Je n'avais pas souvenir d'avoir vu un mauvais film avec Jean Reno...ça y est c'est fait...le film est on ne peut plus plat et mou...passez votre chemin
Au scénario original nettoyé, lavé, de tous ses corps étrangers et de ses éléments SF, ce remake de J.Mc Tiernan tente de faire tendance en apportant un casting international, et en ajoutant de longues séquences de dialogues interminables, pour aboutir donc à une sorte de blockbuster honorable et au charme vulgaire, mais, en effet, plutôt sans rapport avec le chef d'oeuvre de 1975; et en dépit des énormes moyens de la production initiale. A noter toutefois l'excellente prestation de Rebecca Romijn/Stamos en amazone-walkyrie.
Je ne savais pas quoi regarder, je lance ce film qui traîne au hasard sachant que ça risquait d'être une petite bouse, et en plus je ne suis pas un fan de McT. Pourtant le film commence très fort, une descente en je sais pas quoi tout à fait fun et dynamique, ça laisse présager du bon. Passé le premier match, viscéral et plutôt pas mal, malgré le montage très serré, limite illisible, après la première demi heure l'ennuie gagne très fortement mon petit esprit… Jusqu'à qu'il s'emmerde totalement passé la première heure et qu'il décide d'abréger les souffrances en passant en accéléré la fin du film…
Un film brouillon au possible, insipide de ennuyeux, avec des acteurs mauvais (qu'est venu faire Jean Reno dans cette aventure). Il vaut vraiment mieux se limiter à la version de 1975, bien plus structuré et porteur de messages.
Le concept au début est interessant mais bon au bout dequelques matchs on se lasse vite sans parler d'une fin prévisible ...Le film n'est pas tres realiste avec ce sport inventé mais il se laisse regarder ...
Rollerball est une oeuvre d'une rage et d'une énergie interne inouïes. McTiernan invente un jeu à lui tout seul. Un seul point noir : les acteurs, autant Chris Klein que Jean Réno
Nul par rapport a l'original car les scènes d'action sont moins violentes le message politique moins clair, les acteurs moins bons, bref un remake inutile et le plus mauvais des Mc Tiernan...
Film d'action banal, les personnages sont insipides et sans caractères, dommage car avec un scénario un peu plus élabore et des personnages avec des personnalités plus complètes, le film aurait pue être excellent Cependant l'histoire est confuse voir incompréhensible (ou inexistante), et les scènes d'actions sans grands intérêts. Dommage ce film aurait pue être un chef d'œuvre.
Malgré Jean Reno, Chris Klein, Rebecca Romijn et une bande annonce qui donne envie, j'ai été déçue par ce film. Le sénario manque de profondeur et se résume en 2 phrases, les scènes d'action se ressembles toutes. On croit rentrer dans un monde stéréotypé de russes mafieux et de télé réalité prête à tout pour faire de l’Audimat.
Le moins que l'on puisse dire c'est que le montage de ce Rollerball est assez particulier. Les fautes purement techniques et les erreurs de goût sont légions avec des raccords dans l'axe vraiment moches, des faux raccords, des cadrages approximatifs, des jump cuts incohérents et des ellipses beaucoup trop importantes pour suivre convenablement le déroulement de l'histoire (et du jeu). On sent bien que quelqu'un (le(s) producteur(s) hein?) a tranché dans le lard à la manière d'un boucher. Le film aurait bien mérité 40 minutes de plus tant les événements et surtout la fin, tombent les uns après les autres comme des cheveux dans la soupe. Mais pire que le montage, c'est le projet dans sa globalité qui pose problème et on peine à croire que le grand Mc Tiernan soit derrière la caméra. La critique d'une société avide de violence sous l'emprise des médias et de son audimat est franchement enfantine pour ne pas dire totalement à côté de la plaque. Pour commencer, jamais la violence à l'écran, en l'occurrence une sorte de jeu du cirque (le Rollerball) n'aura été aussi mal filmée (parle-t-on toujours de Mc Tiernan?). Même la course de char de Ben-Hur est quarante mille fois plus violente que le Rollerball. Et on est bien triste lorsque l'on sait que cette violence là, qui aurait dû servir au discours du film, a été pour ainsi dire "édulcorée" par des producteurs rapaces. Aucun enjeu, aucune cohérence dans la représentation de ces matchs (assiste-t-on à une sorte de match de Hockey?). On ne comprend rien aux règles ni à ce qui se trame à l'écran. Alors lorsque les spectateurs se révoltent contre la soit-disante "violence" du Rollerball (du genre "trop c'est trop"), un énorme sentiment de vide et d'incompréhension nous inonde car rien n'a permis jusqu'alors de nous emmener à cette espèce de conclusion. Ce film est un non sens absolu (on évitera par décence la comparaison avec le Rollerball original de 75).