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    Le Phallus et le Néant
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    78 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 février 2019
    Ce film est particulièrement intéressant car il montre l'essence de ce qu'est la psychanalyse et les dégats que celle-ci peut causer. Il ne s'agit pas de caricatures; j'ai moi même recueilli des témoignages très similaires, malheureusement... Dans ce film, on découvre également les propos de "grandes figures" de la psychologie (Dolto par exemple), dont les propos sur l'inceste sont juste édifiants. Nous sommes subjugués de voir que l'ensemble de ces psy exercent encore, alors qu'il y aurait de quoi faire en sorte qu'ils soient eux mêmes enfermés (en prison). Ce qui est inquiétant, c'est que c'est encore le courant largement dominant de la psychologie en France, tant dans les fac que dans les cabinets et dans les structures publiques... Cela laisse songeur... Et de là à rapprocher le fait que les français sont parmi les plus grands consommateurs de médicaments psychotropes, il n'y aurait qu'un pas...
    Filmonpaper
    Filmonpaper

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mars 2019
    Ce n'est pas un film mais un règlement de comptes. Je suis navré pour cette dame qu'elle n'ai pas accédé à son rêve de devenir psychanalyste, et qu'elle ait préféré utiliser quelques notions glanées à la fac, dans leurs version la plus vulgarisée, sans réelle compréhension, pour conduire ses entretiens et faire ses têtes de chapitres et tromper les gens. Elle manipule les réponses obtenues en les coupant où ça l'arrange, détournant le sens. Je suis étonné qu'elle n'ai pas un procès sur le dos, car agir de façon aussi malhonnête est une forme de diffamation. L'instrumentalisation de victimes d'abus sexuels parachève ce monument de mauvaise foi. A bas le cinéma mllitant !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 février 2019
    Un film d'utilité publique. J'avais l'impression de voire les psychiatres qui m'ont suivi, pendant 10 ans, sans jamais essayer de me diagnostiquer (le diagnostic est la première étape du soin). Puis j'ai découvert que j'étais autiste, et l'équipe pluridisciplinaire du CRA m'a donné raison.

    Dans les institutions non-traitantes que j'ai été forcé de fréquenter, nos ( = moi et les autres jeunes) problèmes de santé n'étaient jamais pris au sérieux, donc nous n'étions jamais soignés lorsque nous tombions malade. Ma meilleur amie (qui a été diag autiste aussi après) devra passer le reste de sa vie sous morphine en fauteuil roulant, parce qu'on ne la croyait pas pour ses douleurs. Moi, je fais de la kiné depuis un an, mon problème de santé aurait pu devenir chronique à cause du retard de diagnostique. Ce documentaire m'a aidé à comprendre comment fonctionnaient les personnes influencées par la psychanalyse (presque tous les psychiatres et les psychologues français).
    Ils dénigrent les faits et prennent constamment le contre-pied de ce que le patient leur dit, car ils sont déconnectés de la réalité, du concret, des faits, et cherchent systématiquement ce qui serait "caché" , "occulte" et qu'il faudrait résoudre. Car seul l'inconscient ou le symbolique importe dans la psychanalyse, au détriment du réel ou du matériel...C'est ainsi que nos plaintes de symptômes physique étaient niées mais qu'ils nous inventaient d'autres problèmes de santé, que nous n'avions pas. Pour ma part malgré mes tartines beurre nutella, je suis devenu anorexique (psychogène), tant pis si je mangeais correctement, comme j'étais mince, je devais avoir une anorexie, et forcément psychogène...

    Je n'ose pas espérer obtenir justice un jour (je n'ai pas porté plainte ils sont présent dans les tribunaux). Pour l'instant, si les journalistes faisaient leur travail, cela me suffirait.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2019
    Le film n'apporte rien, aucune nuance possible...C'est dommage. Sophie Robert estime que les psychanalystes sont victimes d'une manière de penser qui les exclut du monde ordinaire, mais par cette démarche, c'est elle même qui se met en position de propagande.
    Pourquoi ne pas ouvrir plutot un débat avec des psychanalystes, des neuroscientifiques et pourquoi pas d'autres disciplines (philosophiques, sociologiques..). Il me semble que contrairement à l'idée véhiculée dans le film, les psychanalystes font un effort constant de liens et d'actualisation de leur pratique clinique.
    Le fait de consacrer son énergie dans un positionnement aussi peu nuancé à l'égard de la psychanalyse témoigne d'une rigidité qui ne mérite pas de figurer sur un écran de cinéma.
    Observator84
    Observator84

    7 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2020
    J'ai beaucoup apprécié ce film qui montre qu'une certaine catégorie de psychanalystes présentent des idées auxquelles je n'adhère pas du tout. C'est mon choix, et bien évidemment, mon droit. La réalisatrice pose des questions précises auxquelles les psychanalystes répondent de manière également précise, donc il me semble qu'il n'y a aucune ambiguïté dans ces interviews. Toutefois nous savons tous que la vie est toujours plus compliquée, et qu'il faut parfois faire sa propre expérience pour se forger une opinion plus précise, et surtout plus juste. Je ne sais pas ce qu'est l'expérience du divan, puisque je n'ai jamais effectué d'analyse, en revanche j'ai été formé par des psychanalystes, une expérience qui ne m'a ni convaincu ni convenu, mais c'est personnel. Donc il s'agit de se forger sa propre opinion sur le sujet, mais je crois que le film de Sophie Robert montre une certaine approche de la psychanalyse qui selon moi doit quand même faire l'objet d'une certaine réflexion (c'est bien résumé je crois). Nous savons que nous vivons dans un pays où la psychanalyse résiste, apparemment celle-ci a disparu dans la quasi totalité des autres pays du monde, ce qui à mon sens doit être pris en compte quand on veut valider une méthode, faire preuve d'ouverture sur tout ce qui est pratiqué ailleurs ne peut que nous faire du bien, ce qui n'invalide pas la psychanalyse en tant que méthode, c'est juste une liberté d'esprit, afin de créer des points de comparaison.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Un film qui devrait être vu avant de débuter une thérapie. La réalisatrice approche avec pertinence le contenu dogmatique de la psychanalyse qui ne s'adresse pas aux profanes
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    20 ans de travail en psychiatrie comme psychologue et depuis 5 ans synergie entre économie à l'hôpital et thérapie cognitivo comportementale et bien c’est une catastrophe pour les patients et les soignants. L'idéologie de la neuroscience dans les lieux de soin quand elle se confronte à l'expérience de l’humain fragile qui a besoin d’écoute , de temps et de compréhension ne remplit pas sa fonction thérapeutique bien au contraire ....elle objective , rééduque ,soumet et se compromet avec une polique de restriction économique . Les divers thérapies sont intéressantes et libres à chacun mais toutes s’inspirent et se fondent quand elles sont compétentes du transfert , concept analytique , à savoir de la relation du patient avec le médecin ou autres soignants . L’ennemi qui est visé n’est pas la psychanalyse mais c’est l’indice d’une haine de la complexité et de la diversité humaine .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 avril 2019
    Tout d'abord, il est à reconnaître que les dérives présentées existent c'est un fait. Mais sur l'affiche du documentaire on ne trouve pas "les dérives de la psychanalyse" mais un sous titre beaucoup plus généraliste : "à la découverte du vrai visage de la psychanalyse". C'est lamentable. Une des personnes à l'issue de la projection s'est exprimée en disant "que ce documentaire était une insulte au sens critique des gens" c'est malheureusement vrai. Le fait qu'il existe des dérives inadmissibles ne donnent pas le droit de les généraliser … c'est effectivement de la diffamation. Il y a quelques énormités bien entendu de la part de certains psy de formulées mais la plupart du documentaire repose sur un discours de sourd entre 1er degré et concepts psychanalytique dont Sophie Robert n'a malheureusement rien compris et qui relèvent pour la plupart de symboles / métaphores dont l'interprétation au premier degré est totalement erronée. Enfin, la bande dessinée à l'intérieur du documentaire relève du sketch bourrés de stéréotypes (entre la tenue, la posture la physionomie du psy, les parents, la musique de fond …) Sortir des concepts de la théorie psychanalytique pour les analyser bien trop maladroitement et indépendamment des autres auxquels ils se rattachent est bien entendu un non sens. Quel pauvreté d'analyse! Cela interroge effectivement sur les motivations de Sophie Robert. Dénoncer des dérives est nécessaire, n'être capable que d'aborder un sujet aussi vaste que d'une manière binaire démontre soit une manipulation, soit une pauvreté intellectuelle.
    Marie R.
    Marie R.

    5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Je pourais comparer Le Phallus et le Néant à un manège métaphorique d'acteur comique, jouissant sur des proies enveloppées d'un divan au pouvoir qui n'est autre que celui de la domination.
    Si vous cherchez des paysages, de beaux acteurs ou une musique qui vous berce, n'allez pas voir ce film. Sa réussite est ailleurs !

    Bien que le début de ce film pourrait nous faire penser à des répliques tirées de l'absurde tellement cela prête à rire, les acteurs dévoilent leur vérité dans une intimité absolue.
    Les acteurs ne sont pas des comédiens mais raconte leur propre vécu devant la caméra : Les psychanalystes nous confient leur pensée d'analysant, tandis que les victimes, leur quotidien en tant qu'analysé. Les témoignages nous permettent de s'apercevoir que le discours des psychanystes de ce film n'est pas qu'une pensée mais une réalité du divan.
    Il devient difficile d'être témoin de tant de manipulation, de maltraitance thérapeutique sans pouvoir agir de son fauteuil de spectateur. Difficile de ne pas être broyer intérieurement par Eve qui clôture ce film...
    On comprend assez vite le fil conducteur du Phallus et le Néant qui est de nous montrer les secrets du huis-clos pour nous éclairer sur la pratique thérapeutique de la psychanalyse et son impact sur et dans la société ( Son film "Le Mur" en était déjà un bel échantillon.

    Le déroulement de ce film met en avant le mécanisme insidieux d'une manipulation sectaire dont la société en est imprégnée dans son quotidien en toute transparence. Il n'est donc pas étonnant que le monde societal puisse penser qu'une victime soit responsable du viol qu'elle a vécu ; ou encore que les tribunaux peuvent imaginer un enfant consentant à une pénétration ou une femme victime soit coupable devant son agresseur, aux yeux des tribunaux ; mais encore, qu'une mère, dénonçant l'inceste du père sur son enfant puisse être considérée par la justice, comme instrumentalisant l'enfant.
    Ce que nous entendons tout au long de ce film peut nous amener à réfléchir de son impact sur le maintient du patriarcat dans notre pays.

    Le Phallus et le Néant est un film rare à ne pas rater. Le divan possède bien des secrets dont vous ignorez ( malgré la richesse de vos connaissances ) et dont vous pourrez bien découvrir ici....
    Maxime G.
    Maxime G.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2020
    Sous le choc de ce film...

    La psychanalyse y est montrée comme une sorcière... Il fait même appel au dessin animé pour la représenter comme telle.

    Et à vrai dire, je suis plutôt d'accord avec cette proposition.

    C'est un film à charge, totalement uni-directionnel, qui se présente comme un piège posé à des psychanalystes.
    "Le meilleurs moyen de révéler les failles de l'ennemi, c'est le faire parler..." C'est un peu ce que propose ce film guerrier.

    Et ces psychanalystes sont tombés en plein dedans. N'étant pas sur leur garde, croyant avoir affaire à une "initiée", à quelqu'un de leur camps, et faisant entièrement confiance à leur autorité (à leur phallus ?), ils n'ont pas vu le loup dans la bergerie. Ils ont cru bien faire en parlant face à la caméra... Alors ils répondent gentiment aux questions posées, sans savoir qu'ils donnent le bâton pour se faire battre... Et voilà le piégeur piégé à son propre piège. Celui d'un discourt aberrant d'un autre siècle.

    Ils aurait mieux fait de rester dans l'ombre (cette ombre qu'ils affectionnent tant).

    Au final, je ressors de ce film avec une image tellement négative de la psychanalyse, que ça m'aide à finir de trancher les derniers doutes que j'avais à son égard. Car je continuais de croire "qu'après tout il y a peut-être des choses à garder dans la psychanalyse...". (Il faut dire que j'ai des psychanalystes dans mon entourage proche et familiale alors c'est pas si facile d'abattre le mammouth...) Mais en fait non, il n'y a rien à garder... Ce film m'a aidé à voir l'énormité de la chose, et m'a fait ressentir le gouffre sidérale que représente les théories psychanalytiques. Ce trou sans fond dont ils ont si peur, et qu'ils préfèrent projeter sur le sexe de la femme, plutôt que sur leur propre aveuglement et dangerosité.
    Ce trou théorique qui entraîne même certain à quasi-justifier la pédophilie, et à remettre en question l'agression sexuelle, ou au contraire à insinué des traumatismes infantiles à partir de rien... pour mieux les nier ensuite !

    Après il reste les psychanalystes eux-même, qui sont avant tout des êtres humains... Et l'erreur est humaine.
    Certains psychanalystes, ceux qui ont gardé malgré tout leur humanité, qui ne se sont pas laissez fait bouffer par leur théorie, réussissent peut-être à faire plus de bien que de mal aux personnes qui viennent les voir. (Qui sait ?)
    Et pour les autres, ceux qui font du mal à leur patients sans le savoir, et surement sans le vouloir, et bien l'erreur est humaine. On apprend et on avance tous les jours. Et tomber dans des pièges fait parti du chemin.
    Mais il serait temps que le voile soit levé... car en attendant des personnes déjà en souffrances sombrent encore plus à cause d'une écoute psychanalytique perverse pouvant aller jusqu'à en devenir inhumaine. En cela les deux témoignages de patiente font froid dans le dos... Il en aurait fallu plus je trouve.

    Bref, si ce film est un piège, il se veut être un piège salvateur, pour dénoncer ce piège autrement plus grave et plus dangereux qu'est la psychanalyse.
    Alors oui c'est un film uni-directionnel, un film de combattant, et oui la réalisatrice pousse ces pauvres psychanalystes dans le dos pour les faire tomber. Ce n'est peut-être pas très joli, c'est ce qu'on appel un coup bas, mais au moins ça secoue le cocotier ! Et du coup... les noix de coco... elles tombent ! Et vis-à-vis la psychanalyse, il serait grand temps !
    haratos
    haratos

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2019
    Film à voir, quelques idées des psy mais surtout leurs très mauvaises interprétations. Le complexe d’œdipe, par exemple, qui m'a toujours fait rire est d'une connerie monumentale (œdipe ne savait pas, la nature ne fonctionne pas ainsi, la puissance culturelle sur les idioties est destructrice). Mais eux la justifient. Et d'autres exemples encore. La fausseté de la profession est forte... Merci pour ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 février 2019
    Documentaire qui nous laisse réfléchir. A notre époque nous avons l impression de ne pas avoir avancés. Détruire et rabaisser la femme comme ils le font, c est difficile à comprendre.
    V S
    V S

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mars 2021
    Très mauvaise réalisation et portrait totalement faussé des enjeux thérapeutiques. Le synopsis est mensonger : ce n'est pas un documentaire intéressant qui explore la complexité du rapport hommes/femmes, ce n'est que le procès très personnel de Sophie vs. la psychanalyse. Sophie Robert se targue d'avoir lu des centaines de livres sur le sujet, il est tout de même malheureux de constater qu'elle n'en a pas compris une ligne. Sa présentation des concepts est fausse, détournée et risible pour quiconque a un minimum de lecture. C'est un documentaire qui ne reflète que l'ignorance crasse de sa réalisatrice et sa détermination suspecte à redéfinir des concepts qu'elle ne saisit pas. La série 'En thérapie' vous en apprendra plus sur le sujet que ce document fumeux.
    Guylene D
    Guylene D

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Les réponses argumentées apportées par Elisabeth Roudinesco au Livre noir de la psychanalyse n'auront pas suffi. Le Phallus et le néant, ce documentaire de Sophie Robert se tient dans la droite ligne des détracteurs d'une discipline découverte il y a déjà plus d’un siècle. Les résistances sont toujours là, bien ancrées et s'installent dans un raisonnement pseudo-rationnel et manipulateur. Ces deux heures de projection nous imposent les visages en gros plan de psychanalystes cliniciens, essayistes et universitaires. Des arrêts de caméra sur les mimiques d’expression ridiculisent volontairement les visages. Cette condamnation visuelle culmine au générique de fin, où ces mêmes visages encerclés, sous titrés de leur qualité et leur fonction sont projetés, accompagnés d’une musique lancinante. Quant aux victimes de pédophilie qui interviennent à la fin du documentaire, leurs voix émanées de visages ombrés dénoncent les comportements des psychanalystes rencontrés lors de leur parcours de soin et qualifient de thérapeute la personne qui les a guéris. Le manque de culture des concepts psychanalytiques de la réalisatrice ne devrait pas être en cause – elle affirme avoir lu plus d’une centaine de livres de psychanalyse, il serait donc là d’un film à charge. Comment l'association Oser le féminisme 34 peut-elle cautionner cette accumulation de clichés, d'imprécision du langage psychanalytique ? Comment les psychanalystes ont-ils pu autoriser cette charge contre eux et leur discipline ? Dupés par le montage ? Comment le cinéma indépendant le Diagonal, peut-il qualifier ce film d'utilité publique ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 novembre 2018
    Un documentaire de salubrité et d'utilité publique à voir . Je l'ai vu hier au ciné Balzac. J'en suis sortie sonnée, sidérée. Droit d'inventaire sur tous ces psychiatres nourris à la psychanalyse. A l'arrogance, à la domination....A vomir vraiment. Des intervenants qui ont malheureusement encore pignon sur rue dans des universités ou des instituts publiques. En outre la psychanalyse continue à imprégner les mentalités en France et ce dans tous les secteurs....Même judiciaire. Il est donc crucial de décortiquer ces pensées destructurantes et rigides d'un autre âge pour mieux s'en libérer. Et libérer surtout dans le sillage de MeToo et des mouvements mondiaux la parole des victimes de violences sexuelles, d'inceste qui ont tant souffert de ces théories nuisibles! A voir et à faire connaître!
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