Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
POUR - Entre héritage et innovation, "Halloween Kills" regorge de belles idées de mise en scène [...] aménageant même d’étranges visions poétiques, comme celle de ses gamins rebelles jouant dans la nuit sur une balançoire. Tout en s’en démarquant dans son esthétique et ses choix de représentation, le cinéaste renoue avec brio avec l’essence métaphysique du mal carpenterien.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Généreux jusqu'à l'excès, ultra-violent jusqu'à l'orgasme régressif, Halloween Kills est une authentique bisserie, une ode au régime carné. Le film paie ses glorieuses outrances de plusieurs faux-pas et fausses notes, mais elles valent bien le plaisir déviant et régressif qui nous est offert sur un plateau fumant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Mad Movies
par Gilles Esposito
"Halloween Kills" a le mérite d'ajouter un chapitre singulier et de très bonne tenue à une saga avec laquelle les plus vieux d'entre nous vivent depuis près d'un demi-siècle.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Certes, certains flashbacks et la bande-originale de John Carpenter sont hautement réjouissants, de même que certaines exécutions, et on reconnaît au film une certaine volonté d’innovation dans la narration, Halloween Kills laisse un désagréable sentiment de rendez-vous manqué.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par Michel Valentin
Ce nouvel opus présente quelques idées intéressantes, comme des flash-backs nous ramenant plus de quarante ans en arrière. Mais l’action ronronne un peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Gordon Green imagine une communauté dans laquelle tout le monde a fini par croire au Mal, rejouant le vieux débat posé par le premier épisode mais pour lui apporter une résolution grossièrement martelée : oui, le Mal existe, personne ne le conteste, mais rien ne sert de l'éradiquer par la force puisqu'il est éternel, labile, irrévocable.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un opus de transition au ton franchement incohérent, dont seules certaines intentions sont bonnes.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
CONTRE - Sans inspiration, graphiquement et théoriquement beaucoup moins fort que le premier volet de la franchise, idéologiquement discutable, "Halloween Kills" est un film vain qui se prend les pieds dans le tapis à chacun de ses pas, ou presque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Maryline Sandra
Rondement mené, souvent effrayant, le film pêche cependant par son scénario. Cette fois, on a vraiment l'impression d'avoir fait le tour de la question.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que le récit soit aussi chaotique, avec des scènes démonstratives et bavardes sur la genèse du croquemitaine, flash-back à l'appui. Reste Jamie Lee Curtis, toujours aussi coriace.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le message moral semble un peu convenu (...). Le film se distingue plutôt par une brutalité graphique gore.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Cette suite directe du Halloween de 2018 déçoit en tout point : les enjeux sont laborieux et confus, la distribution livrée à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Ne subsiste qu’une succession de meurtres au rythme du fameux thème musical, remixé par son compositeur Carpenter himself et diffusé en boucle.
Critikat.com
par Josué Morel
David Gordon Green racle les fonds de tiroir de la franchise avec cette bouillabaisse narrative et formelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Philippe Guedj
Ce n’est pas tant la stupidité abyssale de ce ratage intégral qui frappe, que sa cavalcade éperdue après l’inégalable classique de Carpenter.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Sans âme, sans enjeu, sans but, sans rien. Halloween Kills n’a même pas la décence d’être nul : c’est un produit comme on en a déjà trop vu, vide, mort, fait par quelqu’un ou quelque chose qui colle des images les unes à la suite des autres comme on remplit des colonnes de budget, comme on creuse des trous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
David Gordon Green déçoit avec ce nouvel épisode qui, à vouloir embrasser trop de personnages et d'histoires secondaires, suscite davantage l'ennui que l'effroi.
Première
par Frédéric Foubert
Soit beaucoup (trop) de monde pour un film sans centre de gravité, ni véritables intentions, sinon celle, tellement voyante qu’elle en devient désagréable, de passer les plats en attendant le gros morceau, le clash ultime entre Laurie et Michael, qui sera au cœur du prochain opus annoncé pour 2022, Halloween Ends. La fin d’Halloween ? Des promesses, toujours des promesses…
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
POUR - Entre héritage et innovation, "Halloween Kills" regorge de belles idées de mise en scène [...] aménageant même d’étranges visions poétiques, comme celle de ses gamins rebelles jouant dans la nuit sur une balançoire. Tout en s’en démarquant dans son esthétique et ses choix de représentation, le cinéaste renoue avec brio avec l’essence métaphysique du mal carpenterien.
Ecran Large
Généreux jusqu'à l'excès, ultra-violent jusqu'à l'orgasme régressif, Halloween Kills est une authentique bisserie, une ode au régime carné. Le film paie ses glorieuses outrances de plusieurs faux-pas et fausses notes, mais elles valent bien le plaisir déviant et régressif qui nous est offert sur un plateau fumant.
Mad Movies
"Halloween Kills" a le mérite d'ajouter un chapitre singulier et de très bonne tenue à une saga avec laquelle les plus vieux d'entre nous vivent depuis près d'un demi-siècle.
Filmsactu
Certes, certains flashbacks et la bande-originale de John Carpenter sont hautement réjouissants, de même que certaines exécutions, et on reconnaît au film une certaine volonté d’innovation dans la narration, Halloween Kills laisse un désagréable sentiment de rendez-vous manqué.
Le Parisien
Ce nouvel opus présente quelques idées intéressantes, comme des flash-backs nous ramenant plus de quarante ans en arrière. Mais l’action ronronne un peu.
Cahiers du Cinéma
Gordon Green imagine une communauté dans laquelle tout le monde a fini par croire au Mal, rejouant le vieux débat posé par le premier épisode mais pour lui apporter une résolution grossièrement martelée : oui, le Mal existe, personne ne le conteste, mais rien ne sert de l'éradiquer par la force puisqu'il est éternel, labile, irrévocable.
CinemaTeaser
Un opus de transition au ton franchement incohérent, dont seules certaines intentions sont bonnes.
Culturopoing.com
CONTRE - Sans inspiration, graphiquement et théoriquement beaucoup moins fort que le premier volet de la franchise, idéologiquement discutable, "Halloween Kills" est un film vain qui se prend les pieds dans le tapis à chacun de ses pas, ou presque.
L'Ecran Fantastique
Rondement mené, souvent effrayant, le film pêche cependant par son scénario. Cette fois, on a vraiment l'impression d'avoir fait le tour de la question.
Le Journal du Dimanche
Dommage que le récit soit aussi chaotique, avec des scènes démonstratives et bavardes sur la genèse du croquemitaine, flash-back à l'appui. Reste Jamie Lee Curtis, toujours aussi coriace.
Le Monde
Le message moral semble un peu convenu (...). Le film se distingue plutôt par une brutalité graphique gore.
Les Fiches du Cinéma
Cette suite directe du Halloween de 2018 déçoit en tout point : les enjeux sont laborieux et confus, la distribution livrée à elle-même.
Positif
Ne subsiste qu’une succession de meurtres au rythme du fameux thème musical, remixé par son compositeur Carpenter himself et diffusé en boucle.
Critikat.com
David Gordon Green racle les fonds de tiroir de la franchise avec cette bouillabaisse narrative et formelle.
Le Point
Ce n’est pas tant la stupidité abyssale de ce ratage intégral qui frappe, que sa cavalcade éperdue après l’inégalable classique de Carpenter.
Libération
Sans âme, sans enjeu, sans but, sans rien. Halloween Kills n’a même pas la décence d’être nul : c’est un produit comme on en a déjà trop vu, vide, mort, fait par quelqu’un ou quelque chose qui colle des images les unes à la suite des autres comme on remplit des colonnes de budget, comme on creuse des trous.
Ouest France
David Gordon Green déçoit avec ce nouvel épisode qui, à vouloir embrasser trop de personnages et d'histoires secondaires, suscite davantage l'ennui que l'effroi.
Première
Soit beaucoup (trop) de monde pour un film sans centre de gravité, ni véritables intentions, sinon celle, tellement voyante qu’elle en devient désagréable, de passer les plats en attendant le gros morceau, le clash ultime entre Laurie et Michael, qui sera au cœur du prochain opus annoncé pour 2022, Halloween Ends. La fin d’Halloween ? Des promesses, toujours des promesses…