Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ciné Live
par Julien Vernor
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Marc Kressmann
C'est un film d'été, le genre à voir entre copains, le cerveau atomisé après une journée passée à la plage : un sujet malin, des gags bien lourds, une intrigue pas prise de tête (bien qu'un peu bâclée), une jolie fille (...) et quelques apparitions savoureuses (...)
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Consternant de bout en bout, La Boîte est la comédie la plus sinistre de l'année et renvoie l'image d'un pays nauséabond, pollué par ce qu'on appelle l'esprit d'entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Inutile d'aller vérifier le résultat, il est calamiteux : lourd, bête, mal joué, sans rythme, pas un bon plan, pas une bonne réplique. Rien à sauver !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Echos
par Anne Coppermann
(...) « Boîte » aux relents ringards de remake des « Charlots » de jadis (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Le hic, c'est que le vernis de la petite comédie sympa de l'été se craquelle vite sous l'effet de la chaleur (...). « La Boîte » est un film antipathique, dont le racisme et la misogynie (à peine) larvés, l'imbécillité satisfaite et la vulgarité laissent sans voix.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
(...) ce n'est pas sa totale vulgarité, d'ailleurs assumée avec une sidérante décontraction, qui coule sans retour La Boîte. C'est plutôt le conformisme épais qui encroûte le moindre gag, étouffe tout éclat de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Vincent Malausa
Tout, dans le nouveau film de Zidi, est le signe d'un détraquement : l'obscénité irrésumable des gags, le racisme (...), l'homophobie (...), la tendance incompressible du film à créer du nauséabond, de l'horreur (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
C'est un film d'été, le genre à voir entre copains, le cerveau atomisé après une journée passée à la plage : un sujet malin, des gags bien lourds, une intrigue pas prise de tête (bien qu'un peu bâclée), une jolie fille (...) et quelques apparitions savoureuses (...)
Chronic'art.com
Consternant de bout en bout, La Boîte est la comédie la plus sinistre de l'année et renvoie l'image d'un pays nauséabond, pollué par ce qu'on appelle l'esprit d'entreprise.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Inutile d'aller vérifier le résultat, il est calamiteux : lourd, bête, mal joué, sans rythme, pas un bon plan, pas une bonne réplique. Rien à sauver !
Les Echos
(...) « Boîte » aux relents ringards de remake des « Charlots » de jadis (...)
TéléCinéObs
Le hic, c'est que le vernis de la petite comédie sympa de l'été se craquelle vite sous l'effet de la chaleur (...). « La Boîte » est un film antipathique, dont le racisme et la misogynie (à peine) larvés, l'imbécillité satisfaite et la vulgarité laissent sans voix.
Télérama
(...) ce n'est pas sa totale vulgarité, d'ailleurs assumée avec une sidérante décontraction, qui coule sans retour La Boîte. C'est plutôt le conformisme épais qui encroûte le moindre gag, étouffe tout éclat de fantaisie.
Urbuz
Tout, dans le nouveau film de Zidi, est le signe d'un détraquement : l'obscénité irrésumable des gags, le racisme (...), l'homophobie (...), la tendance incompressible du film à créer du nauséabond, de l'horreur (...)