Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Sur un sujet très fragile, le film réussit un petit miracle, faire sentir le bonheur du présent et la belle mélancolie de l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Quantité de notations sur le vif, de détails parfois crus, sont réunis avec intelligence, qui composent une expérience parmi d’autres du féminin - celle de ces femmes, jeunes filles, mères, grands-mères, qui chacune renvoient un reflet de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
par La Rédaction
La réalisatrice portugaise filme ce qui arrive après la naissance d’un premier enfant. Le quotidien des parents qui se focalisent autour du nourrisson, le comportement des proches, leurs conseils… Dur dur d’être une maman. Presque comme un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Tempo Comum s’apparenterait presque à une installation artistique (beauté des cadres, de la lumière) qui rejouerait, en boucle, le scénario et le chemin parcouru par tant de couples.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Filmé comme un documentaire, cet élégant premier long métrage n’en demeure pas moins un film insolite dont on peut se demander à quel public il est destiné.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le projet est minimal, plutôt commun et tient à un fil (de narration, de dispositif), mais c’est précisément là toute son ingéniosité. (...) la cinéaste (...) capture le délitement progressif d’une temporalité, son basculement dans une forme d’engourdissement, un temps à la fois anesthésié et à vif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Mathilde Blottière
Décors réels, acteurs non professionnels : rien ou presque ne vient dramatiser le cours du quotidien. L’enfant est au centre d’un ballet de générations, dont chacune porte un récit sur la transmission… De cette douce invite à la lenteur, on ressort étrangement apaisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat est à moitié convaincant. En écartant toute possibilité de romanesque, le docufiction intimiste tel que le conçoit Susana Nobre, s’il se révèle par moments touchant, ne suscite pas un intérêt particulier.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Sur un sujet très fragile, le film réussit un petit miracle, faire sentir le bonheur du présent et la belle mélancolie de l’avenir.
Libération
Quantité de notations sur le vif, de détails parfois crus, sont réunis avec intelligence, qui composent une expérience parmi d’autres du féminin - celle de ces femmes, jeunes filles, mères, grands-mères, qui chacune renvoient un reflet de la réalisatrice.
Le Figaro
La réalisatrice portugaise filme ce qui arrive après la naissance d’un premier enfant. Le quotidien des parents qui se focalisent autour du nourrisson, le comportement des proches, leurs conseils… Dur dur d’être une maman. Presque comme un documentaire.
Le Monde
Tempo Comum s’apparenterait presque à une installation artistique (beauté des cadres, de la lumière) qui rejouerait, en boucle, le scénario et le chemin parcouru par tant de couples.
Les Fiches du Cinéma
Filmé comme un documentaire, cet élégant premier long métrage n’en demeure pas moins un film insolite dont on peut se demander à quel public il est destiné.
Les Inrockuptibles
Le projet est minimal, plutôt commun et tient à un fil (de narration, de dispositif), mais c’est précisément là toute son ingéniosité. (...) la cinéaste (...) capture le délitement progressif d’une temporalité, son basculement dans une forme d’engourdissement, un temps à la fois anesthésié et à vif.
Télérama
Décors réels, acteurs non professionnels : rien ou presque ne vient dramatiser le cours du quotidien. L’enfant est au centre d’un ballet de générations, dont chacune porte un récit sur la transmission… De cette douce invite à la lenteur, on ressort étrangement apaisé.
Première
Le résultat est à moitié convaincant. En écartant toute possibilité de romanesque, le docufiction intimiste tel que le conçoit Susana Nobre, s’il se révèle par moments touchant, ne suscite pas un intérêt particulier.