Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Et si les histoires que chacun raconte sont toutes différentes, un même esprit les réunit : un humour grinçant, simplement rigolard parfois, franchement noir plus souvent, et où l’on retrouve pêle-mêle l’esprit chansonnier, la blague potache, la grosse plaisanterie. La charge satirique en reste le point fort et récurrent.
Le ton de la farce qui domine "Salauds de pauvres" flirte parfois avec un non-sens très britannique, dans ce pamphlet sur la pauvreté qui ne plaira pas à tout le monde.
L’ensemble, dont les recettes iront au Secours populaire, se caractérise par une veine grotesque, insolente et un rien graveleuse qui n’est pas sans évoquer l’influence lointaine du dessinateur Reiser.
Le décalage et la méchanceté sont au programme de ce projet – monté par un producteur qui, ayant connu la précarité, préfère en rire qu’en pleurer. On en retient 115 Bonsoir de GiedRé (portrait amer de la solitude et de la maladie mentale des SDF) et Le Cadeau de Charles Dubois(peinture féroce de la lutte des classes).
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) le producteur Frédéric Marboeuf a tenu à rassembler des auteurs qui n’aient pas leur langue ni leur caméra dans la poche. Le résultat dépasse ses espérances tant le niveau de cinéma laisse à désirer.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Caricatural, mal écrit, mal joué et à peine drôle : ce pénible effort du monde du spectacle pour attirer l’attention sur une juste cause met mal à l’aise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Drôle, incisif, parfois cruel, et toujours juste.
Ouest France
Certains épisodes sont hilarants, d'autres traînent plus en longueur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et si les histoires que chacun raconte sont toutes différentes, un même esprit les réunit : un humour grinçant, simplement rigolard parfois, franchement noir plus souvent, et où l’on retrouve pêle-mêle l’esprit chansonnier, la blague potache, la grosse plaisanterie. La charge satirique en reste le point fort et récurrent.
Franceinfo Culture
Le ton de la farce qui domine "Salauds de pauvres" flirte parfois avec un non-sens très britannique, dans ce pamphlet sur la pauvreté qui ne plaira pas à tout le monde.
Les Fiches du Cinéma
Un film collectif qui manie intelligemment humour noir et provocation, mais à la qualité de sketchs inégale.
Voici
Une satire féroce autour de la misère et de la lâcheté.
Le Journal du Dimanche
Bien qu’inégal et malgré les intermèdes très dispensables de François Rollin entre les histoires, l’ensemble se révèle plutôt distrayant.
Le Monde
L’ensemble, dont les recettes iront au Secours populaire, se caractérise par une veine grotesque, insolente et un rien graveleuse qui n’est pas sans évoquer l’influence lointaine du dessinateur Reiser.
Le Parisien
L'ensemble trouverait mieux, de toute évidence, sa place au théâtre.
Première
Le décalage et la méchanceté sont au programme de ce projet – monté par un producteur qui, ayant connu la précarité, préfère en rire qu’en pleurer. On en retient 115 Bonsoir de GiedRé (portrait amer de la solitude et de la maladie mentale des SDF) et Le Cadeau de Charles Dubois(peinture féroce de la lutte des classes).
L'Obs
Absence de dimension politique, forte précarité de la mise en scène, bref un programme pour rien.
La Croix
Mais ce long métrage, bâti sur de louables intentions, rate pour le moins sa cible.
Sud Ouest
(...) le producteur Frédéric Marboeuf a tenu à rassembler des auteurs qui n’aient pas leur langue ni leur caméra dans la poche. Le résultat dépasse ses espérances tant le niveau de cinéma laisse à désirer.
Télérama
Caricatural, mal écrit, mal joué et à peine drôle : ce pénible effort du monde du spectacle pour attirer l’attention sur une juste cause met mal à l’aise.