AlloCiné
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112 notes
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Votre avis sur Separation ?
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Déjà qu'une gamine joue avec des poupées sataniques, je trouve que ça fait beaucoup, c'est pas normal, mais bon pour un film d'épouvante je veux bien, mais il aurait fallu qui fasse peur, ce qui n'est pas le cas, même les moments de sursaut sont conventionnelles. Les clichés du genre sont legions. Même si le casting est de qualité, il est sous exploité. La fin est juste minable et le coup de théâtre est éventé. Prévisible. A bon entendeur...
Commençons par le début. J'ai eu aucune pitié pour la mère de la petite, qui, sous couvert qu'elle a de l'argent peut et veut empêcher le père de voir sa fille car il a bien moins d'argent qu'elle, situation que je ne comprendrais jamais.
Bref. Le film sinon est plutôt pas mal, on a une dimension évidemment surnaturelle mais j'avoue que pour le coup je ne m'attendais pas trop à la fin.
Un bon moment
Bref. Le film sinon est plutôt pas mal, on a une dimension évidemment surnaturelle mais j'avoue que pour le coup je ne m'attendais pas trop à la fin.
Un bon moment
Dik ap Prale
Avec des effets plutôt corrects, mais un univers complètement calqué sur d'autres, Separation s'en sort avec les honneurs d'une petite production insignifiante mais qui a du caractère.
encore un film d'horreur raté, aucun frisson, beaucoup trop long pour a la fin pas grand chose, bref.....
Passer votre chemin.
Passer votre chemin.
Ce film est pas mal, avec un bon nombre de personnages, ni trop, ni pas assez. De bons acteurs et une histoire qui tien la route.
Mais aussi plusieurs points négatifs, par exemple, aucun lien n'est fait entre les marionnettes et l'esprit dans la maison, alors qu'ils ont le même allure physiquement.
On ne sait pas non plus l'histoire des marionettes, pourquoi l'esprit a choisit de ressembler a ces marionnettes en particulier ?
Ensuite, pourquoi faire apparaître le monstre se déplaçant a 4 pattes sur le dos (en noir et blanc) ? Il ressemble à une des marionnettes certe, mais ce passage est inutile, surtout que c'était juste un rêve, et un le voit que 2 minutes. Surtout que c'est pour moi le moment le olus attachant du film à regarder.
Pour finir, je ne comprend pas la fin, juste ils sautent de l'étage et tout est fini ? La fin est mal travaillé. J'espère qu'il y aura un 2eme opus qui répondra à nos questions.
Mais aussi plusieurs points négatifs, par exemple, aucun lien n'est fait entre les marionnettes et l'esprit dans la maison, alors qu'ils ont le même allure physiquement.
On ne sait pas non plus l'histoire des marionettes, pourquoi l'esprit a choisit de ressembler a ces marionnettes en particulier ?
Ensuite, pourquoi faire apparaître le monstre se déplaçant a 4 pattes sur le dos (en noir et blanc) ? Il ressemble à une des marionnettes certe, mais ce passage est inutile, surtout que c'était juste un rêve, et un le voit que 2 minutes. Surtout que c'est pour moi le moment le olus attachant du film à regarder.
Pour finir, je ne comprend pas la fin, juste ils sautent de l'étage et tout est fini ? La fin est mal travaillé. J'espère qu'il y aura un 2eme opus qui répondra à nos questions.
Ouais bof.. ce film est en dents de scie ! Il part pourtant fort avec quelques scènes effrayantes notamment celles avec la créature déguingandée dans le couloir ! Mais très vite ca s'essouffle pis surtout le scénario est vite décevant... moi personnellement, vu le potentiel des effets spéciaux, j'aurais espéré un script glaçant et pas un truc si fouillis et si peu approfondi ! Du coup ça gâche tous les moments un peu flippants et on ressort de ça fort déçus car le potentiel était là mais l'histoire est mauvaise... très mauvaise !
J'ai trouvé le film plutôt sympa, après personnellement j'aime l'esthétique des poupées de spectacle dans les films d'horreur, je trouve les "monstres" assez bien faits et le scénario bien que banal et prévisible n'en reste pas moins bien.
FaRem
Jeff, un auteur de bandes dessinées dans le creux de la vague, doit s'occuper seul de sa fille après le décès de sa femme. Le couple était au bord du divorce et passait son temps à se disputer la garde. Une bataille juridique qui ne prend pas fin avec la mort de Maggie puisque son père est bien décidé à séparer Jenny de son père qu'il considère inapte à s'occuper d'un enfant. "Separation" est un film sur le deuil, mais pas seulement puisque William Brent Bell nous fait entrer dans l'univers très sombre de Jeff. Lorsque les créatures de son imagination prennent vie, il risque plus que de simplement perdre la garde de sa fille. Le réalisateur propose un drame horrifique qui fonctionne mieux en tant que tel qu'en tant que film d'épouvante. Il joue habilement sur les deux tableaux en évoquant l'impact psychologique d'un tel drame sur les personnes concernées tout en exploitant la présence de cette entité maléfique. C'est juste dommage que l'histoire soit prévisible dans les grandes lignes.
spoiler:
La présence de Madeline Brewer n'est pas due au hasard et on comprend assez vite qu'elle n'est pas juste qu'une gentille nounou
. Dans l'ensemble, "Separation" est dans la moyenne des autres films de William Brent Bell qui ne sont jamais nuls ou excellents avec celui-ci qui est un drame horrifique plaisant avec de bons acteurs.
. Dans l'ensemble, "Separation" est dans la moyenne des autres films de William Brent Bell qui ne sont jamais nuls ou excellents avec celui-ci qui est un drame horrifique plaisant avec de bons acteurs.
Je suis d'accord avec les autres critiques. Film mou où il ne se passe pas grand chose. Histoire pas très crédible. Une perte de temps je trouve.
Mauvais! Je suis très déçu. Mise à part la fameuse scène. Le reste du film est une purge. BO, casting, scénario, mise en scène. Rien ne fonctionne ! C'est dommage...
Je pensais passer un bon moment horrifique devant ce film qui donnait envie, mais non tellement déçu, comme beaucoup de film, tout est dans la bande annonce, très plat, rien ne se passe durant les 3/4 du film, des scénarios qui servent à rien, ce qui fait que le film est plat mais vraiment plat.
Dommage car l'idée est bonne mais mal exploitée et surtout l'écriture très mauvaise.
1.5/5
Dommage car l'idée est bonne mais mal exploitée et surtout l'écriture très mauvaise.
1.5/5
ffred
Beau casting pour ce film de possession (Rupert Friend, Brian Cox, Mamie Gummer, Madeline Brewer), le nouveau de William Brent Bell, qui nous avait pourtant offert un The boy plutôt réussi il y a quelques années. On trouve le temps long ici, il ne se passe pas grand chose avant le dernier quart, qui, s’il est un peu plus palpitant ne sauve pas l’entreprise du désastre. C’est bourré d’incohérences et surtout ça ne fait même pas peur. A éviter.
Que ce soit Friend ou Gummer les deyx se débrouillent impeccablement. Pour son petit âge Violet McGraw est incroyable et j'ai cru en elle jusqu'au bout. Le reste du casting est bon. Jeff et les autres sont de bons personnages mais le personnage de McGraw esy est cliché au possible. Effets spéciaux bons, maîtrisés, et puis ( ce n'est pas un spoil car c'est dans la bande-annonce) le tableau qui "fond" sous les flammes c'est magique. Les musiques sont classiques mais au moins elle ne sont pas lourdes et décevantes. Le côté sombre de l'ambiance est parfaitement géré, il est parfois très sombre et parfois pas du tout sombre, mais sans être trop lourd ou trop léger. En premier "Separation" cherche une bonne ambiance, un drame familial, ça ne marche pas forcément toujours mais ça a une intensité jouissive. Scénario bon et bien meilleur que ceux des "The Boy". Il y a des petites incohérences qui ne gêne pas forcément mais qui se remarque. Sinon le scénario est beau et j'ai adoré. Monstre un peu flippant et vraiment dérangeant, ils marchent en tout cas mieux que dans les deux précédents films du réalisateur, mais la marche des créatures pourrait être mieux travailler. Les jumpscares sont mauvais mais il y a un petit mystère plutôt prenant. Le twist et en fait beaucoup trop classique et nul, Brent Bell n'a pas chercher quelque chose de compliqué pour cette fin.
RedArrow
William Brent Bell continue encore et toujours de ruminer le succès de ce qui est sans doute la meilleure -enfin surtout la moins mauvaise- œuvre de sa filmographie : "The Boy". Il n'était clairement pas parvenu à l'égaler avec le médiocre "The Boy : La Malédiction de Brahms" en 2020 alors pourquoi ne pas retenter sa chance avec un film "original" où l'on pourrait multiplier les apparitions de poupées glauques grâce à une intrigue bâtie encore une fois sur des faux-semblants surnaturels et rationnels ? Et bim, nous voilà donc avec "Separation" mettant en scène la vie difficile d'un père, auteur de BD incapable de réitérer sa gloire passée (Bell fait un transfert ?) mais devant prendre ses responsabilités pour conserver la garde de sa fille toute mimi après une séparation tragique. Évidemment, les dessins les plus célèbres de l'auteur sont ceux de créatures bien louches, qu'un Tim Burton pourrait sans doute attaquer pour plagiat (ou au moins pour t.très forte inspiration) et qui sont aujourd'hui devenus des figurines peuplant la chambre de son enfant. Alors quand une mystérieuse entité décide de s'en prendre à ce père et à sa fille, il est inutile de préciser qu'elle dispose d'un large panel d'incarnations pour malmener leur santé mentale...
Bon, autant commencer par ce pourquoi le film a été conçu principalement : les apparitions matérialisées de l'imaginaire de cet auteur. Les frissons qu'elles devraient engendrer ne seront jamais présents mais quelques-unes se démarqueront du lot par leur design (l'espèce de Joker contorsionniste est très réussie par exemple) ou par leur mise en scène (sans trop en dire, tout ce qui se passe en hauteur sera teinté d'une étonnante poésie macabre à l'écran). Ce sera pour ainsi dire la principale qualité du film car, pour le reste, "Separation" va justement donner envie de très vite se séparer de lui.
Que les thématiques utilisées pour une histoire de ce type soient celles d'un soap fantastique dégoulinant de bons sentiments pourrait encore passer (tourner la page d'un passé immature pour enfin assumer son rôle de père, surmonter la douleur d'un deuil qui refuse de nous quitter et évoluer en apprenant enfin à s'ouvrir aux autres...oui, on sait, ça nous met plein de guimauve aux n'oeils aussi) mais, lorsque celles-ci se retrouvent en plus au service d'un récit réussissant le triple exploit d'être ultra-prévisible, interminable et même particulièrement nauséabond sur l'image de la femme qu'il renvoie en général, on peut dire que "Separation" ne fait rien pour titiller un minimum de notre indulgence !
Pas la peine de se leurrer, outre l'usage opportuniste de ses poupées/marionnettes dans son déroulement atone, le récit est avant tout conçu comme un prétexte autour d'une révélation finale se voulant au moins aussi maligne que le twist de "The Boy" dans la balance de ce qui joue entre le fantastique et le thriller... Sauf qu'ici, la pauvreté de l'astuce saute tellement vite aux yeux par son caractère aussi stupide qu'évident que le visionnage de "Separation" va se résumer à observer des personnages incapables de faire fonctionner deux neurones en même temps pour enfin réaliser ce qui se trame juste sous leurs nez et dont on a tout compris après une vingtaine minutes ! Après un calvaire de près de deux heures à attendre désespérément un éclair de génie de leur part au milieu de ce qui ressemble à des rebondissements du pire du pire des téléfilms Lifetime, on en viendra carrément à demander une ordonnance d'éloignement pour que ce "Separation" ne vienne jamais nous mettre dans un tel coma d'ennui à nouveau !
Espérons tout de même que William Brent Bell fasse mieux avec le prequel de "Esther" dont il a désormais la charge... Quoique ce bougre est bien capable de lui coller une poupée maléfique entre les bras...
Bon, autant commencer par ce pourquoi le film a été conçu principalement : les apparitions matérialisées de l'imaginaire de cet auteur. Les frissons qu'elles devraient engendrer ne seront jamais présents mais quelques-unes se démarqueront du lot par leur design (l'espèce de Joker contorsionniste est très réussie par exemple) ou par leur mise en scène (sans trop en dire, tout ce qui se passe en hauteur sera teinté d'une étonnante poésie macabre à l'écran). Ce sera pour ainsi dire la principale qualité du film car, pour le reste, "Separation" va justement donner envie de très vite se séparer de lui.
Que les thématiques utilisées pour une histoire de ce type soient celles d'un soap fantastique dégoulinant de bons sentiments pourrait encore passer (tourner la page d'un passé immature pour enfin assumer son rôle de père, surmonter la douleur d'un deuil qui refuse de nous quitter et évoluer en apprenant enfin à s'ouvrir aux autres...oui, on sait, ça nous met plein de guimauve aux n'oeils aussi) mais, lorsque celles-ci se retrouvent en plus au service d'un récit réussissant le triple exploit d'être ultra-prévisible, interminable et même particulièrement nauséabond sur l'image de la femme qu'il renvoie en général, on peut dire que "Separation" ne fait rien pour titiller un minimum de notre indulgence !
Pas la peine de se leurrer, outre l'usage opportuniste de ses poupées/marionnettes dans son déroulement atone, le récit est avant tout conçu comme un prétexte autour d'une révélation finale se voulant au moins aussi maligne que le twist de "The Boy" dans la balance de ce qui joue entre le fantastique et le thriller... Sauf qu'ici, la pauvreté de l'astuce saute tellement vite aux yeux par son caractère aussi stupide qu'évident que le visionnage de "Separation" va se résumer à observer des personnages incapables de faire fonctionner deux neurones en même temps pour enfin réaliser ce qui se trame juste sous leurs nez et dont on a tout compris après une vingtaine minutes ! Après un calvaire de près de deux heures à attendre désespérément un éclair de génie de leur part au milieu de ce qui ressemble à des rebondissements du pire du pire des téléfilms Lifetime, on en viendra carrément à demander une ordonnance d'éloignement pour que ce "Separation" ne vienne jamais nous mettre dans un tel coma d'ennui à nouveau !
Espérons tout de même que William Brent Bell fasse mieux avec le prequel de "Esther" dont il a désormais la charge... Quoique ce bougre est bien capable de lui coller une poupée maléfique entre les bras...
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