Je suis tombée par hasard sur ce film, et j'aime bien Stallone, un acteur idéal pour ses films pas prise de tête; ( pour la plupart ). Dès le début, on entrevoit un film d'une bêtise abyssale, exactement ce que je recherchais pour me changer les idées. Hélas, il y a des limites à tout, et le film serait un nanar très drôle s'il ne se prenait tant au sérieux. C'est vraiment trop crétin, dégoulinant de bons sentiments qui rendent le film poisseux de mièvrerie, délivrant les habituels poncifs des films de " gagne ", et même pour moi qui n'y connaît rien en F1, on voit bien l'invraisemblance totale des situations. Dommage pour Stallone, qui pourtant a incontestablement du talent.
Pour les fans de sport automobile,le cinéma n'offre pas grand chose à se mettre sous le pneu. Alors,quand un film du genre de "Driven"(2001) débarque sur les écrans... avant de déchanter lourdement. Premièrement,cet action movie du désormais désolant Renny Harlin utilise des monoplaces d'IndyCar et non des Formule 1. Deuxièmement,les personnages sont unidimensionnels,et agaçent par leur gentillesse caractérisée. On en viendrait presque à espérer une bonne vieille opposition manichéenne. Troisièmement,les courses ne sont pas du tout réalistes,entre les dépassements impossibles et les accidents aux images de synthèse plus voyantes que sur un jeu vidéo. Sylvester Stallone,à près de 60 ans ne peut être crédible en pilote chevronné! Mais parce que c'est un film sur l'univers du sport auto,assez ludique il faut bien l'admettre,je ne le démolirais pas trop.
Un film dont le scénario a du être écrit dans les années 80 tant on y trouve toute la recette de l'époque : le super héros à qui tout réussi parce qu'il le veut et qu'il a la volonté (contrairement à tous ses concurrents sauf le méchant), un petit moment émotion (ici un accident). Le héros est terriblement serein et apaisé, sur de lui et brillant et du coup...ça marche. Malgré les images et la musique on ne rentre pas dans le film on suit l'histoire dont on devine la fin dès les 5 premières minutes.
Un nanar sportif de haute volée. Il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Le finlandais Renny Harlin était considéré comme un des meilleurs réalisateurs de film d'action dans les années 90. Puis est passé par là l'échec de L'Ile aux pirates et Au revoir à jamais. Stallone, lui, est devenu has-been comme son pote Schwarzy et plutôt que d'embrasser une carrière de politicien il va écrire Driven. Réalisé comme un clip de deux heures, Driven narre la rivalité de deux pilotes de Formule 1. Rivalité sportive et amoureuse car les deux se partagent les faveurs d'Estella Warren. Inexpressive dans La Planète des singes de Tim Burton et inexpressive chez Renny Harlin. Les courses se montrent vite répétitives. Se concluant toutes par des crashs de voitures complétement improbables surtout quand les pilotes se relèvent presque sans une égratignure. Les fantômes d'Ayrton Senna et Roland Ratzenberger ont dû apprécier. Stallone reprend son rôle de mentor. De manière plus ou moins ridicule comme quand spoiler: il prend sa F1 pour rattraper son poulain en plein centre-ville ! . Je ne sais pas s'il espérait retrouver le succès en reformant avec Renny Harlin le duo de Cliffhanger. Le futur montrera que sa période de vaches maigres est partie pour continuer encore quelques années. A l'un et à l'autre.
Ce film est bourré d'images de synthèse. Le jeune champion manque totalement de charisme. Et malgré un bel essai, on lui préférera de très très loin "Rush", plus récent et beaucoup mieux réalisé alors qu'il se passe dans les années 70.
driven est un film dans l'univers de la formule 1 pas exceptionnel, Y a du bon et du moins bon dans ce film, Certes, la course automobile fut mieux exploitée dans le passé, les séquences spectaculaires attendues dans ce genre de production sont au rendez-vous, l'ambiance et la fièvre des circuits sont bien rendues, et le casting est de qualité, avec une mention intéressante pour Burt Reynolds en patron d'écurie impitoyable, directement inspiré de Williams, Renny Harlin réalise un divertissement tout en esbroufe et beaux gestes qui ne s'embarrasse guère d'une quelconque plausibilité. Le film le plus agréable sur les courses automobiles . un casting agréable un scénario correct pas phenomenal non plus mais sympa à regarder ça se suit bien les effets ne son pas exceptionnel non plus mais valent tout de même le coup d oeil, dans ce film vous allez découvrir stallone dans un rôle différents.Les effets spéciaux peuvent pour certains être réalistes, mais d'autres sont au contraires complétement loupés c'est vraiment dommage .
Renny Harling a réalisé des films avec plus ou moins de réussite, tant par leur succès, que par leur qualité. Ici, on reste sur un niveau acceptable, malgré tous les commentaires négatifs qui entoure ce film. Le scénariste S.Stallone, nous refait le coup de Rocky version formule 1, il ne faut pas chercher plus loin. Un jeune sportif prometteur face à ses choix et ses dilemmes, pour l'aider à trouver la lumière dans ce tunnel de la vie, pour l'aider, un sage, mentor, presque un ange gardien refait surface avec un passé tortueux. Voilà, ici Stallone se réserve le rôle du vieux sage, le héros ce n'est pas lui, c'est presque le sujet en lui même, la course auto. Un sujet assez difficile à mettre en scène, car même s'il peut procurer des sensations, il ne s'adresse qu'à une petite minorité de fans. Ce qu'il en reste c'est une histoire assez classique, sans grands enjeux, avec plusieurs personnages, tous plus ou moins importants, ce qui fait que l'on ne s'attache à aucun d'eux. Les effets spéciaux peuvent pour certains être réalistes, mais d'autres sont au contraires complétement loupés. Film conventionnel qui ne révolutionnera pas le genre, mais la bonne volonté est là.
Driven est un film de Renny Harlin avec Sylvester Stallone, Til Schweiger, Burt Reynolds ou encore Robert Sean Leonard (Dr House). Ayant connu un échec tant commercial que critique, je dois me ranger cette fois-ci de leur côté. Le scénario est mauvais, les acteurs très peu inspirés et les cascades (témoignant d'effets spéciaux ratés) sont plus qu'invraisemblables. La fin, caractéristique des productions américaines, fait gagner le héros in extremis, alors qu'il avait perdu depuis des lustres. Cette happy end se conclue même sur les couples qui se remettent ensemble, dans la joie et la bonne humeur. Décevant, surtout quand l'on sait que le screenplay est de Stallone lui-même !
Je trouve que c'est l'un des plus mauvais films de Stallone, au côté de Judge Dredd. Les raisons: une interprétation pas franchement convaincante de la part de l'ensemble du casting; un scénario vraiment faible; des effets spéciaux qui ont tellement pour but de vouloir en mettre plein la vue que ça en devient ridicule et mal fait. Le seul petit intérêt pour moi reste à la limite Stallone.
Bruyant (normal pour les moteurs, moins pour la musique), filmé comme un long clip vidéo, « Driven » m’a rapidement donné mal à la tête. En voyant toutes les invraisemblances, j’ai l’impression que les américains ne font pas la différence entre une course de Formule 1 et une course de stock-car. Sylvester Stallone et Burt Reynolds jouent les vieux sages à la Morgan Freeman. Les deux pilotes à la lutte pour le titre n’ont quant à eux aucun charisme. L’intrigue sentimentale, d’une naïveté confondante, plombe littéralement le film. Enfin, les stratégies hors course m’ont autant passionné que le cours de la banane en Bourse. Dommage que l’une des rares incursions de la Formule 1 au cinéma soit une telle déception.