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    Rollerball
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    107 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 avril 2011
    Au scénario original nettoyé, lavé, de tous ses corps étrangers et de ses éléments SF, ce remake de J.Mc Tiernan tente de faire tendance en apportant un casting international, et en ajoutant de longues séquences de dialogues interminables, pour aboutir donc à une sorte de blockbuster honorable et au charme vulgaire, mais, en effet, plutôt sans rapport avec le chef d'oeuvre de 1975; et en dépit des énormes moyens de la production initiale. A noter toutefois l'excellente prestation de Rebecca Romijn/Stamos en amazone-walkyrie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 septembre 2011
    Extraits de l’article d’Anthony Sitruk « Rollerball, un an après » publié sur filmsdeculte.com : Face à des projections tests désastreuses, McTiernan avait en effet été obligé de revoir sa copie, et de réduire son film de trente minutes. Retournant certaines scènes, enlevant une séquence dans laquelle un couple fait froidement l'amour, le cinéaste avait également dû faire l'impasse sur son désir de faire un film sur-découpé - on parlait alors de plus de 11000 plans - adapté de l'imagerie MTV. […] Reconnu pour son impressionnante maîtrise du cadre et de l'espace, ainsi que pour ses nombreuses expérimentations formelles, McTiernan ne pouvait en un sens que désorienter avec ce film qui brouille volontairement les pistes […] Pour le cinéaste, la règle du jeu importe aussi peu que l'issue du match. Le propos n'est pas là et c'est probablement dans cette négation que se situe la première réussite du film: dans cette capacité à retranscrire les émotions brutes de ces spectateurs du XXIème siècle à travers des matchs d'une violence inouïe qui n'ont d'autre intention que celle de dilater cette violence, jusqu'à placer le spectateur dans une position inconfortable […] Comme l'on peut le constater dans la simple construction du film ainsi que dans la présentation expédiée des règles du jeu par un commentateur sportif, McTiernan ne cherche à aucun moment à créer un quelconque suspense autour de l'issue des matchs. Ce qui concorde finalement avec l'idée que le cinéaste se faisait de son film, dans lequel le Rollerball ne devait apparaître que dans la demi-heure centrale. […] Rollerball effectue un déplacement subtil de son enjeu, de la piste de sport vers les coulisses. L'important n'est plus le match, les joueurs, les points marqués et à peine plus l'argent - évoqué lors des premiers plans du film qui montrent le décompte de sommes astronomiques en billets de banques, ainsi que dans certains dialogues entre les joueurs. L'objectif des dirigeants du Rollerball reste le pouvoir. Et la force de McTiernan est de réussir à démonter les arcannes de ce Léviathan, par une intrigue épileptique qui effectue des allers-retours systématiques entre l'arène (les joueurs, les mineurs) et les coulisses (les dirigeants, les chaînes de télé, la mafia russe…). C'est là que se loge le pouvoir, dans cette emprise, ce contrôle, dans ce mouvement unilatérale des ordres. Le pouvoir passe par le contrôle: contrôle de l'homme par la manipulation et l'exploitation de son image (voir les deux scènes dans lesquelles des joueurs sont suivis de près par toutes les caméras télé, afin de ne pas louper la moindre effusion de sang prévue par le "script"). Nous sommes dans un monde où tout passe par l'image, où tout est fictionnalisé par des techniciens capables de recréer numériquement une véritable ville occidentale autour de ce sport qui se déroule pourtant dans les pays du tiers-monde. Métaphore de la structure hollywoodienne (les matchs comme autant de films hollywoodiens, avec scénario codifié, acteurs, mise en scène, musique, et même doublages), allégorie sur la société capitaliste qui oriente l'être humain en dirigeant son image, le film décrit un univers dangereusement prophétique, dans lequel les joueurs sont les pions d'un jeu (d'un "script", comme le sous-entend l'un des personnages: "It's not in the script") qui les dépasse. Curieusement, Rollerball pourrait être rapproché de l'impressionnant Die Hard 3, dans lequel l'inspecteur McLane devait se soumettre aux ordres d'un terroriste qui lui dictait les scénarios dans lesquels jouer. Toujours, de la part de McTiernan, cette lutte pour l'histoire, pour le film, lutte sans fin représentée par le destin de héros obligés de se soumettre aux délires de dirigeants mégalomanes. Il est étonnant de constater que Basic ne raconte quasiment rien d'autre. Le pouvoir passe par le contrôle de l'image, par la surveillance permanente des individus. […] Là où Oliver Stone montrait dans Tueurs nés ou L'Enfer du Dimanche une population fascinée par la violence, starifiant des tueurs en séries, célébrant l'aspect gore de matchs de football, McTiernan ose espérer une révolte de la part d'une population opprimée par ceux là même qui contrôlent le jeu. […] la révolte des mineurs devait se poursuivre dans les rues, pendant une heure de métrage. On ne peut bien entendu que regretter ce manque mais, bien qu'à l'état embryonnaire, ce désir de révolte reste évident et fait écho à cette scène émouvante dans laquelle Aurora détruit une caméra de surveillance avant de faire l'amour froidement avec Jonathan. Rollerball devient un film en ébullition, dans lequel chaque scène manque d'exploser, dans lequel une révolte interne gronde pour mieux s'exprimer dans la demi-heure finale, par la mise en scène, le montage, la musique...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 janvier 2012
    Alors, alors ! Voila la fameuse remasterisation du film "rollerball" premier du nom. Eh bien non je ne dirai pas "un narnar digne de ce nom" ou "passez votre chemin". Ce film ne dispose certes pas d'un potentiel cinématographique exceptionnel mais il se laisse tout de même regarder. Pour ma part il m'a offert un petit divertissement de dimanche soir. On ne peut cependant pas souligner une performance exceptionnelle de la part de Jean Reno (cela pouvant provenir d'un personnage mal rodé). Bref la moyenne pour un film moyen.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 janvier 2008
    Ce film est une vraiment nul. Comment on peut faire un remake aussi louper. Les scenes sont mal filmés, le héros est totalement naif et niais ce qui le rend pas du tout crédible et pourtant il libère tout un peuple. Non mais faut pas pousser, on nous montre souvent des films pourris en disant qu'il est bien car y a de l'action mais ça fait pas tout. Le cinéma c avant tout un jeu d'acteur et non pas des effets spéciaux plein la vue. Vraiment passez votre chemin ce film ne sert strictement à rien
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Il n'y a aucun doute, John Mctiernan est un grand réalisateur, il accumule les chef-d'oeuvre (Predator, Piège de cristal, A la poursuite d'octobre rouge, Une journée en enfer, mais aussi un très beau Medecine man, un 13e guerrier sympathique et un excellent Last action hero), après avoir signé un remake du film Thomas crown de Norman Jewison (une réussite) et après avoir eu des problèmes de montage pour le 13e guerrier il s'attaque encore a un remake d'un film de Jewison et va encore se faire rouler au niveau du remontage du film, mais même si le 13e guerrier s'en est pas trop mal tiré, ce Rollerball est une catastrophe. John McTiernan ne reprend pas le même scénario que l'original mais les mêmes personnages dont les acteurs jouent pitoyablement, Chris Klein est bien fade par rapport a James Caan, Jean Reno n'a jamais été aussi mauvais, Rebbeca Romjin Stamos est mauvaise et LL Cool J est ridicule. Mais le pire tient dans les scènes d'action qui sont celles les plus mal filmées par le réalisateur (il n'en avait jamais loupée une avant), pendant le jeu, on ne comprend rien, il n'y a pas de règles et on ne voit que les coups de tatane et elles dérivent souvent vers le ridicule. Pourquoi as-tu fait ce film, John McTiernan ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 janvier 2010
    Efficace mais peu original et encombré de stereotypes.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 août 2009
    Nul
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 décembre 2011
    Un film d'une rare nullité, des costumes à mourir de rire ! Des scènes sans intérêts et brouillonnes surtout celle en vision nocturne, des dialogues ridicules dignes d'un film des charlots ! Le jeux des acteurs est très mauvais mention spécial à jean Reno, qui a du avoir un contrôle fiscal sur le dos pour avoir accepté d'être dans le casting... Je pensai voir le remake d'un film culte au final j'ai vu une parodie qui m'a bien fait rire, au moins je n'aurai pas perdu ma soirée
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 septembre 2009
    Ce film n'est pas aussi mauvais qu'on veut bien le faire croire. La mise en scène est très belle et fait penser à du Paul Verhoeven. Le scénario tient en haleine et la fameuse séquence tournée en vision nocturne est très originale et vraiment réussie (quel détachement dans la facon de filmer la mort de LL Cool J, snipé à distance !!). Grâce au talent de Mc Tiernan, Rollerball est loin des blockbusters habituels par le génie qui s'en dégage. Les scènes de match sont une pure réussite mais manquent cruellement d'éffusions de sang, censure au montage oblige. Le gros point noir du film est Jean Reno, très mauvais acteur dans ce film. Son personnage est censé être vraiment dangereux mais Jean Reno prête à sourire. Un Jack Nicholson aurait été parfait. Mention spéciale à Chris Klein, très charismatique et parfaitement crédible dans son rôle de superstar superficielle mais qui va peu à peu prendre conscience de la réalité et s'insurger contre le pouvoir en place...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 septembre 2008
    Si je comparais avec l'original, la note serait bien plus basse. Mais pour moi, le remake s'arrête au sport (et encore) et au titre. L'histoire n'a plus rien à voir. Même pas de quoi faire une seule comparaison. Et le sport n'a de commun que le fait qu'il se fait en roller. Dans "Rollerball" de McTiernan, le terrain de jeu est un labyrinthe. dans l'original, on allait droit au but. Parlons du film en lui-même. Le scénario est relativement moyen. L'intérêt du film se situe dans la course du début et dans les matchs de rollerball. Film à voir sauf si vous vous attendez à un vrai remake.
    YINGYANG
    YINGYANG

    2 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2008
    Un tel jeu à la con ne pouvait se passer qu'en Russie et être adulé par les aisat!! Jean Reno tient bien le rôle du méchant russe Petrovitch, organisateur de l'équivalent moderne des jeux du Cirque romain, par contre l'acteur principal devrait changer de métier....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 juillet 2007
    On ne pensait pas voir ça de si tôt dans une vie d'homme mais pourtant... John McTiernan est capable de réaliser de véritable bouse cinématographique!

    Frôlant avec le film de Série Z, cet "oeuvre" (que n'aurait pas renié un Christophe Lambert) est un échec total de mise en scène et de scénario et ce, de A... à Z.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 septembre 2011
    Dommage qu'on ne puisse pas mettre 0 ... ce remake miteux l'aurait mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Non, on ne peut pas dire que c'est nul, mais bon, c'est pas un chef d'oeuvre. Les acteurs jouent correctement, l'histoire est potable mais ça reste de la grosse artillerie. C'est pas ce que j'appelle un bon film d'action, il manque un petit quelque chose, ça manque de piquant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 décembre 2011
    Nouvelle version de l'emblématique Rollerball de 1975 de Norman Jewison ! Certaines presses écrites ont du ressortir les vieux papiers sans même aller voir le film, considérant que si bien avait été le premier, très bien serait le second. Et pourtant !... Avec pour acteurs principaux, Jean Reno, LL Cool J et Naveen Andrews, et réalisateur John McTiernan (le Jean Girault américain, la constance impose avec le temps un certain intérêt), cela aurait du mettre puce à l'oreille ! Pour ce qui est de la musique ou des décors, pourquoi pas, même s'il faut avouer une certaine pauvreté frisant avec l'amateurisme. Mais pour le reste... c'est un navet monumental : mal filmé, monté honteusement, un scénario très pauvre, un casting nullissime, et des dialogues du même niveau ; et je ne parlerai même pas de l'affiche ! Quand vous en êtes arrivé là ! Plus rien à faire !
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