American Nightmare 5 : Sans limites : Critique presse
American Nightmare 5 : Sans limites
Note moyenne
3,2
13 titres de presse
20 Minutes
Filmsactu
L'Ecran Fantastique
Le Monde
Le Parisien
Mad Movies
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
Ecran Large
Libération
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il n’est pas facile de se renouveler pour le cinquième volet d’une franchise à succès. C’est pourtant ce parvient à faire American Nightmare 5 : Sans limites.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Rythmée, efficace, bien jouée et bien emballée par Everardo Gout, ce cinquième épisode, toujours écrit par James DeMonaco, offre à la saga de nouvelles perspectives et donne au spectateur de quoi passer 1h45 de tension devant une bonne série B plus rusée qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Une excellente surprise.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Âpre, réaliste, perturbant, American Nightmare 5 : Sans limites se construit progressivement sur des scènes d’action et de suspense traitées avec une réelle maîtrise.
Le Parisien
par La rédaction
Un solide mélange d’action, d’horreur, et même de western, avec un savoureux renversement des rôles puisque, ici, ce sont les Américains qui veulent émigrer au Mexique, et pas l’inverse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Les "American Nightmare" n'ont pas leur pareil pour saisir les idées qui flottent dans l'air du temps, et en faire le carburant d'une perpétuelle reconfiguration du concept de départ.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Plus de limites dans ce western au nihilisme absolu, toujours produit par Blumhouse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Suite directe du troisième épisode, ce cinquième volet rebat un peu les cartes, lorsque des “purgeurs” décident d’enfreindre les sacro-saintes règles. Cette sorte de road movie infernal, renouant presque avec l’esprit du second opus, se révèle une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Assumant son caractère grand-guignolesque dans l’inattendue séquence de la salle vide projetant le Dracula de Browning, ce divertissement habile énonce sans doute une alternative politique simple (vivre-ensemble ou barbarie), mais pas si dystopique.
Première
par François Léger
Le scénario de James DeMonaco (créateur de la saga) slalome astucieusement entre les clichés, dommage que le réalisateur Everardo Gout peine à retranscrire visuellement la tension et l’ampleur de la situation. Cependant pas de quoi fuir cet ultime (?) volet, qui a le mérite de revivifier une franchise qu’on pensait exsangue après quatre films et une série.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Simon Riaux
Trop éloigné de ses racines, politiquement grossier et réalisé sans passion, ce nouveau chapitre ennuie poliment.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Boulevard inespéré pour une satire politique et sociale ultraféroce [...]. On devra hélas se contenter d’un commentaire pataud, surligné au Stabilo par des références qui goûtent nettement moins l’acide que la tarte à la crème, enveloppé dans un gros burrito saignant tenant davantage du téléfilm de deuxième partie de soirée ou d’une partie d’escape game que du film d’action à proprement parler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Michel Bezbakh
Le message, politique, est aussi fin que les dialogues . Purge ou cauchemar, cette franchise ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Il n’est pas facile de se renouveler pour le cinquième volet d’une franchise à succès. C’est pourtant ce parvient à faire American Nightmare 5 : Sans limites.
Filmsactu
Rythmée, efficace, bien jouée et bien emballée par Everardo Gout, ce cinquième épisode, toujours écrit par James DeMonaco, offre à la saga de nouvelles perspectives et donne au spectateur de quoi passer 1h45 de tension devant une bonne série B plus rusée qu’il n’y paraît.
L'Ecran Fantastique
Une excellente surprise.
Le Monde
Âpre, réaliste, perturbant, American Nightmare 5 : Sans limites se construit progressivement sur des scènes d’action et de suspense traitées avec une réelle maîtrise.
Le Parisien
Un solide mélange d’action, d’horreur, et même de western, avec un savoureux renversement des rôles puisque, ici, ce sont les Américains qui veulent émigrer au Mexique, et pas l’inverse.
Mad Movies
Les "American Nightmare" n'ont pas leur pareil pour saisir les idées qui flottent dans l'air du temps, et en faire le carburant d'une perpétuelle reconfiguration du concept de départ.
Le Journal du Dimanche
Plus de limites dans ce western au nihilisme absolu, toujours produit par Blumhouse.
Les Fiches du Cinéma
Suite directe du troisième épisode, ce cinquième volet rebat un peu les cartes, lorsque des “purgeurs” décident d’enfreindre les sacro-saintes règles. Cette sorte de road movie infernal, renouant presque avec l’esprit du second opus, se révèle une bonne surprise.
Positif
Assumant son caractère grand-guignolesque dans l’inattendue séquence de la salle vide projetant le Dracula de Browning, ce divertissement habile énonce sans doute une alternative politique simple (vivre-ensemble ou barbarie), mais pas si dystopique.
Première
Le scénario de James DeMonaco (créateur de la saga) slalome astucieusement entre les clichés, dommage que le réalisateur Everardo Gout peine à retranscrire visuellement la tension et l’ampleur de la situation. Cependant pas de quoi fuir cet ultime (?) volet, qui a le mérite de revivifier une franchise qu’on pensait exsangue après quatre films et une série.
Ecran Large
Trop éloigné de ses racines, politiquement grossier et réalisé sans passion, ce nouveau chapitre ennuie poliment.
Libération
Boulevard inespéré pour une satire politique et sociale ultraféroce [...]. On devra hélas se contenter d’un commentaire pataud, surligné au Stabilo par des références qui goûtent nettement moins l’acide que la tarte à la crème, enveloppé dans un gros burrito saignant tenant davantage du téléfilm de deuxième partie de soirée ou d’une partie d’escape game que du film d’action à proprement parler.
Télérama
Le message, politique, est aussi fin que les dialogues . Purge ou cauchemar, cette franchise ?