séquences d'action qui ne parviennent pas à maintenir l'intérêt du public. De plus, l'histoire manque d'originalité et ressemble plus à une copie des précédents volets, sans apporter de véritable innovation à l'univers de la série.
En somme, "American Nightmare 5" est une déception pour les fans de la série. Malgré des scènes d'action occasionnellement divertissantes, le manque de profondeur des personnages et de l'histoire rendent le film plutôt banal et sans grand intérêt. Les fans de la série pourraient être déçus par ce nouvel opus, et les nouveaux spectateurs pourraient trouver le film peu captivant et peu effrayant.
AMERICAN NIGHTMARE 5: SANS LIMITES (2021): La Purge: avoir le droit de tuer pendant 12h, laver l'Amérique de tous ses maux. Des extrémistes Texans, bien haineux, vont s'en donner à cœur joie. Tellement heureux de faire ce nettoyage par les armes, qu'ils s'autoriseront toutes les libertés. Assouvir cette passion, cette soif du crime sans poursuite judiciaire. Sauve-qui-peut pour ces émigrants mexicains, sauve-qui-peut pour ces riches américains bien pâlots. Une Amérique à feu et à sang, de nuit comme de jour. Haine et violence dans tous les coins de rue. Des règlements de comptes à la poursuite de fuyards dans une dynamique de film préoccupante. "American Nightmare 5", le premier de la série que je découvre, loin de me décevoir, me donnera l'envie de m'intéresser aux épisodes précédents. Un bon film d'action.
On aurait pu croire que la Purge - désolé mais le titre original est tellement plus significatif ! - allait déchoir en qualité épisode après épisode, au point de se retrouver dans les bacs de ces DTDVD tournés dans des friches industrielles russes, mais il n’en est rien : parce qu’elle parvient à dénicher un angle d’attaque inédit à chaque nouvel épisode, et qu’elle rebondit sur les peurs et les débats qui font rage aux Etats-unis (quitte à parfois les devancer, comme ici), la franchise est parvenue à éviter le simple exercice de style redondant et à aborder presqu’à chaque fois des thématiques intéressantes. Cette fois, ce sont des migrants mexicains, ceux qui risquent leur vie pour passer de l’autre côté du Rio Grande, qui vont tout mettre en oeuvre pour franchir le fleuve dans l’autre sens, accompagné de quelques Américains qui ne croient plus à un avenir digne dans leur propre pays, dans un intéressant renversement du paradigme historique. Ce cinquième volet explore avec une certaine réussite le rapport schizophrène que les Américains entretiennent avec leurs voisins du sud arrivés clandestinement, nécessaires à l’économie, bienvenus lorsqu’ils s’acquittent des basses besognes mais sans cesse ramenés à leur nature exogène et leur supposé refus de s’intégrer. Cette fois, le scénario part du principe que la purge échappe complètement à ses initiateurs et qu’une masse critique de purgeurs fanatisés décide qu’elle ne s’arrêtera que lorsque l’Amérique aura été nettoyée de tous ses indésirables, ce qui permet au film d’aligner quelques séquences de guérilla urbaine d’excellente tenue. C’est pourtant un tout autre élément qui confère au résultat une résonance particulière : initialement programmé pour l’été 2020, ce cinquième volet est finalement sorti en salles un an plus tard. Entretemps, le Capitole avait été pris d’assaut par des hordes de "patriotes" convaincus qu’ils avaient le droit de substituer, dans la violence, leur loi à celle de l’Etat pour “rendre sa grandeur à l’Amérique” : il arrive que la réalité dépasse la fiction.
4 561 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 24 octobre 2021
Je n'avais pas de grandes attentes pour ce film car je n'avais pas regardé tous les films précédents de cette franchise et l'intrigue est plus ou moins la même dans tous ces films donc pas la peine de les regarder tous. American Nightmare 5 : Sans Limites le titre du film est tout a fait judicieux d'ailleurs car il semble en effet qu'il n'y a aucune limite a la bêtise dans cette franchise...
« The Forever Purge » spoiler: ne se termine pas après 24 heures, car c'est une excellente satire politique et une allégorie du fascisme qui sévit aux États-Unis, spoiler: du génocide des peuples autochtones aux groupes terroristes néonazis modernes.
L'AmériKKKe aryenne des suprémacistes blancs et des nationalistes chrétiens, qui veulent « purger et purifier » le territoire spoiler: qu'ils se sont approprié via le génocide précité .
Les citoyens américains, civilisés et pacifiques, rescapés finissent par spoiler: échapper à l'enfer nazi et trouver refuge au Mexique et au Canada .
Le film se termine sur spoiler: une Amérique en feu, livrée à la barbarie, dont le sort est incertain .
Le prochain épisode devrait commencer par spoiler: l'engagement des troupes des Nations Unies, pour lutter contre les nazis du monde, et se terminer par le démantèlement de toutes les nations basées sur le suprémacisme (blanc) et le nationalisme (chrétien), avec un générique de fin donnant un indice sur la création de « United Earth (Terre Unifiée) », pour protéger la vie sur Terre et faire respecter l'État de droit, afin de surmonter et dépasser la phase prédatrice du développement humain .
« Le nationalisme est une maladie infantile. C'est la rougeole de l'humanité." – Albert Einstein
« Le racisme est une maladie mentale. » – Jane Elliott
« Le racisme est bien l’infirmité la plus répugnante parmi les diverses laideurs de l’humanité. » – Claire Martin
« La religion est le soupir de la créature accablée, l'âme d'un monde sans cœur, de même qu'elle est l'esprit d'un état de choses où il n'est point d'esprit. Elle est l'opium du peuple. » – Karl Marx
Moi, j'ai passé un très bon moment devant ce film! Le scénario est plus ou moins le même, ça peut un peu être soulant à la fin, mais j'aime toujours! Une des franchises que j'aime le plus chez Blumhouse. ^^
spoiler: Ce cinquième de franchise permet de la renouveler. Nous sortons de la ville pour un déroulement au Texas au pays des cowboys et des émigrés mexicains. La dimension politique joue sur les armes, les Mexicains émigrés et frontaliers, le racisme ou les riches versus les pauvres.
Le fait que certains des assaillants soient connus est aussi une nouveauté dans la franchise. Que ce soit le cowboy, ou la bande de motards rencontrés dans la nuit, qui souhaitent se venger et poursuivent nos personnages principaux jusque dans les collines du désert. Dans les précédents films, le fait que les assaillants soient anonymes était une force pour la tension.
La participation des Indiens natifs est une bonne idée, mais insuffisamment exploitée, trop esquissée et restant finalement à la marge.
Le film fait trop téléfilm sur la forme, peut-être à cause des cadrages des acteurs, mais cela vient peut être de la lumière naturelle, le film est principalement diurne, à l'envers de la noirceur du sujet et de certains personnages.
Mais la tension est bien gérée et exploitée, ce qui fait que cette franchise est dans son ensemble de très bonne qualité, sur un postulat qui fait réfléchir et est terrifiant en lui même.
Un peu trop bourrin mais ça reste divertissant dans l'ensemble. Les personnages sont très peu travaillés et certains limite supportable. Il y a cependant de l'innovation dans le scénario par rapport aux précédent opus mais cela ne suffit pas à sauver la mise.
catastrophique !!! toute la genèse de cette franchise s effondre . la purge ,c est 12 heures ? pas 24 h, 3 semaines ? voir plus. ..bref , ce film est le pire pour moi en 2024.
Un film ultra manichéen avec les méchants blancs racistes d'un côté et les gentils progressistes de l'autre, avec un nombres de clichés incalculables.. bref esthétiquement c'est propore mais alors le scénario.. un fantasme d'extrême gauche sans finesse comme nous avons l'habitude aujourd'hui
Très franchement, bien meilleur que prévu je m'attendais à un navet sorti uniquement pour l'argent, mais au final, c'est mon deuxième préféré de la saga, le 2 reste pour moi le meilleur. Je manque peut-être un peu d'objectivité sachant que c'est ma saga d'horreur préférée. Dès le début j'étais déjà un peu rassurée, car c'est Blumhouse qui s'est occupé du projet et jamais ils ne m'ont déçu ! Google assistance il y a également James deMonaco, réalisateur des trois premiers volets, qui a participé au scénario.
AUCUN INTERET!!! c'était pourtant une surprise de voir que la purge continuait après la nuit, mais c'est tellement prévisible . ils auraient du arrêter au n°1 une étoile pour les magnifiques paysages
Le vrai cauchemar est pour le spectateur qui attend un bon film.
5ème volet de la saga American nightmare (the purge en version originale) ce "The Forever purge" nous place un groupe mêlant mexicains et américains à la frontière entre les deux pays, au moment de la purge annuelle... Là où tout bascule c'est lorsque la purge prend officiellement fin, et que de nombreux pratiquants n'entendent pas en rester là. À part quelques passages d'action assez haletants, il faut bien reconnaître que ce 5ème opus des American nightmare est bien pauvre, avec un scénario assez faiblard ne creusant pas assez ni les inégalités sociales, ni les tensions communautaires. Même écueil dans la dépeinte des personnages, pas assez approfondie ni marquante. La réalisation est également à la peine avec un niveau global digne d'un téléfilm (mis à part quelques plans séquences relativement corrects) l'ensemble sonne comme assez creux, assez vide et plutôt insipide. Les rebondissements de situation ne surprennent jamais et l'ennui guette à l'horizon, bref, du bien beau gâchis, la saga The purge n'a jamais aussi bien porté son nom que dans ce volet où on a le triste sentiment que l'auteur n'a décidément plus rien à raconter. Et le pire c'est que même les amoureux d'action ou d'horreur en général seront déçus. Alors j'y vais pas.
Une grande déception, plus rien à voir avec l'histoire d'origine. Là c'est presque une guerre civile, il n'est plus question de "purge" au sens propre. L'histoire n'est pas prenante. C'est juste bang bang coup de feu tire à droite à gauche. Bref on est loin du premier volet qui était vraiment prenant.