Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Sérgio Tréfaut se mesure à leur stature par la majesté de ses plans. Les caméras captent les scènes collectives le plus discrètement possible et ne s’aventurent guère en dehors des jardins.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cure de jouvence pour des octogénaires de Rio galvanisés par les chansons d’amour de leur jeunesse. Ils les interprètent avec fougue devant la caméra attentive du cinéaste Sergio Tréfaut.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un documentaire lumineux et bourré de vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Ces chants sont filmés de façon minimaliste, caméra frontale, plans-séquences le plus souvent, comme si la caméra avait peur de brusquer ces existences antédiluviennes qui semblent ne tenir qu’à un fil.
Télérama
par Marion Michel
Sans nostalgie, au fil des choros. Un portrait émouvant du pays se dessine. Fragile, car beaucoup de ces chanteurs seront emportés dès la première vague de l’épidémie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Sérgio Tréfaut se mesure à leur stature par la majesté de ses plans. Les caméras captent les scènes collectives le plus discrètement possible et ne s’aventurent guère en dehors des jardins.
L'Humanité
Cure de jouvence pour des octogénaires de Rio galvanisés par les chansons d’amour de leur jeunesse. Ils les interprètent avec fougue devant la caméra attentive du cinéaste Sergio Tréfaut.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire lumineux et bourré de vie.
Positif
Ces chants sont filmés de façon minimaliste, caméra frontale, plans-séquences le plus souvent, comme si la caméra avait peur de brusquer ces existences antédiluviennes qui semblent ne tenir qu’à un fil.
Télérama
Sans nostalgie, au fil des choros. Un portrait émouvant du pays se dessine. Fragile, car beaucoup de ces chanteurs seront emportés dès la première vague de l’épidémie.