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Votre avis sur Terminator 3 : le Soulèvement des Machines ?
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soniadidierkmurgia
On pouvait craindre le pire avec ce troisième opus, sachant que James Cameron a abandonné le navire après deux épisodes mémorables de cette saga devenue très populaire et quasiment culte. Plus de dix ans après Terminator 2, c’est à Jonathan Mostow réalisateur inexpérimenté qu’il revient de conclure l’affaire. Il s’en tire très bien grâce à un scénario qui s’inscrit parfaitement dans la continuité des deux premiers épisodes. La boucle se referme magnifiquement pour nous inviter à finir le voyage à travers le temps et comprendre le déclenchement de la fameuse guerre entre l'homme et les machines qui avait ouvert le premier opus. Schwazenegger qui connaît sa partition sur le bout des doigts, en renforçant encore le côté robotique de son jeu, introduit une forte dose d’humour qui déclenche le rire entre deux combats du Terminator avec le TX, version féminine plus qu’appétissante de ces robots prenant allure humaine. Il est sûr que beaucoup d’hommes rêveraient d’avoir comme femme de ménage un robot à l’image de la ravissante Kristanna Loken. Réjouissant dernier volet d’une saga sans fausse note.
1sur5 Ca y est, c'est l'heure, la fin du Monde est arrivée, les Machines viennent l'anéantir, ou le conquérir (enfin c'est pareil, ce détail n'a pas trop été élucidé, il faut dire que ça nécessitait de construire la partie scénario alors que l'important, c'est la bouillie). Les Machines déciment donc les menaces futures (et qui s'ignorent) mais Schwarzy est là qui va tous nous sauver.
Ce troisième opus supervisé par Mostow, filmeur du récent Clones avec lequel il se démontrait bloqué dans les fades 90's, est une sorte de remake de Terminator 2, avec des substituts de gimmicks (à ''hasta la vista'' succède ''parle à ma main'') et de morceaux de pitschs équivalents. Et sans la virtuosité esthétique.
Un armada d'effets spéciaux, d'aventures prévisibles et de figures obligées du blockbuster. Insipide. Seuls quelques gags autour du Terminator (« la psychologie de base est l'un de mes programmes secondaires ») et l'impartialité du personnage-programme apportent au film un certain charme. L'ensemble est pauvre, l'identité propre du film est faible (dans sa texture comme dans les péripéties qu'il offre, il est l'ombre de ses prédécesseurs – en outre, ce n'est qu'un entremetteur entre Terminator 2 et Terminator Renaissance) et la mythologie n'est plus qu'un faire-valoir.
Ce troisième opus supervisé par Mostow, filmeur du récent Clones avec lequel il se démontrait bloqué dans les fades 90's, est une sorte de remake de Terminator 2, avec des substituts de gimmicks (à ''hasta la vista'' succède ''parle à ma main'') et de morceaux de pitschs équivalents. Et sans la virtuosité esthétique.
Un armada d'effets spéciaux, d'aventures prévisibles et de figures obligées du blockbuster. Insipide. Seuls quelques gags autour du Terminator (« la psychologie de base est l'un de mes programmes secondaires ») et l'impartialité du personnage-programme apportent au film un certain charme. L'ensemble est pauvre, l'identité propre du film est faible (dans sa texture comme dans les péripéties qu'il offre, il est l'ombre de ses prédécesseurs – en outre, ce n'est qu'un entremetteur entre Terminator 2 et Terminator Renaissance) et la mythologie n'est plus qu'un faire-valoir.
A chaque nouvel épisode de Terminator, il semble que le réalisateur trouve une justification au chèque qu'il encaisse en défaisant ce qui a été fait dans le précédent épisode. Le premier était noir, le second rose, le troisième est donc gris si on veut, même s'il aimerait être plus noir que le premier. Mais comme le spectateur n'en a rapidement rien à foutre de voir deux robots se foutre continuellement sur la gueule, ça reste assez terne. La "trouvaille" cette fois, c'est que le méchant est "une méchante" et qu'elle est bricoleuse en diable. Après le Terminator liquide, on a le Terminator multi-fonctions, le prochain sera à l'état gazeux à n'en pas douter ou ce sera un Terminator-enfant ou nain. En plus, elle est vraiment impressionnante. A tel point, que plutôt que de la trouver effrayante, on se verrait bien lui offrir un verre au bar d'un palace avant d'aller faire des galipettes avec. En attendant la suite.
très bon "Terminator" naturellement moins bon que les précédents opus mais je ne pensais vraiment pas qu'il soit aussi prenant et divertissant, les effets spéciaux sont toujours au top et "Kristanna Loken" est magnifique !
La présence de bons effets spéciaux et de schwarzenegger ne sauvent pas ce film par rapport à la nullité de son scénario.
Je regrette beaucoup l'absence de James Cameron pour cet opus qui aurait pu etre mieux, mais ca reste du Terminator dans la lignée des 2 premiers et rien que pour cela je mets 4 etoiles
Probablement mon préféré de la série avec le premier bien sur. Boudé par les fans qui ne juraient que par Cameron, je trouve personnellement que Mostow livre un excellent travail. Kristanna Loken est parfaite en Terminator, Claire Danes excellente comme d'habitude, seul Nick Stahl ne m'a pas vraiment convaincu en John Connor. Les scènes d'actions sont cultes et très fluides et j'adore la fin que je trouve glaçante.
L'une des pires suites que le cinéma de science-fiction ai connu.
Rien de ce qui a fait le charme et le succès des précédents volets n'est présent ici.
Terminator est devenu en l'espace d'un film une franchise à pognon qui ne capitalise que sur son succès d'antan.
Déplorable.
Rien de ce qui a fait le charme et le succès des précédents volets n'est présent ici.
Terminator est devenu en l'espace d'un film une franchise à pognon qui ne capitalise que sur son succès d'antan.
Déplorable.
Nul...
Aie... Un troisième opus qui reste bon, mais qui malheureusement ne peux rivaliser avec les deux précédents, c'est bien dommage.
Schwarzy arrête ainsi sa carrière de terminator.
Toujours divertissant, même si le filon s'essouffle.
Toujours divertissant, même si le filon s'essouffle.
Henrico
Ce troisième opus nous assène des répliques, qui au lieu d’éclairer un scénario loin d’être inepte, nous embrouillent les méninges par de fortes injections de jargon technologique pseudo avant-gardiste et d’arguties nostradamusiennes. Certains bons mots au lieu d’être des allusions aux deux premiers volets sont de simples plagias répétitifs vecteurs d’un humour qui chaque fois tombe à plat. Les scènes de pathos médiocrement jouées par les deux nouvelles recrues sont à peine crédibles. D’autant que le sauveur est mièvre et la terminatrice, bien fardée depuis son arrivée sur terre n’a pas du tout le physique de l’emploi. Les scènes de cascades et de bagarres, exagérément longues, renforcent notre sentiment d’ennuie. Ce n’est pas les machines qui se soulèvent à la fin de ce film mais les spectateurs hébétés après une telle opération de sabotage commise par Jonathan Mostow.
Beaucoup de ressemblance avec le second épisode mais l'idée de prendre une femme pour robot ennemi était excellente. Les effets spéciaux sont très aux point
Déçu de ce 3ème opus qui ne propose qu'un copié/collé du 2ème opus. Mais remettons nous dans le contexte, Terminator 3 est avant tout un come-back que les fans attendaient depuis longtemps, je suis donc un peu indulgent. Shwarzenegger reprend son rôle de T-800, et ici Kristanna Loken incarne le nouvel ennemis (pas très classe) indestructible, le T-X, sorte de Terminator ultime. Le scénario ne change pas, protéger John Connor (et Katherine Bruster ), c'est basique mais les scènes d'action sont impressionnantes ! Après tout on n'en demande pas plus.
Toujours aussi excellent avec un scénario et un déroulement identique aux précédents mai on ne s'en lasse pas , dans la lignée de terminator 2 avec des effets spéciaux forcément encore plus imprésionnant mé avec cependant des acteurs un peu moins charismatique...du grand cinéma d'action
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