AlloCiné
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Votre avis sur Rollerball ?
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Remake inutile; je vénère Mc Tiernan pour ses Die Hard, Last Action Hero ou autres... Mais là, l'original interprété par le géant James Caan reste loin devant, tres loin...Comme quoi, le remake d'un film culte fait par un realisateur de films cultes ne marche pas tout le temps.
Complots et enjeux mèdiatiques! Malgrè une hallucinante sèquence d'ouverture qui ne justifie en rien le dèplacement, ce remake sabotè du cultissime "Rollerball" de Norman Jewison est bien dècevant de la part de John McTiernan et souffre d'une terrible erreur de casting en la personne du mèchant Jean Reno qui ne cesse de cabotiner avec un accent très poussè! Signè pourtant par un metteur en scène autrefois bien membrè ("Die Hard", "Predator"), ce "Rollerball" version 2002 est enrobè de situations dèjà vu et revu! Côtè tête d'affiche, Chris Klein (aux faux airs de Keanu Reeves) est bien fade et n'a pas la prèsence et le charisme de James Caan! Si le casting et le scènario ne mèritent guère de louanges, la rèalisation des sèquences sportives contentera au moins les amateurs du genre! Dispensable...
j'aimerai bien savoir pourquoi un bon réalisateur comme john Mctiernan s'est lancé dans un tel projet ? Au final, on obtient un remake aussi mauvais qu'inutile avec un Chris Klein aussi charismatique qu'une huite et un Jean Reno ridicule avec son accent russe. Tout le film n'est qu'une vaste blague par rapport à l'original et je me demande qui a eu l'idée de tourner avec des cameras infrarouges nous donnant une image verte vraiment trés laide ?
On ne pensait pas voir ça de si tôt dans une vie d'homme mais pourtant... John McTiernan est capable de réaliser de véritable bouse cinématographique!
Frôlant avec le film de Série Z, cet "oeuvre" (que n'aurait pas renié un Christophe Lambert) est un échec total de mise en scène et de scénario et ce, de A... à Z.
Frôlant avec le film de Série Z, cet "oeuvre" (que n'aurait pas renié un Christophe Lambert) est un échec total de mise en scène et de scénario et ce, de A... à Z.
Hallucinant navet, aux antipodes du film de Norman Jewison dont il est le remake. Il est de notoriété commune ue ce film a été charcuté par la production, comme ça avait été le cas pour "Une journée en enfer" et "Le 13ème guerrier", deux autres films de McTiernan. Cependant, ici, je vois mal ce qui pourrait sauver le désastre. Jean Réno surjoue, l'acteur principal est mauvais au possible, le scénario est ridicule et pas mal de scènes font pitié (celle, nocturne et filmée à la caméra digitale infrarouge, donnant une couleur verte à l'image, est horrible), notamment la fin. Bref, fan absolu du "Rollerball" de Jewison, j'avais foncé au cinéma voir ce remake, et je suis sorti avant la fin, ne le regardant en entier que lors d'un passage télé. A oublier.
Encore un film bousillé par les producteurs qui, à force de remontages, ont donné ce film pas terrible alors que ça aurait dû être un chef d'oeuvre! Ainsi, certaines scènes sont excellentes (la scène d'ouverture, les séquences au sein du Rollerball, le final...) et la casting est impeccable (Chris Klein décidemment trop rare, Jean Reno en méchant, LL Cool J charismatique). Mais le montage est des plus douteux, la violence est aseptisée et la ridicule scène en vision de nuit finit d'achever le film. Et pourquoi situé l'action en Asie Centrale et pas aux USA (le propos politique aurait été renforcé). Dommage!
Remake ultra raté et inutile.
Piteux remake du film "homonyme". Il n'y a rien d'intéressant ici, on ne comprend pas pourquoi ce type de "cirque romain des temps moderne" existe et quelle est son véritable enjeu. Jean Reno cabotine et ne sert presque à rien dans ce film. On est loin, très loin de l'original qui était à la fois dur et drôle.
Ce qui m'a le plus deçu dans ce film c'est en fait le nom du réalisateur: John McTiernan. Lui qui nous avait habitué à de très bons films comme Predator, Piège de Cristal, Last Action Hero etc... bah là c'est une rouste qu'on prend! Qu'est ce que c'est mauvais! Le film est formaté, pas si bien filmé que ça, bâclé, mal joué (mon dieu Jean Reno!), et puis quoi Grostesque c'est tout! Ah oui mention spéciale à une séquence qui est tout simplement moche et râté, c'est celle où Chris Klein et LL.Cool J s'évadent pendant la nuit! Le tout a été filmé en vision nocturne croyez-moi c'est méga-laid et ça dur un quart d'heure au moins! Bref à fuir...
Une critique agressive (le mot est très , très faible) de la société du spectacle et de la manipulation des foules par l'image , qui nous balance en pleine face une foule de désirs malsains qui sont finalement les notres. Un chef-d'oeuvre malmené , amputé , abîmé par ses producteurs , mais habité par la rage et le génie du grand John Mc Tiernan. Une vraie bombe qui sait allier reflexion et spectacle pur , le tout orchestré par un réaisateur toujours en pleine possession de ses moyens. Un film incompris à réhabiliter d'urgence.
Certainement le film le plus nul que j'ai jamais vu!! c'est la première fois que j'avais envi de dormir dans un cinéma....
L'histoire est bidon, confuse, illogique, les acteurs mauvais....à oublier!!
L'histoire est bidon, confuse, illogique, les acteurs mauvais....à oublier!!
Malgré un synopsis qui peut produire un bon film (cf le premier rollerball), ici, on n'échappe pas à la catastrophe internationale. Internationale en effet, car notre bon Jean RENO est de la partie et joue le méchant du film (ça on le comprend grâce à l'accent russe très poussé)... Bon. Passe encore, se dit-on. Mais le reste du casting (américain) est malhereusement inexperimenté. L'ambiance générale du film reste à peu près aussi captivante qu'une morue froide et le jeu aussi plat que le rythme cardiaque du spectateur déjà mort d'ennui. A noté une scéquence incroyable filmée en caméra infrarouge... Ca rend l'ecran complètement vert pendant environ 15 minutes. 15 minutes c'est long. Surtout devant ce film. On peut s'attendre à mieux de la part du réalisateur (McTiernan) qui avait avant fait "piège de cristal".
Pourquoi tant de mauvaises critiques ? Il faut vraiment se demander si McTiernan ne devrait pas recommencer à faire des films d'action sans originalité ni but, tant dès qu'il sort des sentiers battus on le stigmatise illico.
Avec Rollerball, John McTiernan met en scène une formidable critique de la société, de son hypocrisie, de son commercialisme effrayant et de tous les enjeux qu'il y a derrière le sport. En somme, Rollerball commence par nous montrer le jeu vu de l'intérieur, c'est à dire que, comme Jonathan Cross, on croit que tout est beau, tout n'est que jeu et tout cela est très gentil, mais peu à peu, le spectateur s'engouffre dans la même faille que les héros du film de McTiernan, à savoir celle de l'envers du décors. Et là c'est un tourbillon infernal : complots, enjeux médiatiques, mise en scène d'éléments réels, Rollerball dénonce tout.
Or aux Etats-Unis, on n'aime pas beaucoup ça les gens qui ouvrent trop leur gueule. Mais même si la censure aura injustement amputé Rollerball d'une bonne trentaine de minutes, le film a su garder avec lui non-seulement toute la férocité de son message, mais aussi toute l'énergie du sport qu'il fallait faire passer.
Pour faire vite, Rollerball 2001 est LE film d'action par excellence : bourrin, dynamique, enragé, mais qui plus est intelligent et remarquablement mis en scène.
Alors que dire de la presse et des spectateurs qui boudent un spectacle non-seulement très sympathique, avec une forme soignée, mais avec, en sus, un fond remarquablement exploité ? Et bien il n'y a rien à dire. McTiernan s'est fait piéger par ce qu'il a voulu dénoncer. Et même si le film se trouve définitivement amputé de trente minutes décisives, qu'il n'a eu ni le succès critique ni le succès spectateur escompté, il n'en reste pas moins un formidable coup de gueule, que ni la censure ni les médias ne pourront jamais faire oublier.
Avec Rollerball, John McTiernan met en scène une formidable critique de la société, de son hypocrisie, de son commercialisme effrayant et de tous les enjeux qu'il y a derrière le sport. En somme, Rollerball commence par nous montrer le jeu vu de l'intérieur, c'est à dire que, comme Jonathan Cross, on croit que tout est beau, tout n'est que jeu et tout cela est très gentil, mais peu à peu, le spectateur s'engouffre dans la même faille que les héros du film de McTiernan, à savoir celle de l'envers du décors. Et là c'est un tourbillon infernal : complots, enjeux médiatiques, mise en scène d'éléments réels, Rollerball dénonce tout.
Or aux Etats-Unis, on n'aime pas beaucoup ça les gens qui ouvrent trop leur gueule. Mais même si la censure aura injustement amputé Rollerball d'une bonne trentaine de minutes, le film a su garder avec lui non-seulement toute la férocité de son message, mais aussi toute l'énergie du sport qu'il fallait faire passer.
Pour faire vite, Rollerball 2001 est LE film d'action par excellence : bourrin, dynamique, enragé, mais qui plus est intelligent et remarquablement mis en scène.
Alors que dire de la presse et des spectateurs qui boudent un spectacle non-seulement très sympathique, avec une forme soignée, mais avec, en sus, un fond remarquablement exploité ? Et bien il n'y a rien à dire. McTiernan s'est fait piéger par ce qu'il a voulu dénoncer. Et même si le film se trouve définitivement amputé de trente minutes décisives, qu'il n'a eu ni le succès critique ni le succès spectateur escompté, il n'en reste pas moins un formidable coup de gueule, que ni la censure ni les médias ne pourront jamais faire oublier.
Les matchs (les combats plutôt) de ROLLERBALL (d'une violence rare) sont magnifiquement filmés et le sentiment d'être plongé dans l'arène au milieu de ces gladiateurs des temps modernes est excellent. Hélas, un film qui a fait froid dans le dos des critiques... Allez je l'encourage !!!
Rollerball 2002 est réellement un pur film d'action. Il bénéficie d'une mise en scène parfaite et d'un scénario suffisament dosé pour tenir le spectateur en haleine d'un bout à l'autre.
Il ne garde finalement que le message du premier (de 1975). Si on a apprécié le premier, on peut ne pas accrocher.
Mais je trouve que le film de 2002 dit bien ce qu'il a à dire aux gens de cette génération.
Il ne garde finalement que le message du premier (de 1975). Si on a apprécié le premier, on peut ne pas accrocher.
Mais je trouve que le film de 2002 dit bien ce qu'il a à dire aux gens de cette génération.
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