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    Requiem pour un massacre
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    4,3
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    177 critiques spectateurs

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    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2020
    Les horreurs et la barbarie de la guerre nous sautent aux yeux. Une vraie claque filmée avec une froideur et une authenticité rare.
    T-rexx
    T-rexx

    18 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    Oubliez tout ce que vous avez déjà pu voir sur la deuxième guerre mondiale. "Il faut sauver le soldat Ryan", "Le Jour le plus Long", "Band 'O Brothers"... Ces films-là, tous anglo-saxons, pâlissent à côté de ce film russe traitant d'un sujet quasiment jamais abordé : l'invasion allemande de la Biélorussie. Oubliez le formatage américain, passez du côté soviétique, avec sa sensibilité spécifique. On est loin du polissage (relatif bien sûr) qui caractérisent les films US. Tout est sombre, glauque, dérangé. La musique de fond, ou plutôt les bruitages et les effets sonores très nombreux et quasiment omniprésents, servent admirablement le propos et amènent une touche indéniable de confusion, d'irréalisme, de sordide, d'épouvantable au traitement cru des images, délavées, dépourvues de couleurs, uniformes, aussi austères que l'hiver biélorusse. Et, pour servir le tout, des acteurs absolument impeccables. Le premier rôle, celui de l'adolescent qui, par rêve ou inconscience, décide de prendre les armes pour servir son pays contre l'envahisseur allemand, déclenchant par cette simple décision un enchaînement d'actes tous aussi improbables et destructeurs les uns que les autres. Visuellement, humainement et du point de vue de la narration, c'est une claque permanente, une torture psychologique qui ne s'arrête pas. Ce film devrait être montré à tous ces écervelés dans le monde, dont le nombre grandit malheureusement de manière inversement proportionnelle au nombre de témoins de cette horrible période encore vivants pour nous en parler aujourd'hui, à ces imbéciles donc, qui recherchent, par ignorance, idéalisme, haine ou simple stupidité, à résoudre leurs problèmes par les armes. La guerre est la pire des solutions. Mais à force de jouer avec les haines, il finiront par s'en rendre compte eux-mêmes. Mais il sera trop tard pour éviter l'horreur.
    Florent B.
    Florent B.

    74 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2019
    Une véritable claque visuelle. Un récit cauchemardesque, à la violence extrême, accumulant des scènes d'une rare intensité, éprouvantes et puissantes. Émotionnellement, on ressort du film secoué, comme si on avait assisté aux horreurs et aux atrocités des nazis. Bien plus qu'un film, c'est une expérience unique et brutale, on l'on retient son souffle pendant 2H20. Certainement le plus grand film de guerre jamais réalisé. Un chef d'œuvre à vivre.
    Edoumoun
    Edoumoun

    11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Chef d'oeuvre. On a littéralement l'impression d'être là, présent, assister en personne à ce qui se deroule sous nos yeux. On croirait voir l'envers des films hollywoodiens.
    Il fait passer la liste de Schindler, excellent du reste, pour un film pour enfant.
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    18 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Prétentieux, ennuyeux, ce film n'a rien de remarquable. La pauvreté de la mise en scène nous plombe et nous prions pour que tout cela s'arrête !
    Criticman17
    Criticman17

    5 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2019
    Film d'une puissance incroyable du réalisateur Elem Klimov. On est surpris dès le début par le traitement de l'image et par ses regards caméras qui nous mettent en immersion dans ce monde brutal et violent. En tant que spectateur, on suit la vie d'un soldat biélorusse fière et heureux de braver le pas et se battre pour son pays durant la seconde guerre mondiale contre l'armée nazi d'Hitler. La réalité et l'horreur de la guerre vont lui faire transformer son visage qui va vieillir durant le film. Sa vie ne sera plus jamais la même après cette expérience. Rien n'est surfait dans ces plans, on montre la guerre sous un angle horrible, démoniaque, pervers, sale. On en sort choqué, meurtri, bouleversé d'avoir assisté à ces massacres. Dans les deux camps dans cette guerre, le réalisateur place le spectateur de face à chaque fois pour présenter les soldats avec de longs plans séquences. Filmer de face donne un effet frontal plus direct et tous ces combattants des deux armées semble livrer le spectateur à un au piège comme si dans cette humanité on devrait devoir vivre avec cette violence sans pouvoir s'en échapper comme le pauvre Florya interprété par Aleksei Kravchenko qui semble conduit tout droit dans un étau qui se resserre de plus en plus. Le massacre de la dernière partie de l’œuvre dans l'église est insoutenable et ce champ contre champ entre Florya et le tableau d'Hitler nous conduit au thème de la folie et à l'Histoire de notre monde qui à des situations où la folie manipule l'Humanité l'ensorcelle et l’enivre dans une réalité sans Vie et sans Amour mais juste avec de la mort et des armes. Cette œuvre touche juste et elle est utile pour ne pas oublier l'atrocité qu'il peut y avoir chez l'Humain. Ces regards caméra sont envoutants et très marquants pour imprégner l'Histoire de ces massacres dans une œuvre ces plans sont très expressifs et permettent de laisser un souvenir à jamais dans notre mémoire une fois qu'on l'a vu cela reste grâce à cette technique de réalisation peu commune. A découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 juin 2019
    J'ai vu des critiques qui hissent le film au rang de chef-d'oeuvre. Je ne suis pas du même avis. Le film en soi est magnifique, on ne restera pas idem lors de la fin. Je me suis senti très mal et anéanti devant cette barbarie humaine, les réalisateurs ont réussi à faire une représentation très réaliste de l'opération barbarossa avec les yeux du petit Flora. C'est une grosse claque pour nous les spectateurs. Par contre, énormément de détails me gène dans le film. Les plans-séquences sont par moment trop lourds et sombres par l'éclairage. Ensuite, le bande son est médiocre voir mauvais et que dire des bruitages qui sont justes excessives (bruits des mouches, armes ou des avions). Enfin, le plus important c'est le jeu d'acteur qui me pose problème. J'ai plus l'impression d'assister à une pièce de théâtre qu'à un film. Sinon, ce film est une odyssée à juste titre d'une partie de l'histoire que les soviétiques ont été victime lors de la seconde guerre. Juste pour ça, je remercie les producteurs et les réalisateurs du film.
    Alasky
    Alasky

    354 abonnés 3 427 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2019
    Grand film, très dur, très éprouvant et remarquablement interprété. Peut-être un des films les plus durs de l'histoire du cinéma.
    Pascal
    Pascal

    160 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2019
    un film à voir. Toutefois la première partie traîne en longueur. Pour sa dernière heure le film mérite le détour.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 avril 2019
    J'en ai vu des trucs dégueulasses dans ma vie mais là c'est vraiment le pompom ! Au point d'avoir la nausée en sortant de la salle (cela me l'avait aussi fait devant "hostel" c'est dire ! Je mets cinq etoiles à ce film non parce que j'ai aimé, car difficile d'aimer la succession de scènes plus insoutenables les unes que les autres et ce d'autant plus que cela s'est réellement déroulé, mais parce qu'il m'apparait indispensable que ce film soit diffusé au plus grand nombre, vaccin contre la stupidité patente de la guerre et la putatitivé de son aspect glorieux. Le quart de la salle s'est enfuit avant la fin et par ailleurs comme dans "cannibal holocaust", nos amis les bêtes ne sont pas en reste et ont donné un peu trop du leur dans ce film.
    norman06
    norman06

    348 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Un chef-d’œuvre du cinéma de guerre et un poignant voyage au bout de l'enfer, meilleur film d'un immense cinéaste russe à redécouvrir.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    122 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2019
    Tout part de l’intérieur : l’intérieur du cœur, l’intérieur du village, l’intérieur de la famille. Au contraire d’une étude qui partirait du général pour arriver au particulier, l’on part du propriétaire particulier pour arriver au général des armées. On ne sort pas de la famille : on en jaillit, comme jaillit la guerre et ses points chauds imprédictibles narguant les spécialistes : a-t-on jamais vu, en géologie comme en histoire, que la Biélorussie était volcanique en 1943 ? C’est pourtant bien là que Klimov va trouver ses brouillards photogéniques et ses forêts à faire sauter.

    Car le premier choc vient de ces explosions, bien réelles, et que le réalisateur a l’audace de laisser sur les mêmes plans que ses acteurs. Le jeune talent Alekseï Kravchenko témoignera même avoir entendu siffler de vraies balles juste au-dessus de sa tête, ce qui rend presque fade l’utilisation d’uniformes authentiques. Dans cette réalité froide, on va lentement s’approcher du trauma, de bouleversements qui s’apprêtent à changer un jeune soldat naïf dans une stoïcité frugale – qui devait être induite par hypnose chez l’acteur, à laquelle il s’est finalement révélé insensible.

    C’est peut-être aussi bien qu’aucune brume n’ait voilé ses yeux candides, car en eux, c’est toute l’histoire de la Russie qui défile, de la première bombe à la première désillusion, jusqu’aux secondes fois qui déjà prennent des airs horribles de banalité. Oui, les acteurs surjouent abominablement, mais n’est-ce pas la guerre qui est surjouée en premier lieu ?

    Ce qui n’arrive qu’aux autres n’est pas forcément exceptionnel. C’est sur cette remise en cause que l’on entre dans la partie totalement poétique de l’œuvre, celle qui excuse que sa volonté ultime tienne du piédestal au devoir de mémoire autant que du cinéma. C’est la cité souterraine des Morlocks qui s’élance vers son ennemi fragile, en rêve, pour l’aveugler et l’assourdir. Mais ce n’est pas le cas pour le spectateur : il a tout loisir de contempler les jeux de lumière sur une cigogne ignorante, prête à remplacer avec zèle les générations que l’humain gaspille, ou d’ouïr avec les délices les sons étranges, ces voix étouffées et ces bombardiers dont les résonances extraterrestres nous rappellent à Solaris (Andreï Tarkovsky, 1971). Il peut aussi admirer le transport sans heurts de la caméra sur de longs et littéraux travelings, qui nous emmènent sur les chemins de Russie et sur ceux d’émotions à venir.

    Finie la poésie, finis les langoureux allers-retours entre les deux mondes prosaïques de la vie et de la guerre, qu’à l’époque d’une Guerre Froide plus virulente, nous nous amusions à gai-luronner dans La Grande Vadrouille. Quel pas de géant entre les deux : la Russie de Klimov est si profonde, d’ailleurs, qu’on oublie que la Seconde Guerre mondiale s’est jouée avec les Américains. Et tant mieux !

    La guerre, c’étaient aussi les Russes et les Allemands, dans toute la rancœur et la légitime défense hypocrites suivant le rompement du Pacte germano-soviétique, et des massacres inhumains dans ces régions qu’on a l’habitude culturelle de considérer comme froides, grises, inintéressantes, peuplées de diédouchkas bûcheronnant et de babouchkas enfoulardées. 628 bourgades ont été effacées de la carte en Biélorussie, nous accuse presque un carton épilogique rouge sur noir ; a-t-on encore envie de brandir macabrement la sordide médaille décernée chez nous par l’ennemi à Oradour-sur-Glane ? 628…

    On ne voit qu’une de ces 628 bourgades dans le film ; une seule et pour de faux, c’est déjà une grande charge émotionnelle pour un seul film. Ne lésinant pas sur les dangers du tournage, Klimov fait tout faire par ses myriades de figurants. Il leur a bien fait comprendre l’ampleur et la gravité du sujet, et qu’un témoignage de guerre totale ne saurait être qu’un film total, mené dans toute sa gloire soviétique par un acteur total de 16 ans. On arrive à ne plus être sûr que ce sont les flammes ou les gens qui crient.

    Au milieu des flammes, des blessés, des figurants qui se salissent et souffrent de façon si visible, pas de doute : Klimov est le Diable, s’amusant à remplacer la métaphore du diablotin sur l’épaule par un loris sur celle d’un commandant allemand, pour un peu d’exotisme. Le Diable, on l’appelle aussi le Malin : malin d’être jusqu’au-boutiste, de bouter le feu, de dépeindre l’enfer dans des images d’une dureté terrifiante.

    Se rapprocher de la vérité, c’est dire la vérité, mais plus important encore, c’est en rapprocher l’Occident moderne (surtout quand il refuse à se croire près de ses utopies), et cela nous rappelle (si ça ne nous l’apprend pas) que les horreurs les plus viles ne sont jamais très loin, et qu’il y aura toujours des gens pour les révérer. Mais il y aura aussi toujours un chemin s’enfonçant vers la forêt et qu’on pourra pratiquer avec l’impression de savoir où l’on va. Requiem pour un massacre restera dans ma mémoire comme le meilleur film de guerre que je connaisse à l’heure actuelle, avant Il faut sauver le soldat Ryan et Lettres d’Iwo Jima.

    septiemeartetdemi.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    Requiem pour un massacre sorti en 1985, dernière œuvre du réalisateur Russe Elem Klimov et sous doute l'une des œuvres les plus dures méconnus traitant de la guerre et de la Seconde guerre mondiale.
    Basé sur des faits réels, elle raconte comment de nombreux villages biélorusses et ses habitants fut détruits et massacrés durant l'une des périodes les plus sombres de l’histoire au regard de ce jeune résistant (Florya).

    Une réalisation particulièrement bien soignée et menée, des images presque authentiques, dures, frappantes accompagnée par une bande son quelques fois dérangeante mais bien intégrée au contexte. Des plans séquences très expressifs et dont le réalisateur s'en sert comme outil émotionnel mais aussi des gros plans sur certains personnages comme Florya (que l'on voit à plusieurs reprises) parfois un peu long. C'est ce que l'on peut retenir de ce film durant deux heures

    Avec atrocité, le réalisateur montre les souffrances endurées par ses villageois avec une première partie centré sur le personnage de Florya ainsi que cette petite fille dans une ambiance étrange, malsaine ou l'on peut remarquer ces plans expressifs entre autre et une seconde partie qui petit à petit avec intensité et crescendo va nous montrer l'insoutenable en assistant à des scènes particulièrement choquantes : spoiler: je pense à cette église dont l'on enferme ces villageois puis brulés par les nazis ou encore dans la première partie du film ou l'on montre cet homme brûlé face à Florya, cette petite fille au lèvres en sang et au visage écorché


    De plus ce film est touchant par son personnage principal qui repose sur tout le film : Florya incarné par Aleksei Kravchenko jouant avec brillance son rôle que l'on se prend d'affection et que l'on à pitié pour lui.

    Klimov pour sa dernière œuvre tire un récit glaçant d'une Biélorussie martyrisée en horrifiant le spectateur dans cet œuvre méconnu mais grandiose. Un travail conséquent à été fait sur le son et les plans avec deux petits bémols tout de même à noter : les gros plans parfois un peu long sur les personnages et la bande son dérangeante et peu agréable par moment mais volontaire de la part du réalisateur pour rester dans son environnement. Mais c'est surtout ces images insoutenables qui marquent fortement les esprits. Un travail visuel, sonore et sensoriel mis en scène et maitrisé efficacement

    Traumatisant, ce chef-d’œuvre est incontournable pour les fans de films de guerre. A voir pour un public avertis malgré tout
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2018
    C'est un film de guerre très dur. Le conflit sur le front de l'est est vu à travers les yeux d'un gosse de 14 ans. Le réalisateur n’épargne rien au "héros" : enthousiasme de celui qui veut se battre comme les autres, sidération devant la violence brute du 1er bombardement, dégoût devant la découverte de la nature exterminatrice de cette guerre, où aucune différence n'est faite entre soldats et civils... Le visage candide de l'ado va progressivement porter le poids de toutes les atrocités auxquelles il a assistées. De nombreuses scènes sont poignantes voire insoutenables. La mise en scène est efficace, très travaillée. Les acteurs sont eux excellents. La jeunesse et la candeur du héros, de même que l'absence de personnage récurrent à ses côtés aboutissent à ce que soit absent tout débat idéologique durant le film. Le réalisateur nous fait partager à hauteur d'homme le terrible parcours de ce jeune soldat qui essaie juste de survivre dans ce cauchemar.
    this is my movies
    this is my movies

    708 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2018
    Indéniablement, ce film est un choc, une exploration de la folie humaine au sein d'un des conflits les plus meurtriers de l'histoire, une course effrénée vers le chaos le plus absolu. Visuellement, le film est beau, avec quelques plans à tomber par terre, y compris lorsqu'il nous plonge dans l'horreur. Mais ce n'est pas beau pour frimer, c'est beau parce que le cinéma russe est comme ça, avec des plans composés de manière remarquable et des lumières sublimes. Oui, mais voilà, c'est un film de guerre aussi, du genre qui nous fait partager le sort des civils plutôt que celui des militaires. Peu d'action, mais de la peur, de la boue, du sang, le froid, la misère, la survie, le feu, les larmes. Difficile de trop parler du contenu, qui se découpe en une poignée de séquences, parfois trop étirées à mon goût, avec un son envahissant, qui vous pousse aussi aux confins de la folie. C'est un choc, c'est tout, une oeuvre qui ne conviendra pas à tout le monde, à réserver à un public averti. C'est surtout un film qui fait passer "Apocalypse now" pour un film de vacances dans une station balnéaire du Vietnam. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
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