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GyzmoCA
176 abonnés
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2,5
Publiée le 11 septembre 2014
Le dernier de la série que j'ai entamé voila un an !! Jason est décongelé dans le futur et tue tout le monde dans le vaisseau spatial. Oui il faut se lever tôt pour imaginer ce scénario mais bon les meurtres sont bien faits et à la fin il se transforme en invincible .... !!!!
Le début semble encourageant pour le spectateur indulgent: le croquemitaine s'adonne à son passe-temps favori avant de se faire cryogeniser par sa victime du jour; réveillée quatre cents ans plus tard (!) celle ci s'aperçoit que le monstre peut etre également ramené à la vie. A partir de cet instant la franchise reprend ses droits et seul le décor change: Jason charcle tout ce qui bouge, en majorité des jeunes adultes écervelés et libidineux, pour un festival de tuerie qui ne divertit plus personne sauf ses fans les plus acharnés, qui seront certainement éberlués ensuite de voir le tueur se faire décupler ses forces et affubler dun masque 2.0! Apres Jason en foret, en ville et dans l'espace, quelle est la suite du programme pour la saga? Jason sous marin?
Attention faux navet ! Le principe de base de foutre Jason dans un vaisseau spatial tient du sketch définitif, et pourtant je me suis surpris à scotcher assez rapidement devant, à complètement adhérer à toutes ces couillonades et même à m’attacher à l’équipage, alors que d’habitude dans ce genre de film j’en ai vite rien à secouer et je subis à mort avec l’envie farouche de stopper le massacre télécommande en main. Les tueries sont cool et le duel entre la cyborg et Voorhies vaut son pesant de cacahuètes, je ne me suis absolument pas ennuyé une seule seconde, bon par contre il y a des aberrations scénaristiques assez hallucinantes, une vison du futur on ne peut plus cliché voir incompréhensible (450 ans d’évolution pour avoir des techniques de défense aussi mineures ?) et une fin un peu fastoche. Mais globalement c’est diaboliquement fun et efficace.
On préfère nettement se remettre Les Cochons dans l'espace (pour ceux qui n'ont pas la réf : une parodie régressive du Muppets Show qui se moque des space operas), car cette version de Jason qui décime des jeunes dans un vaisseau spatial pourrait bien se renommer Les Concons dans l'espace. Impossible de ne pas le prendre au énième degré, entre le masque futuriste (dégueu) qui remplace le masque de hockey, la femme androïde qui se la joue Alice de Resident Evil, les personnages qui ont des choix absurdes juste bons à servir de chair à décimer pour Jason, le "jeu vidéo" en réalité augmentée dans la soucoupe, le "Crystal Lake" numérique recréé encore dans la soucoupe où Jason prend une fille nue pour taper sur l'autre (c'est à ce moment qu'on a débranché définitivement notre cerveau), le final qui est décevant (pas plus que le reste, ceci dit)... Rien ne nous sort de l'image nanardesque de cet opus, mais on ne prend pas vraiment du bon temps devant, basculons donc ce qualificatif de "nanar" en "navet", pour être plus juste. Les effets spéciaux sont affreux (les inserts numériques sont très "New Line du début des années 2000" : une bouillie), la musique est absente, les décors pompent sur tout ce qui existe déjà dans le space opera, les acteurs semblent paumés, et on ne retient que le doublage d'Alexis Tomassian qui tente de sauver son personnage de la poubelle (un combat vain, mais il se donne à fond). Un opus qui n'a comme atout que son titre qui nous dit au moins où il se classe dans la saga (le dixième...heureusement qu'il n'en reste plus beaucoup après, de notre humble avis, cette saga est infernale). Vraiment, remettez-nous Les Cochons dans l'espace, c'est plus fun.
Incapables de se débarasser de Jason, des scientifiques décident de le cryogéniser. Suite à quelques désagréments, la charmante scientifique qui tentait de mettre le tueur au frais finit par partager son congélateur. Retrouvés quelques 450 ans plus tard sur une terre inhabitable par des humains venus d'une nouvelle terre, la belle est décongelée et malgré ses avertissements... Jason aussi ! S'en suit un jeu de massacre à bord d'un vaisseau spatial, un combat de Jason contre une cyborg et une hautement improbable résurrection : le tueur semble alors fait d'acier ; comment faire dans ce cas pour s'en débarrasser ? (Déjà que ce n'état pas chose aisée avant !) Côté réalisation et technologie, il y a de nets progrès. Pour le reste, Vendredi 13, ce n'est plus ce que c'était !
Partant d'un idée ridicule : foutre Jason dans un vaisseau spatiale. Le film enchaine les morts comme on enchaine les m&m's devant. Un assez bon mauvais film.
10ème épisode de la saga "Vendredi 13", cet ersatz de film d'horreur m'avait laissé un souvenir ciné plutôt sympa, assez en tout cas pour me le procurer en DVD un peu plus tard. Et c'est en cette belle année 2016, après l'avoir revu, que je me demande encore comment j'ai pu mettre ne serait-ce qu'un pauvre € là-dedans ... Suis-je devenu trop exigeant ? Peut-être mais mince ! Comment, en partant de "Vendredi 13" et son camp de Cristal Lake, a t-on pu en arriver là ? Bon, pour être tout à fait franc, je me souviens brièvement ce qui m'avait tant plu à l'époque, les mises à mort très originales pour l'époque, mais on touche quand même au nanar ici, d'ailleurs ça a l'air relativement assumé puisque rien n'effraie et le rire est de mise mais tout de même ... Le réalisateur est à la base spécialiste en effets spéciaux, et plutôt doué à priori, et c'est en ça qu'il aurait dû se cantonner très franchement. Tout est mauvais ici, des "acteurs" aux frontières du coma à la pitoyable réalisation en passant par un scéna... un scénar... un scén... j'y arrive pas ! De toute manière, à partir du moment où une suite de n'importe quel film se déroule dans l'espace, on sait pertinemment que quelque chose est parti en vrille, c'est bien le cas ici. Ma note ne représentera finalement pas grand chose car si l'ensemble est terriblement mauvais, c'est un régal à regarder à plusieurs, tranches de rire garanties ! A vous de le tenter, ou pas ...
Le 10e et dernier film Vendredi 13 (sans compter le remake). Une saga qui s'achève après 10 films très inégale. Ce dernier film est la définition du nanard, où l'on passe étonnement un bon moment. Un film absurde mais "bizarrement" captivant. Pourquoi ? Car c'est un film qui ne se prend pas au sérieux, contrairement aux précédents. Cela rend le film drôle par son absurdité.
Il y a des films qu'on aimerait plus pouvoir se souvenir tellement qu'ils sont mauvais. C'est le cas de Jason X. Le cordon Jason a été usé à un tel point on sait plus quoi inventer pour l'exploiter. Après le fantastique, voici la science fiction, Jason dans l'espace, dans le futur. On croirait une parodie, tellement c'est mal joué.
Interpellé, échappé, cryogénisé par l'armé, Jason se réveille en même temps qu'une soldat plusieurs milliers d'année après dans un vaisseau spatial. Comme dans Alien, il décime alors l'équipage un à un, certains voulant le conserver à des fins scientifiques. Sur un scénario lorgnant parfois trop sur Alien(s), le film est une réussite quasi parfaite dans tous les domaines: le mythe ressuscité, l'action, le gore la science fiction (avec un clin d'oeil à Terminator lorsque Jason se retrouve mi homme mi robot). Tout est parfait: action, rythme, effets spéciaux, etc La fin nous transporte même à Crystal Lake. Que dire? Les fans seront forcément comblé avec le retour du gore, de l'érotisme! Un vrai bonheur que ce revival inespéré de cette légende!
N'y allons pas par 4 chemins, "Jason X" est con comme une valise sans poignée, mais il a le mérite de s'assumer pleinement, comme un grand. Si vous voulez décompresser un bon coup et que vous éprouvez ce petit plaisir coupable de voir tout un tas de jeunes couillons se faire hacher menus par l'inénarrable Jason, qui a une imagination débordante et un tout nouveau masque de hockey hi-tech, ce film est pour vous. Avant visionnage, n'oubliez pas de mettre votre cerveau en pause et de libérer l'ado crétin qui sommeille en vous. Si vous êtes allergique à ce genre de divertissement hautement intellectuel, partez le plus loin possible de la zone de visionnage, car vous risquez la crise d'urticaire dès les premières minutes. On vous aura prévenu !
Sincèrement, j'adore Jason Voorhees. Le design, le "charisme", la machette, le masque, l'espèce d'air d'abruti congénital, tout me plaît chez ce mythe de l'horreur. Mais force est de constater que depuis 3 films, la saga se complait dans le médiocre voire même dans le ridicule avec les deux derniers opus.
Et là, arrive Jason X, slasher dans le futur (sic), réalisé par un responsable d'effets spéciaux (re-sic) chez Cronenberg, qui fait ici une apparition. On va tout de suite se mettre d'accord, le film est carrément abruti. Mais c'est le genre de film où il faut ABSOLUMENT s'accrocher jusqu'au bout, même si on s'ennuie. Parce qu'au final du film, à peu près vingt minutes avant la fin et lorsqu'on nous a fait avaler que Tsunaron, plutôt bien joué par Chuck Campbell (les acteurs sont plutôt bons, pour une fois, Lexa Doig et Peter Mensah en tête), arrive à retranscrire un Crystal Lake en hologramme et que Jason tue deux stéréotypes de victimes de slasher en les enfermant dans leurs sacs de couchage et en les cognant contre un tronc d’arbre, on s'aperçoit que James Isaac a pas mal compris le genre. C'est idiot, mais c'est super bourrin, assez drôle sans être trop comique non plus, mais réellement sympathique... Ce n'est ni trop long ni trop court et c'est un bon moment à passer.
Mais juste, je pense qu'Harry Manfredini est devenu sénile, sa musique, ce n'est plus possible. Voir Jason tuer sur un fond de musique de Monoprix, je n'en peux plus.
Bien sur ce dixième opus est peut-être celui de trop, mais voir un Jason Voorhees dans l'espace, cela ne peut être que défouloir. Crétin certes, mais complètement fun.