Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
On n'attendait rien du tout de cette suite bâtarde, et on se retrouve avec un film presque plus intéressant que son prédécesseur. OK, ici, pas de bisous entre Tom, Brad et Kirsten, mais de la perversité soft, des jolies compositions musicales, véritables copies carbones du meilleur des Smashing Pumpkins : une jolie horreur à déguster pour l'été.
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Sans parvenir à renouveler le genre du film de vampires, La Reine des Damnés introduit pourtant une question nouvelle, en confrontant les créatures de la nuit à une frustration spécifique engendrée par la société du spectacle : comment être un vampire, c'est à dire traverser l'immortalité loin de la lumière des hommes, tout en devenant célèbre ?
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) un film au maniérisme résolument kitsch, avec un héros à la pâleur préraphaélite promené entre atmosphère gothique et underground contemporain. Si le coeur vous en dit...
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
De nouvelles aventures beaucoup moins réussies que les précédentes. Seuls les amateurs du genre ne seront pas déçus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
A part la présence troublante d'Aaliyah, pas plus d'intérêt qu'un clip ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Grard Delorme
Seule Aaliyah, pour sa dernière apparition à l'écran, insuffle un peu de nerf à un film par ailleurs exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
On ne vous fait pas un dessin : il y a du sang, des corsets, des piercing, de grosses guitares, des effets spéciaux et du fond de teint blanc pour maquiller le manque de suspense.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Authentique nanar, La Reine des damnés se voudrait un objet séduisant mais n'est qu'une pénible suite de kistscheries improbables et prétentieuses (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Romain Le Vern
Bruyant, grotesque et surtout abêtissant, La reine des damnés est une absurdité sans nom, une escroquerie pure et bien dure qu'il serait franchement dommage - même à 1 euro 50 - de cautionner. En un mot ? Lamentable.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) le film de Michael Rymer opte pour l'exhibition des signaux d'un romantisme un peu trop ostensible pour ne pas être totalement ridicule. La photographie, les effets spéciaux, les décors sont par surcroît d'une confuse laideur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Bertrand Rougier
Au lieu de construire son film comme un documentaire gothique, il l'a érigé en clip vidéo simpliste et pourtant arrogant.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) La Reine des Damnés s'échine, hélas, à multiplier les effets tapageurs (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Le tout pas très bien fichu, encombré d'effets spéciaux prévisibles, avec une bande-son signée Marilyn Manson, Disturbed, Static X, Dry Cell...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
Avec un scénario embrouillé et d'une esthétique glam rock à faire pâlir d'envie Marylin Manson, La Reine des damnés compile par le menu tous les clichés cryptovampiresques sans la moindre cohérence.
MCinéma.com
On n'attendait rien du tout de cette suite bâtarde, et on se retrouve avec un film presque plus intéressant que son prédécesseur. OK, ici, pas de bisous entre Tom, Brad et Kirsten, mais de la perversité soft, des jolies compositions musicales, véritables copies carbones du meilleur des Smashing Pumpkins : une jolie horreur à déguster pour l'été.
Cahiers du Cinéma
Sans parvenir à renouveler le genre du film de vampires, La Reine des Damnés introduit pourtant une question nouvelle, en confrontant les créatures de la nuit à une frustration spécifique engendrée par la société du spectacle : comment être un vampire, c'est à dire traverser l'immortalité loin de la lumière des hommes, tout en devenant célèbre ?
Le Figaroscope
(...) un film au maniérisme résolument kitsch, avec un héros à la pâleur préraphaélite promené entre atmosphère gothique et underground contemporain. Si le coeur vous en dit...
Le Parisien
De nouvelles aventures beaucoup moins réussies que les précédentes. Seuls les amateurs du genre ne seront pas déçus.
Les Inrockuptibles
A part la présence troublante d'Aaliyah, pas plus d'intérêt qu'un clip ordinaire.
Première
Seule Aaliyah, pour sa dernière apparition à l'écran, insuffle un peu de nerf à un film par ailleurs exsangue.
Aden
On ne vous fait pas un dessin : il y a du sang, des corsets, des piercing, de grosses guitares, des effets spéciaux et du fond de teint blanc pour maquiller le manque de suspense.
Chronic'art.com
Authentique nanar, La Reine des damnés se voudrait un objet séduisant mais n'est qu'une pénible suite de kistscheries improbables et prétentieuses (...).
Cine Libre
Bruyant, grotesque et surtout abêtissant, La reine des damnés est une absurdité sans nom, une escroquerie pure et bien dure qu'il serait franchement dommage - même à 1 euro 50 - de cautionner. En un mot ? Lamentable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) le film de Michael Rymer opte pour l'exhibition des signaux d'un romantisme un peu trop ostensible pour ne pas être totalement ridicule. La photographie, les effets spéciaux, les décors sont par surcroît d'une confuse laideur.
Mad Movies
Au lieu de construire son film comme un documentaire gothique, il l'a érigé en clip vidéo simpliste et pourtant arrogant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) La Reine des Damnés s'échine, hélas, à multiplier les effets tapageurs (...).
Télérama
Le tout pas très bien fichu, encombré d'effets spéciaux prévisibles, avec une bande-son signée Marilyn Manson, Disturbed, Static X, Dry Cell...
Zurban
Avec un scénario embrouillé et d'une esthétique glam rock à faire pâlir d'envie Marylin Manson, La Reine des damnés compile par le menu tous les clichés cryptovampiresques sans la moindre cohérence.