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    Halloween Kills
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    Numéro ⚡️9⚡️
    Numéro ⚡️9⚡️

    21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Beaucoup de références aux anciens Halloween , je m’attendais à bien pire vu les critiques ,mais globalement il les cool , pas le temps de s’ennuyer, un Michael Myers en forme et qui perd pas son temps , assez surpris de l’ora que dégage le film , des fois on se croirait dans les années fin 70 Pour bien comprendre le délire Halloween je vous conseille cher lecteurs de visionner dans l’ordre, Halloween 1 et 2 de l’époque, Halloween 20 ans après, Halloween 2018 et sa suite Kills auquel je me suis moins ennuyée, bien entendu les Halloween 1 et 2 remake en version longue de préférence , de Rob Zombie une dinguerie ! Et si vous êtes curieux faite vous un Halloween 3 qui n’a rien avoir avec l’histoire mais qui et unique en sont genre , d’ailleurs Halloween kills en fait une référence vis à vis des trois masques 🎃
    Gruez A
    Gruez A

    14 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Comme ils y a 40ans maison plus hôpital...🎃🗡️ Mais Michael n'est pas dupe et ce doute bien du piège que ont lui prépare. En temps que grand fan de la saga et adoré. Malagré les critiques presse. spoiler:
    la grande question est ce que le croc mitend s'arrêtera t'il un jour ? spoiler:
    Arnaud Bragard
    Arnaud Bragard

    28 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    quelques scènes de tentions superbes mais complètement gâchés par du n'importe quoi... la fin est too much et incroyablement bête.
    Guillaume El Baco
    Guillaume El Baco

    2 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Halloween Kills est brutal, sanglant, dans la veine des Halloween de Rob Zombie. Certains passages sont gênants tant ils ne collent pas avec le récit (le discours de Tommy Doyle dans le bar ou l'hystérie collective des habitants de Haddonfield qui poursuivent le premier inconnu sans raison). Mais le plaisir de revoir Michael Myers, Laurie Strode et toute une flopée d'acteurs sur le retour est intact et les scènes de flashbacks en 1978 sont ahurissantes et finement réalisées. Pas le meilleur des Halloween mais bien meilleur que d'autres épisodes de la saga.
    Mickael S
    Mickael S

    15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2021
    Mon dieu que c est nul... un telefilm avec des acteurs très mauvais . Jamie lee curtis inexistante honteux ce film l arnaque du siècle car le trailer vendait du rêve... Le trailer m'avait hypé de fou ! Le precedent m'avais surpris je trouve pas mal avec le piege etc Mais la c'est juste pas possible , ils detruisent vraiment nos licences qu'on aiment tant !
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Halloween 2018, quarantième anniversaire de la saga initiée par John Carpenter, Michael Myers réenvahissait les écrans de cinéma et la vie de sa proie fétiche, Laurie Strode, dans une suite rétroactive ne gardant que le film de 1978 comme base de sa mythologie. Le succès au box-office fût immense, preuve que l'aura du boogeyman mutique n'a eu de cesse de fasciner le public au fil des décennies, mais le film en lui-même n'était hélas pas à la hauteur de nos attentes.

    Bien sûr, les retrouvailles entre Jamie Lee Curtis et son prédateur préféré avaient su titiller notre fibre nostalgique. Le portait d'une Laurie Strode encore brisée quarante ans après sa si éprouvante nuit de babysitting, obsédée par l'idée d'une potentielle nouvelle confrontation avec Myers dans l'espoir d'éliminer une bonne fois pour toute le traumatisme ayant régi sa vie, avait su nous toucher, d'autant plus que l'ombre de la tragédie avait été jusqu'à déteindre et rendre difficile ses relations avec les descendantes Strode (fille et petite-fille interprétées par Judy Greer et Andi Matichak). L'évasion de Michael Myers allait amener les trois femmes à réévaluer la puissance de leurs liens dans l'épreuve, créant une union transgénérationelle capable de mettre de sacrés bâtons dans les roues du croquemitaine tout en pansant les plaies d'une famille entière. Le parti pris était bien pensé et était accompagné de sympathiques trouvailles (une scène d'ouverture glaçante à Smith's Grove, un carnage en plan-séquence ou encore un final façon revenge-movie) mais, malgré tout, le film de David Gordon Green donnait curieusement l'impression de passer à côté de son sujet, à la fois en traitant de façon expéditive la plupart de ses meilleurs atouts et en se dispersant autour d'éléments anecdotiques (une fournée de nouveaux personnages manquant d'envergure, la fausse bonne idée d'un doppleganger contemporain de Loomis, etc). "Halloween" 2018 se retrouvait alors gouverné par un rythme en dents-de-scie, essayant de se raccrocher mordicus au passé en dupliquant de façon éhontée des scènes cultes du film de 1978, avec souvent une inversion des rapports des forces des protagonistes d'origine, et en démultipliant la violence meurtrière de Michael Myers à Haddonfield sans parvenir à insuffler de la tension derrière chaque coup de lame distribué par le personnage.
    Le goût d'inachevé était tel qu'on en venait même à penser que, sur un dispositif similaire, "Halloween, 20 après" avait su bien mieux comprendre l'essence de la franchise pour en raviver la flamme en 1998.

    Toutefois, aujourd'hui, on est bien sûr prêt à laisser une chance à "Halloween Kills" de nous convaincre, par amour pour les virées sanguinaires du tueur au masque impassible mais aussi parce qu'il a été établi depuis que les plans de David Gordon Green ne se limitait non pas à un film mais à une trilogie.
    L'introduction de ce nouvel opus a d'ailleurs tendance à nous rassurer en effectuant un retour inattendu aux suites du film originel, laissé à l'état de friches par l'effet rétroactif du précédent, pour développer un personnage connexe dans le sombre passé d'Haddonfield. Il y a effectivement quelque chose d'intrigant à aller voir de quelle façon traumatisante Michael Myers a également marqué les habitants d'Haddonfield en dehors du clan Strode et c'est ce que "Halloween Kills" va s'évertuer à faire en ramenant plusieurs figures historiques de 1978 encore victimes du souvenir du tueur. L'intention est louable, surtout qu'elle va donner ici une ampleur politique inédite à la saga en faisant de la population d'Haddonfield le symbole d'une Amérique trumpiste qui laisse bien volontiers libre cours à l'extériorisation primaire de ses peurs quand une étincelle -enfin un énorme incendie ici en la personne de Myers- cherche à les attiser. En lançant tout Haddonfield aux trousses de Myers pour montrer la déviance d'un effet de masse guidé uniquement par la terreur, David Gordon Green tenait sans doute là un degré de lecture original à donner aux agissements de Myers dans le but de renvoyer ceux d'une ville -et, plus largement, d'un peuple- à ses propres responsabilités mais le traitement va avoir un mal fou à se montrer à la hauteur de ces ambitions.

    D'abord, disséminée dans un film intermédiaire entre deux autres, la présence de cette thématique donne le sentiment de n'être finalement qu'un bouche-trou avant que le clan Strode ne reprenne les choses en mains dans l'ultime opus, les trois générations de femmes sont ici reléguées au second plan, simples instruments appelés de temps à autre au service du discours, en attendant que la dernière partie leur offre un rôle évidemment un peu plus conséquent, histoire de relancer la machine et de rappeler qui sont les héroïnes et premières victimes de cette histoire. Ensuite, l'écriture autour de la montée en puissance populaire est tout simplement mauvaise : le retour de personnages du passé sonne trop souvent faux dans l'évocation grossière de leur douleur commune (pas aidé par une interprétation moyenne) ou dans la fatalité du sort de certains (celui de l'infirmière assistante de Loomis, à nouveau présente ici, était bien plus fort dans "H20" par exemple), les mouvements de foule de plus en plus irrationnels tombent dans l'exagération la plus facile et, enfin, le manque de conviction de l'ensemble ne fait que rappeler les errements d'un "Halloween" 2018 par son incapacité à tirer le meilleur d'éléments pourtant a priori pertinents.
    Laissé la plupart du temps les mains libres par l'agitation vaine de la populace, l'ami Michael Myers vaque à ses occupations de carnage, visant sans mal le record de son body-count personnel en un film, mais, encore une fois, le massacre tombe dans une sorte de routine où la diversité et le nombre de mises à morts ne viennent jamais gommer leur cruel manque d'impact à l'écran, bien loin de l'intensité de la seule présence du personnage dans le film de Carpenter ou de sa sauvagerie bestiale au sein des relectures de Rob Zombie.

    Doté d'un rythme bien plus soutenu que son prédécesseur et d'une bande-son encore une fois savamment orchestrée par John Carpenter, "Halloween Kills" réussit tout de même l'exploit de se laisser visionner sans trop d'ennui, l'efficacité de quelques séquences est même indéniable, mais son statut d'interlude cherchant à se fixer artificiellement sur un nouvel angle pour temporiser ne trompe jamais, à l'image de son final loupé dans les grandes lignes et qui cristallise à peu près tous les défauts du long-métrage aussi bien par sa portée symbolique que par la teneur de son cliffhanger. En espérant que "Halloween ends" terminera cette trilogie de manière plus consistante, ce qui sera probablement la dernière confrontation entre Laurie Strode et Michael Myers mérite un feu d'artifice bien plus conséquent que ces deux premiers films.
    soundsmatt
    soundsmatt

    35 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2021
    Concret, va droit au but, le mal doit mourrir ce soir...
    Une excellente suite liée directement au précédent, mais cette fois-ci, l'intrigue c'est la ville qui chasse le mal. Différent, mais clairement une suite honnête. On ne tourne pas autour du pot : violence et comique, bain de sang moderne, le tout en respectant toujours les codes du slasher et du premier film de 78. Une photographie plus que particulière qui berce vraiment dans l'ambience du film original.
    L'interprétation de Courtney est remarquable au plus au point, et l'un des meilleurs de la franchise intégrale (mise à part l'irremplaçable Nick Castle). J'enlève un demi, malheureusement pour la participation spoiler: de Jamie Lee Curtis qui n'a juste pas partagé aucune scène avec sa source d'énergie et de vie, Michael.
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    On ne compte plus les suites, remakes, reboots et autres réinventions entourant le mythe de l’un des croque-mitaines les plus célèbres du grand écran : Michael Myers. Voire peut-être le plus célèbre et surtout celui à l’origine d’un sous-genre qui revient à la mode au fil des ans : le slasher. Si on les compte tous, ce tueur masqué approche bien la vingtaine de films et donc plusieurs centaines de morts à son actif. Et dans ce « Halloween kills » il semble battre tous les records de victimes, peut-être d’ailleurs l’un des buts de David Gordon Green. Le rythme du film est très soutenu, ce qui est l’une de ses qualités et c’est aussi certainement par le fait qu’il soit l’opus du milieu de cette nouvelle trilogie autour de « Halloween » et de son illustre tueur masqué. Les présentations sont déjà faites et on n’en est pas encore à la conclusion donc on peut décimer du quidam à profusion. Le cinéaste et ses scénaristes mettent donc ici en scène purement et simplement un carnage du tueur durant plus d’une heure et demie. Ce qui est à la fois réjouissant (c’est pour cela qu’on va voir ce type de films) mais aussi un peu frustrant (rien de neuf sous le soleil de la saga).



    Il y a un nombre de victimes pléthorique qui fait que les amateurs de gore et de meurtres ne seront pas déçus. On ne s’ennuie pas, le sang coule à profusion mais difficile d’innover dans les mises à mort et peu sont mémorables hormis par leur violence sèche et crue. On n’est pas dans « Scream » ici, descendant de ce siècle au genre créé par « La Nuit des masques », le tout premier film de la saga. En gros, le tueur ne joue pas avec ses victimes. Il tue. Point. Et Gordon Green planche plutôt sur la quantité que la qualité avec brio. Cependant, on commence à voir les limites de cette nouvelle trilogie. La saga originale s’était enlisée dans des suites à n’en plus finir au point d’en devenir ridicule. Le remake de Rob Zombie et sa suite étaient dignes d’intérêt mais sont déjà oubliés. Le retour de Jamie Lee Curtis dans la saga originale que l’on a déterré avec deux films (« Halloween, 20 ans après » et « Halloween résurrection ») étaient des plaisirs coupables amusants mais rien de plus. Le projet de Gordon Green de faire une suite directe du premier film avec une trilogie sentait la hype et le film avait été bien reçu alors qu’il n’avait rien de transcendant. Un peu surcoté donc mais appliqué c’est certain; et voulant redonner sérieux au genre et à ce tueur mythique. Cette seconde partie prend étonnamment une autre direction et ose tout... et parfois n’importe quoi.



    Gordon Green nous offre donc une espèce de grand huit de meurtres et de violence mais son script semble partir dans tous les sens dans un joyeux et sanglant bordel. Il y a des images des films originaux, des flashbacks ajoutés mettant en scène des personnages âgés du film original de Carpenter, des retours sur le premier film de la trilogie et des ajouts à la mythologie de la saga entière! Tout cela oui et ça fait un peu beaucoup surtout que le montage est quelque peu foutoir. Le script ici est assez idiot et pourtant on a parfois du mal à suivre avec tous ces personnages dont les noms s’entremêlent à travers tous les films. Le premier épisode faisait donc un peu illusion par son côté sombre et premier degré, ici il frôle parfois la surenchère et le grotesque en rentrant dans le slasher pur et dur. Les fans crieront aussi certainement au sacrilège à cause de l’épilogue qui démystifie le tueur tout en lui octroyant une part de mythologie en plus. Risqué et pas sûr que le mythe y gagne. Myers incarne le Mal et c’est surligné plus que de raison. Ensuite, la tentative d’injecter un côté psychose générale à la population d’Haddonfield avec chasse aux sorcières et loi du Talion ne fonctionne pas du tout et toute cette partie est vaine. Une partie où s’illustre d’ailleurs Jamie Lee Curtis, complètement inutile ici, tout comme sa fille et sa petite-fille. Et une partie qui a du mal à raccrocher les wagons avec le reste. Au final, « Halloween kills » est la suite d’une suite de film culte, totalement foutraque, qui ose pas mal de choses mais ne le fait pas toujours bien. Heureusement, ça va vite, c’est sans concession au niveau des meurtres et on se montre plus tolérant sachant que c’est un épisode transitoire. Mais en sortant de la salle, on ne peut s’empêcher de se demander si tout cela était bien nécessaire...



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    FaRem
    FaRem

    8 647 abonnés 9 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    "Halloween Kills" est la suite directe du film sorti en 2018 avec toujours David Gordon Green à la réalisation. Plus qu'une suite, c'est un film qui renoue avec les précédents films de la franchise avec quelques flashbacks et le retour de certains personnages ou plutôt survivants. Un choix assez intéressant, l'un des rares de ce nouvel opus, qui permet d'ancrer l'intrigue encore plus dans l'histoire de cette ville qui a tant souffert au cours des dernières décennies. Ces massacres, ces nombreux drames ont uni et lié ces gens à jamais, notamment les survivants et proches des victimes. Et cette fois-ci, ils sont bien décidés à ne plus se laisser faire et à prendre les choses en main. Après les événements du précédent, le rôle de Jamie Lee Curtis est beaucoup plus limité et le film est plus une sorte de Haddonfield vs Michael Myers qu'un affrontement entre Laurie Strode et Michael Myers. Si "Halloween Kills" est un slasher classique, je ne sais pas si on peut dire que c'est un "Halloween" classique et dans l'esprit des précédents. Peut-être que je dis des bêtises, car je ne me souviens pas avec précision de tous les autres films, mais je ne crois pas que Michael était capable de se taper avec plusieurs personnes à la fois comme s'il s'agissait d'un film d'action... C'est le cas ici et cela semble un peu contre nature. Autre différence, il est bien plus violent que par le passé. Autrefois, il passait à l'acte avant de s'en aller tranquillement en marchant alors que là il semble prendre son temps et surtout du plaisir à tuer ses victimes. Cela s'explique notamment que c'est bien plus personnel que par le passé. En tout cas, les scènes de meurtres sont bien réussies en étant aussi sanglantes que violentes. La principale déception se situe au niveau de l'ambiance qui est loin de celle de l'original ou même du précédent. Il y a trop de scènes inintéressantes entre ces déchainements de violence. Ce "Halloween Kills" est distrayant par moments, notamment quand Michael est là, mais c'est un peu poussif le reste du temps. Bref, c'est pas mal, mais pas aussi bien que le précédent.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    912 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Une suite pas terrible du tout,expédiée à la va-vite avec un Michael Myers encore plus surhumain qu'à l'accoutumée (alors qu'avant son aura mystérieuse et fantomatique rendait le tout crédible), une Laurie Strode qui vocifère mais n'a rien à jouer (elle passe tout le film dans sa chambre d'hosto c'est abusé) et des persos secondaires (gros focus du film) tous plus attardés les uns que les autres.

    Il y a une volonté plutot bienvenue de montrer le trauma des habitants vis-à-vis de Myers, et de dépeindre un mouvement d'union proactif contre cette menace, mais le tout est fait de manière superficielle au possible


    Pire, la tension est réduite au strict minimum, et il faut attendre le climax pour revenir à quelque chose d'un poil plus tenu plutot que du meurtre gore et gonzo sans réel poids ni frisson.


    Bref.. un ptit loupé qui passe avec un combo pizza-bières néanmoins, et qui dispose heureusement d'une durée peu importante, et de meurtres violents et réguliers pour tenir éveillé.
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