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    Equilibrium
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    3,5
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    820 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 janvier 2014
    Equilibrium est le film qui maîtrise son esthétique brillamment avec un message percutant mais dont la perfection est ruiné par des incohérences catastrophiques et quelques plagiats d’œuvres dystopiques énormes.
    Dans un futur ou les émotions sont réprouvés grâce à la prise quotidienne du Prozium, produit contrôlant les individus, un Ecclésiaste (genre de soldat chargés d'exterminer les rebelles osant éprouver les sentiments justement) va peu à peu ressentir des émotions après avoir malencontreusement casser son produit, et va se rebeller à son tour...
    Une chose à dire : à certains moments, l'esthétisme et le style sont splendides et marquent bien la froideur d'un monde pareil. Tout comme le jeu d'acteur de Christian Bale et de Sean Bean (comme vous le doutez, il va mourir aussi dans le film !) et le message issue.
    Malheureusement, les erreurs sont évidentes. Alors que les individus sont censés ne pas éprouver des émotions sous peine de mort, un coéquipier du heros va pendant une scène être en colère et personne ne réagit ! Je peux pas citer les incohérences tant elles sont nombreuses.
    Parlons d'un autre problème : les copies des œuvres dystopiques. L'historie se rapproche trop de 1984 et d'un Bonheur Insoutenable et il y a un long passage tout droit sorti de Matrix.
    Un petit film SF qui sans ses fautes aurait pu être meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 janvier 2014
    Concept intéressant, qui rappelle quand même 1984 ou le meilleur de mondes. Mais, ce film est bourré d'incohérences. Le plus frappant est que certains personnages censés être sous médication sourient autant voire plus que d'autres censés éprouver des émotions. Du coup impossible de déviner qui est qui, qui joue à l'agent double, etc. Mais pas de panique, il n'y a que du premier degré dans ce sénario et presque aucune subtilité.
    Et que dire des scènes d'actions? Un grand n'importe quoi. La scène finale avec le grand patron assez hilarante et si peu crédible.

    A éviter
    Gody G.
    Gody G.

    21 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2013
    Bon film d'action fantastique. Bonne thématique. Par contre les scènes de combats, c'est un peu abusé.
    scarface85
    scarface85

    5 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    un très bon film de science fiction dans lequel C. Bale excelle comme toujours! Encore une preuve qu'il peut tout jouer! Un film sombre et touchant devant lequel on ne s'ennuie pas une seconde!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 décembre 2013
    Le cinéma nous transporte. Nous regardons l’écran avec des rêves plein la tête, peu importe lesquels, nous rêvons. Nous rêvons en regardant des rêves, tels d’omniscients démiurges d’un monde que nous ne pouvons changer mais dont nous observons la destruction et la reconstruction dans une boucle qui ne saurait être bouclée. Nous créons nos propres rêves en images pour en permettre d’autres encore, foisonnement d’univers fruits de nos désirs. Des désirs font naître des créations, des créations font naître des émotions. En définitive, nous sommes nos propres aspirations.

    Plus connu en tant que scripte et scénariste, la carrière de Kurt Wimmer sur la chaise de la direction n'est pas la plus marquante de son siècle. Ses réalisations sont au nombre de trois, dont deux, One Tough Bastard de 1998 et Ultraviolet de 2006 qui n'ont pas su sortir de l'obscurantisme dans lequel elles sont tombées pour ne plus en ressortir. Il en est cependant une, Equilibrium de 2003, qui a réussi à s'élever en tant que référence culte pour certains, en voyage riche de qualités pour d'autres ou encore pour le reste, en pâle copie de vieux sages avant elle, veillant à la bonne marche du courant dont ils sont les pères. Je parle ici de Fritz Lang, Truffaut, Kubrick, Orwell ou encore Terrence Gillian, avec respectivement leurs œuvres Metropolis, Fahrenheit 451, Orange Mécanique, 1984 et L’Armée des 12 singes pour qui la bête humaine n’est qu’un reptile bon à se mordre inlassablement la queue et dont Wimmer semble directement s’inspirer pour son film. La dystopie n’est que ressentis et regard sur le monde et en ça, Kurt fait son boulot avec maestria.
    L’univers qui est dépeint dans Equilibrium est létal, sombre et implacable, pourtant juste dans un sens, dont le maître-mot semble être l’ordre. Un ordre qui pourtant ne crée que chaos, un chaos dans lequel le fonctionnement de ce monde grouillant de vérités égarées trouve son ordre, rejoignant de la sorte une certaine analogie de la fatalité. Une Terre fictive où les émotions, ou plutôt leur existence, font office de prisonniers en fuite pourchassés par la hache d’un bourreau infatigable et aveuglé par la foi en sa croisade. Régime totalitaire régit par une force invisible, où les émotions humaines sont annihilées par le Prozium que tous prennent aveuglément, persuadés que la paix n’est possible qu’en l’absence de l’essence de l’Homme. La paix au profit de l’humanité, voilà un moyen parmi tant d’autres. Une guerre adoptée, ravageuse d’horizons, remplacée par une guerre souterraine, contraire à elle-même.

    Ecclésiaste Preston, fer de lance de cette société, parangon de ses préceptes et doctrines, s’articule autour de quelque chose qu’il n’a jamais touché. Au travers de ses tribulations en un macrocosme complètement artificiel, nous voyageons avec nous. Nous redécouvrons ce qui nous a amené à le regarder, lui, agent qui se meut face à des paysages jonchés d’un magnifique passé qui doit de nouveau s’élever, lui qui est mort pour mieux vivre. La perte de sentiments provoque la mort. Nous suivons un cadavre qui revit, attisant les ombres du linceul qui l’enveloppait, qu’on lui a imposé. Kurt Wimmer a fait mourir l’Homme pour mieux le faire renaître, le faire naître tout simplement, pour voir la beauté de ce qui l’entoure et le façonne.
    « Mais moi étant pauvre, je n’ai que mes rêves. J’ai étalé mes rêves sous vos pieds. Piétiné doucement, car vous avez piétiné mes rêves. Je suppose que tu rêves Preston. », nous annonce un Ecclésiaste Partrige, touché par son humanité et ses songes retrouvés, presque le commandement d’un stratège suppliant pour le salut de son armée en perdition. Un homme accuse les hommes d’en être. La caméra de Wimmer ne nous montre pas un film de dictature sur simple fond de SF mais un regard, un regard plein d’émotions. Des émotions retranscrites non pas par les décors ternes, plats, simplistes, vides de toute tentation, vides comme le monde, mais par l’impassibilité d’un visage qui ne demande qu’à réapprendre. Que ce soit notre reflet dans le miroir, le soleil sur un panorama d’ordinaire abîmé par son austérité, la morsure glaciale d’une rampe d’escalier, la caresse d’un doigt hésitant sur une joue délicate ou un ruban de soie rouge imbibé de la promesse d’une réincarnation, tout est prétexte à une contemplation nécessaire à la survie et le réveil de nos émotions, même au sein du désespoir le plus absolu.
    Des mots, toujours des mots. Mais tous les mots du monde ne peuvent remplacer l’impact du plus petit des maux qui nous ébranle au-delà de ce que nous avons pu considérer comme acquis., le manque d’humanité.

    « C’est circulaire, nous existons pour continuer notre existence, quel est l’intérêt ? L’intérêt de mon existence est de ressentir et sans ça, respirer n’est qu’un cliquetis de montre. Parce que vous ne l’avez jamais fait vous ne pouvez pas savoir ce que c’est. »
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Equilibrium paraît au départ n'être qu'une simple série B d'anticipation, seulement, il nous transmet plus que l'histoire d'un futur sombre et dystopique, il nous transmet également l'histoire d'un homme, convaincu que la société qu'il sert et protège des émotions humaines, apprend peu à peu à découvrir la réelle liberté : en ne prenant plus par accident son prozium, il découvre un bouquet de sentiments et d'émotions jamais connues auparavant, et tel une drogue, ne peut plus s'en débarasser.
    Avec un Christian Bale encore une fois excellent, qui s'oppose aux dogmes totalitaires d'un personnage campé par un Angus Macfadyen ressuscité (Braveheart...), Equilibrium s'impose en réalité comme un thriller d'anticipation intelligent, où scènes d'action intense (mises en valeur par le gun-kata...) et philosophie inspirée par -entre autres-George Orwell s'entremêlent, combinés à une belle bande originale composée par Klaus Badelt pour donner un final bourré d'émotions pour le spectateur.
    Mention spéciale à Kurt Wimmer pour son travail, avec un budget pourtant petit en comparaison des autres séries B, d'un niveau bien inférieur.
    Ce film est à voir absolument pour tout fan de SF et de dystopies en tout genre.
    cris11
    cris11

    56 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Equilibrium est un bon film d'anticipation s'appuyant sur un bon casting avec en tête d'affiche Christian Bale collant parfaitement à ce rôle et sur une ambiance très froide, presque sans émotion au départ puis avec quelques séquences d'émotion ensuite (suivant vraiment ce que ressent le personnage principal). Les scènes d'action sont très bien filmées, bien exécutées, et surtout très stylisées avec une envie évidente de proposer quelque chose de différent. La mise en scène est totalement maitrisée et très sobre (pas de surenchère dans le tape à l'oeil inutile). Les décors sont aussi très réussis car il colle parfaitement à l'ambiance: très carré, assez triste et avec des couleurs froides. Enfin concernant l'histoire, il s'agit d'une histoire d'anticipation pas spécialement originale dans le fond (Un homme s'élève face à un régime totalitaire dans le but de faire une révolution...) mais bien ficelée sur la forme avec de bons rebondissements inattendus. Equilibrium est un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 septembre 2013
    J'adore ce film! vraiment le scénario est original, j'y avais decouvert Christian Bale qui depuis à largement fait ces preuves. Le film est touchant et amène à réfléchir sur notre mode de vie et l'avenir. Vraiment, un film culte pour moi.
    gnomos
    gnomos

    54 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 septembre 2013
    J'adore les dystopies en règle générale, mais celle-ci est une véritable purge pompée sur les plus célèbres d'entre elles. Prévisible d'entrée de jeu, bourrée d'incohérences, mâtinée de combats ridicules ( un genre qui me laisse de glace ), je crois que j'ai du absorber une dose de prozium tant j'ai ressenti peu d'émotions au visionnage de ce film. Dans le même registre d'une société proscrite de ses émotions censée apporter une paix totale et dérivant bien sûr vers le totalitarisme, on peut également citer l'invasion des profanateurs de sépultures et ses remakes, surtout Invasion bien plus cohérent que ce film quant au comportement robotisé induit par l'absence d'émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Ce film fait partie de mes favoris et également de ceux que j’ai visionné le plus de fois. Le thème, qui n’est pas sans rappeler celui du roman de Georges Orwell, 1984, est traité de façon assez remarquable. L’univers représenté est froid, austère, sans aucune âme. Cette ambiance glaciale est favorisée par des décors ternes, sans couleur, totalement aseptisés et normalisés. (La scène montrant les rangées de bureaux équipés des mêmes fournitures, agencées strictement de la même façon, en est un exemple frappant.) Les thèmes de la dictature et de la répression sont omniprésents ce qui apporte une tension palpable durant toute la durée du film. La performance des acteurs est excellente, notamment celle de Christian Bale dont l’attitude impassible est exemplaire. Les dialogues sont simples et percutants : pas de longue tirades caricaturales, pas de gags lourdingues (le film n’est pas vraiment drôle à vrai dire). Bref, un peu de simplicité qui ne fait pas de mal et qui est devenue relativement exceptionnelle dans les grosses productions d’action / SF actuelles. Côté action, on est bien servis : les combats, savoureux mélange d’armes à feu et d’arts martiaux, sont esthétiques, très bien chorégraphiés et sans surenchère d’effets spéciaux. Comme quoi cela ne fait pas tout. Bien que certaines similitudes avec Matrix sont tout à fait évidentes, celles-ci s'arrêtent uniquement au côté visuel (décors, costumes, combats) puisque le scénario n'a absolument rien à voir. Scénario qui, justement, est bien ficelé, déroulé selon un rythme bien pensé et aboutissant à une conclusion inattendue. Bref, un film captivant, qui pousse à la réflexion sur le pouvoir et la nature de l’homme tout en restant parfaitement divertissant.

    Petite parenthèse : A tous les détracteurs qui affirment que certains personnages sont trop expressifs alors qu’ils sont sensés ne ressentir aucune émotion (Je pense notamment à Brandt, le collègue de Preston spoiler: qui est littéralement assailli par la rage lors de l’arrestation de ce dernier
    ), il existe une explication simple (bien que non expliquée dans le film) : spoiler: Après le retournement de situation dans lequel Preston, arrêté par son collègue, arrive à faire porter le chapeau à ce dernier, on apprend que tout ceci n’est qu’une mise en scène visant à faire en sorte que Preston se sente en confiance et croie avoir gagné. Il devient donc évident que Brandt est de mèche avec le parti. Hors nous apprenons à la fin du film que le plus haut représentant du parti lui-même ne prend plus son prozium. Il est donc très probable que Brandt, participant à la vaste machination en place, soit également dans le même cas et puisse donc ressentir des émotions.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Nous décrivant un monde où l'on aurait enfin pu se débarrasser de toute haine, toute violence, un monde où plus aucune guerre n'existe et ce grâce à un produit que prend tous les jours la population et qui annihile purement toute émotion...et sans émotions, on aime plus, on ne haït plus, donc on ne peut plus se battre. Et dans ce monde, une police existe : les ecclésiastes. Unité spéciale "anti-sentiments", leur but est de traquer ceux ne prenant pas leur produit ainsi que les objets pouvant générer des émotions rien qu'à leur vue ou à leur toucher. Point de départ plus qu’intéressant. ''Equilibrium'' est un film d'ambiance avec de l'action....et non pas un simple film d'action comme certains pourraient le croire. Même s'il est vrai qu'il a un petit côté "Matrix" (la tenue des ecclésiastes, le style de certains combats, les décors...), ce n'est pas non plus que du combat non stop. L'atmosphère dégagée par le contexte et le "monde" lui-même du scénario est original et attrayant....d'ailleurs j'avoue que j'aime beaucoup ce monde. Côté réalisation, Kurt Wimmer s'en sort avec les honneurs : la mise en scène est plus que potable, je dirais même plus qu'il y a du génie dans certains plans et scènes. Bon il faut aussi avouer que Kurt n'en ai pas à son premier coup d'essai : il a déjà a son compte ''L’Affaire Thomas Crown'' et ''La Recrue''. Pour vous convaincre, il n'y a qu'à voir la scène au début où Preston se retrouve dans une pièce sans lumière avec des "terroristes" : un véritable petit chef d'œuvre de style !!! Ensuite, comment ne pas parler de LA trouvaille de ce film, je parle bien sûr de l'art martial pratiqué par les ecclésiastes : spoiler: le Gun-Kata
    . C'est vraiment une idée originale, viable et visuellement superbe....regardez la 1ère scène dans la pièce sombre ou encore les échanges du combat final : du vrai travail d'orfèvre, c'est vraiment excellent et ça donne une de ses forces aux scènes d'action !! ...d'ailleurs je fus un petit peu déçu que pour ''Matrix Revolutions'', les Frères Wachowski n'est pas utilisé spoiler: le Gun-Kata
    : dans le dernier combat Neo VS Smith, ça aurait été encore plus grandiose !!! Côté musique, nous avons une B.O. d'exception faite par Mr Klaus Badelt, qui nous gratifie d'un score exceptionnel où les genres se mélangent sans jamais s'étouffer les uns les autres....un ensemble harmonique très agréable à l'oreille. Côté acteurs, y'a rien à reprocher non plus....Christian Bale est un homme incroyable : il peut à lui tout seul sauver des films pas très géniaux (''American Psycho'' et ''Le Règne du Feu''), il mérite vraiment d'être nominé aux Oscars et d'en remporter un !!! Quand aux autres, que ce soit le nouveau coéquipier de Preston joué par Taye Diggs ou le "méchant" patron de Preston en la personne de Angus Macfadyen (vous savez, celui qui continue à combattre les anglais après la mort de Wallace à la fin de ''Braveheart'' !), ils s'en sortent très bien aussi...seul Emily Watson fait triste figure ici, elle n'est pas convaincante alors que son personnage est très important pour l'évolution de Preston. Seul regret : Sean Bean n'apparaît qu'au début et c'est bien dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 août 2013
    L'idée de cette anticipation est bien mais "gâché" par l'action qui ce rapproche étrangement de Matrix, le meilleur des mondes, 1984 et fahrenheit 451
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 août 2013
    Un bon film mais sans plus. Un film par fois un peu trop pompé sur Matrix et quelques scènes sont un peu improbables et incohérentes. Mais le film se laisse regarder si on est pas trop exigeants et bon public. Faut pas s'attendre à un film de la portée philosophique de Matrix.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 août 2013
    Excellent , avec evidemment en acteur principal christian bale... Un de mes acteurs préféré .. il est beau il joue bien.. tout coordonne bien , bonne réalisation
    A ne pas manquer pour les ammateurs de sf
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 août 2013
    je suis une inconditionnelle de Christian Bale donc je ne peux être objective, mais Equilibrium a ma preference dans sa filmographie.
    j aime ce melange de Matrix, Batman et autres Terminator.
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